@Hijack
Pourquoi tant de haine d’un coup ?
On dirait que tu t’es senti visé par l’expression "couilles molles". Si tu relis bien, c’est un autre chapitre où j’exprimais les aversions de Personne.
Qu’est-ce que je t’ai fait pour que tu exiges ma démission ?
Détrompe-toi, ce n’est pas à ce site que je me raccroche. En une journée on a réussi à faire publier plus de commentaires que tous les articles réunis à la Une d’Agora !
Sade (immodératrice)
Personne a lu. Personne a retenu... les sons de cloches.
Elle préfère, m’a-t-elle confié, encore ses détracteurs à ses défenseurs : Hijack ! Hijack ! Hijack !
Elle n’a jamais aimé les couilles molles... les masques sans rien derrière.
Et si vous regardez bien ses vidéos, vous gagnerez en virilité mentale.
Quant à la seule objection de fond, émise par Hijack qui consiste à dire que PERSONNE ne va jamais au fond des choses. Elle le concède volontiers et pour cause, puisque les mous qu’elle cible évoluent toujours à la surface (des choses). Dont Acte.
Sade (immodératrice)
Ps : Ne dites surtout pas pourquoi elle ne répond pas elle-même parce qu’elle ne fait que ça dans ses vidéos en vous regardant les yeux dans les yeux.
@ Hijack
Encore un malentendu
Je parlais de mon existence à moi, SADE...
Je ne suis pas PERSONNE.
Mais seulement la modératrice de son site.
En ce qui concerne la question de fond : Personne a le droit d’exposer une idée sans se voir obliger de la justifier. Cela s’appelle du théâtre !
Vous confondez scénario et pensée engagée.
Ps : Pauvre, ça ne veut pas dire pauvre type, mais pauvre condition que la vôtre. De vous voir vous débattre comme Sisyphe... justement pour rien.
Ps : Les zemmour prolifèrent. Plus de place pour l’humour !
Et je regrette sincèrement d’y avoir glissé ses billets.
Sade (immodératrice)
@Hijack
Vous ne tenez apparemment pas à mon existence.
Et pourtant, je porte un pseudo de renom : Sade, comme le marquis qui quoi qu’on en disait portait des gants quand il déversait son venin.
Pauvre, ce n’est pas une injure.
Pauvre, parce qu’il s’exprimait comme vous le dîtes si bien par contraste et non par conviction.
Quant à savoir si Personne fait bien ou non de ne pas aller au fond des choses... il faut croire qu’elle préfère laisser à d’autres la prétention de pouvoir le faire.
Elle est contre les cumuls des mandats et n’est pas pour les double-emploi.
Et si elle ne prend pas la peine d’exprimer elle-même ses doléances... peut-être parce qu’elle a horreur des con-doléances.
C’est elle, qui ne demande Rien. Et à Personne.
Sade (immodératrice)
Mes amis,
Je vous remercie d’exister et d’être de vigilants lecteurs des billets
que j’ai posté moi-même sur Agora Vox sans me soucier, il est vrai, de
vos goûts et de vos dégoûts.
Je profite de cette occasion pour prier Agora Vox de ne pas publier le dernier billet que j’ai posté, il s’intitule "Connection" et concerne les cons et je ne voudrai surtout pas que quelques uns se sentent concernés.
Pauvre Hijack, qui a fait ce qu’il a pu sans parvenir à contenir ce
torrent de boue. Il est partagé rassurez-vous mais sa probité morale et
intellectuelle l’a rendu un peu plus nuancé que vous. ( Charité bien
ordonnée ).
Non, Personne ne dispose pas d’une petite boite à billets d’où elle sort
le plus approprié... elle écrit... interprète et réalise au pied
levé... Quand on vit et réfléchit instantanément on ne cadre pas
toujours mais on prend le risque de déplaire à tous les "encadrés" ou
encadreurs.
Les maîtres à penser que vous êtes censés être ne supportent pas les
coups d’essais... Je ne remettrais plus un seul billet sur ce site que
vous habitez... mais je sais que votre aversion est un doux désir qui ne
dit pas son nom... le désir d’avoir raison...
Ne vous fatiguez pas plus longtemps... Personne est d’accord avec vous... elle n’aime pas... ce que vous n’aimez pas...
Sade (immodératrice sur le Journal de personne)
Mes amis,
Je vous remercie d’exister et d’être de vigilants lecteurs des billets que j’ai posté moi-même sur Agora Vox sans me soucier, il est vrai, de vos goûts et de vos dégoûts.
Je profite de cette occasion pour prier Agora Vox de ne pas publier le dernier billet que j’ai posté, il s’intitule "Connection" et concerne les cons et je ne voudrai surtout pas que quelques uns se sentent concernés.
Pauvre Hijack, qui a fait ce qu’il a pu sans parvenir à contenir ce torrent de boue. Il est partagé rassurez-vous mais sa probité morale et intellectuelle l’a rendu un peu plus nuancé que vous. ( Charité bien ordonnée ).
Non, Personne ne dispose pas d’une petite boite à billets d’où elle sort le plus approprié... elle écrit... interprète et réalise au pied levé... Quand on vit et réfléchit instantanément on ne cadre pas toujours mais on prend le risque de déplaire à tous les "encadrés" ou encadreurs.
Les maîtres à penser que vous êtes censés être ne supportent pas les coups d’essais... Je ne remettrais plus un seul billet sur ce site que vous habitez... mais je sais que votre aversion est un doux désir qui ne dit pas son nom... le désir d’avoir raison...
Ne vous fatiguez pas plus longtemps... Personne est d’accord avec vous... elle n’aime pas... ce que vous n’aimez pas...
Sade (immodératrice sur le Journal de personne)
De quoi je me mêle ?
C’est quoi ce vacarme ?
Ce sont les étudiants canadiens qui hésitent à prendre les armes
Et pourquoi est-ce qu’ils hésitent ? Parce que les uns prétendent que les carottes sont crues et les autres qu’elles sont cuites.
Parmi eux, il y en a qui craignent le bâton, ignorent que c’est le bâton qui les craint...
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/05/de-quoi-je-me-mele/
Zemmour à la crème
Avec toi, j’ai toujours du mal à distinguer le premier, du deuxième sexe.
Sans doute, parce qu’il y a en toi un peu des deux. Je vais dresser le tableau pour qu’on s’y retrouve un peu, tous les deux…
Pour nous autres, femmes, il y a trois options pour faire carrière : garce, pute ou prostituée.
La garce, c’est celle qui te fait payer un service qu’elle ne t’a pas rendu… et qui finit toujours par te plaquer, parce qu’avec elle, tu es toujours à côté de la plaque.
La prostituée te loue ou sous loue son corps en échange de quelques rubis… elle fait office de service public, et tout le monde y trouve son compte y compris le ministère des finances qui lui demande de rendre des comptes.
Et enfin la pute qui vend son âme pour subvenir à ses besoins et perd toutes les parties en voulant à tout prix, gagner sa vie… parce qu’elle n’aime pas ce qu’elle fait et ne fait pas ce qu’elle aime…
Et sous prétexte qu’elle n’a pas le choix, elle ne l’aura jamais…
Pour vous autres hommes, l’arrogance au masculin, j’ai entrevu trois autres déclinaisons :
Vous êtes ou pauvres ou faibles ou mesquins.
Les pauvres ne peuvent pas faire autrement que ramasser les miettes et n’auront pas d’autre issue tant qu’ils croiront que la voie est sans issue.
Pour eux, la vie est une question de survie, leur corps fait partie du décor.
Les faibles, en revanche sont infiniment plus nombreux… Leur problème et le seul c’est qu’ils ont hypothéqué leurs âmes pour s’acheter une maison, gravir un échelon ou sauvegarder leur guenon.
Les derniers, docteur Zemmour, ce sont les mesquins. Ce sont les pires, les vampires qui ont besoin de notre sang pour se nourrir. Ils nous en veulent d’avoir un sentiment… parce qu’ils sont hommes du ressentiment… qui pour x raisons en veulent toujours à leur maman de les avoir mis au monde avec un cœur artificiel et un faux cul…
Ce tableau n’est pas plus noir que tes idées sur les barbares… Et pour ne pas te ressembler… je vais te dire que j’aime tout ce que tu fais… surtout quand tu fais semblant d’être un homme.
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/03/zemmour-a-la-creme/
Garde à vous !
Ce n’est pas parce que vous vous indignez
Que vous avez une idée claire et distincte de ce que c’est que la dignité
Non, je ne vous le dirais pas, tant que vous ne saurez pas ce que c’est
Tant que je vous jugerai indignes d’être initiés
Non, ce n’est pas facile, c’est plutôt habile
De secouer votre petit orgueil mal placé
Qui a parlé de Révolution ?
Ne m’en parlez surtout pas !
Voilà le type même de culture qui vous fait défaut
La culture de la Révolution
Non, pas la peine de puiser dans l’histoire
On n’est plus en 1789 mais en 2012...
La question de savoir comment faire bouger les choses, je le reconnais, ne date pas d’hier... mais il s’agit de tout à fait autre chose aujourd’hui... d’un monde qui bouge déjà... mais sans savoir où il va... destination inconnue... destin obscur...
Non, ce n’est pas une vue de l’esprit ni un tour de magie...
La Révolution n’est pas une solution conçue ou voulue par les extrêmes...
C’est la seule façon de poser ou reposer le vrai problème :
Pourquoi plus ça va et moins ça va ?... c’est tout de même surprenant : plus ça va et moins ça va et ça ne surprend quasiment personne.
Et pourtant... ça décline... ça dégouline.... et nos politiques de gauche comme de droite, entérinent...
changent de manteau, au lieu de changer les fondamentaux... d’objets au lieu de changer d’objectifs.
Révisez vos fondamentaux...
Non, je ne vous demande pas de me les restituer... mais de les destituer.
Au feu ! Il faut que ça crame, messieurs dames.
Non... ce n’est pas la réalité que vous avez sous les yeux mais une réalisation.
Devenez auteur et acteur de votre propre représentation...
C’est cela la culture de la Révolution
La révolution culturelle à laquelle tous les hommes vont être bientôt conviés.
Non, je ne suis pas humaniste, ni utopiste... mais je suis sensible à la fraternité...
Une valeur qui vaut et à laquelle rien n’équivaut.
Pour vous en rendre compte, sachez que nous ne naissons ni frères, ni sœurs mais que nous le devenons au fur et à mesure... Révolution permanente...
Je lève les yeux et je vous regarde...
et votre regard m’indique :
Qu’il y a plusieurs voies pour survivre ; mais pour vivre il n’y a qu’une voie à suivre : celle qui consiste à faire le chemin ensemble.
Garde à vous !
Ce n’est pas parce que vous vous indignez
Que vous avez une idée claire et distincte de ce que c’est que la dignité
Non, je ne vous le dirais pas, tant que vous ne saurez pas ce que c’est
Tant que je vous jugerai indignes d’être initiés
Non, ce n’est pas facile, c’est plutôt habile
De secouer votre petit orgueil mal placé
Qui a parlé de Révolution ?
Ne m’en parlez surtout pas !
Voilà le type même de culture qui vous fait défaut
La culture de la Révolution
Non, pas la peine de puiser dans l’histoire
On n’est plus en 1789 mais en 2012...
La question de savoir comment faire bouger les choses, je le reconnais, ne date pas d’hier... mais il s’agit de tout à fait autre chose aujourd’hui... d’un monde qui bouge déjà... mais sans savoir où il va... destination inconnue... destin obscur...
Non, ce n’est pas une vue de l’esprit ni un tour de magie...
La Révolution n’est pas une solution conçue ou voulue par les extrêmes...
C’est la seule façon de poser ou reposer le vrai problème :
Pourquoi plus ça va et moins ça va ?... c’est tout de même surprenant : plus ça va et moins ça va et ça ne surprend quasiment personne.
Et pourtant... ça décline... ça dégouline.... et nos politiques de gauche comme de droite, entérinent...
changent de manteau, au lieu de changer les fondamentaux... d’objets au lieu de changer d’objectifs.
Révisez vos fondamentaux...
Non, je ne vous demande pas de me les restituer... mais de les destituer.
Au feu ! Il faut que ça crame, messieurs dames.
Non... ce n’est pas la réalité que vous avez sous les yeux mais une réalisation.
Devenez auteur et acteur de votre propre représentation...
C’est cela la culture de la Révolution
La révolution culturelle à laquelle tous les hommes vont être bientôt conviés.
Non, je ne suis pas humaniste, ni utopiste... mais je suis sensible à la fraternité...
Une valeur qui vaut et à laquelle rien n’équivaut.
Pour vous en rendre compte, sachez que nous ne naissons ni frères, ni sœurs mais que nous le devenons au fur et à mesure... Révolution permanente...
Je lève les yeux et je vous regarde...
et votre regard m’indique :
Qu’il y a plusieurs voies pour survivre ; mais pour vivre il n’y a qu’une voie à suivre : celle qui consiste à faire le chemin ensemble.
La bourse ou les amis ?
Les bons comptes font les bons amis
Lieu commun qui ne m’inspire rien de bon
Bonté divine...
Que l’homme est mesquin
Bonté divine...
Que la femme est mesquine !
Les bons comptes font les bons amis....
Ha ! ha ! ha !et pourtant c’est ce qu’on dit !
Parce que l’erreur est humaine
L’économie inhumaine, qui assimile les comptes à jour avec les contes des mille et une nuits
Pourquoi dit-on que les bons comptes font les bons amis ?
Parce qu’on compte avec ou parce qu’on compte dessus ?
En sachant qu’on ne peut compter avec que si on ne compte pas dessus.
Ou peut-être parce qu’on ne veut pas avoir à compter ?
Oui, c’est ce qu’on dit pour ne pas tourner en rond....
On fait en sorte pour que les comptes soient bons...
Ah ! Ah ! Ah !
Bonne attitude... mauvaise habitude
Pour ne pas se retrouver seul à seul avec sa solitude
Honnêteté de gens malhonnêtes... Facebook... Internet....
Moralité sans parfum d’éternité
Les comptables ont beau compter
La vérité, la beauté, l’amitié, ne seront jamais rentables ou comptables, les bons comptes ne font les bons amis que pour ceux qui aiment l’argent et collectionnent les amis
Des amis côtés en bourse
Car je vous le dis en vérité :
La bourse ou les amis,
Vous avez peur de l’argent
Vous avez peur de la vie
1+1, ça peut faire deux
Mais ça peut aussi faire de l’ombre à Dieu
Pour se faire des amis, il ne faut ni compter avec, ni compter dessus mais les aimer et laisser la vie se faire.
Aimer la vie et les laisser faire...
Heureux ! Sont ceux qui ne savent et ne sauront jamais compter...
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/05/la-bourse-ou-les-amis/
Candidats, candidates
C’est à vous dix que je m’adresse, vrais ou faux démocrates
Vous me regardez d’en haut
Je vous regarde d’en bas
Le temps est venu, je crois, de se regarder en face !
À quelques jours, quelques heures de l’assaut final
Je me permets de vous faire une proposition originale
Il s’agit de notre contrat social
Devenu trivial sans rien de génial
Je vous propose de le revoir de le refonder de le reformuler
Pour que chacun en s’unissant à tous s’y retrouve lui-même
Avec les autres mais le même que lui-même
Débarrassé de toute mystification et toute aliénation
Dans le cadre d’une véritable association
Une association d’hommes libres et dignes
Qui substitue au contrat social initial
Un contrat de solidarité nationale
Pour garantir aux sans grades un minimum vital
Oui pour un droit à l’existence pour tous les citoyens
Que vous sommez de trouver des moyens
Alors que le véritable enjeu consiste à créer des liens
Oui des liens de solidarité à toutes épreuves
Qui dispensent de toute recherche de preuves
Ne dites pas que je désire voir les actifs voler au secours des inactifs
Mais voir des existants renouer entre eux des rapports d’existence
Des vivants, songer à autre chose qu’à la survie ou à la survivance.
Oui à la vie, non aux politiques de survie
Qui dissolvent le problème et ne le résolvent pas
Ne m’en parlez pas... ne m’en parlez plus...
De ce revenu minimum, nouvel RSA, vieux RMI
Nous sommes des enfants, non des mendiants de la patrie.
Quand on a faim, c’est la terre de nos pères qui est censée nous fournir le pain
Quand on est sans toit, c’est la terre de nos pères qui est censée nous fournir le lien
Quand on est à mal, c’est la terre de nos pères qui est censée nous fournir le bien !
Nous ne faisons qu’exiger pour chacun ce que nous réclamons de tous
Un minimum, NON, un maximum de solidarité
Pour que la terre de nos pères retrouve toute son intégrité
Donnons de quoi vivre à tous ceux qui n’ont pas de quoi
Sans rien leur réclamer en retour... cela s’appelle : le droit
Le droit de vivre sans devoir le justifier
Pour les juniors, pour les seniors
Pour les handicapés, les infortunés, les désarmés, pour tous les sans grades...
Accordons le droit de se loger, de se nourrir et de se vêtir du berceau jusqu’à la tombe
Comme unique gage de solidarité
Comme unique preuve de votre utilité
Un droit de vie décente pour tous et sans exception
Pour que notre république, ne soit pas cause privée de sens civique
Messieurs et mesdames les dépités
Accordez-nous UN REVENU SANS CONTREPARTIE
Pour que nous retrouvions le sens de la patrie, de cette terre qui appartient à tous.
À ceux qui y travaillent mais à ceux qui y vivent aussi
Le minimum doit être garanti pour tous les démunis parce que ce n’est pas le travail qui nous définit
Mais l’envie de partager cette vie
Sans que les plus grands n’avalent les plus petits.
Ni les puissants ne soumettent les moins bien lotis
UN REVENU SANS CONTREPARTIE
Doit être le socle nourricier pour tous les partis
Le seul préalable à tout parti pris
La vie, bon sang, la vie
Le sang qui coule dans la veine de cette main qui s’apprête à voter pour un autre lendemain !
Avril en vrille !
Ils ne cherchent pas midi à 14 heures
Ils le trouvent à 14 heures
Les abrutis
Pour eux, l’argent ne fait pas le bonheur
Il fait tout juste le leur
Les abrutis
Ils vont voter pour le mieux placé
Parce qu’ils ignorent que ce sont eux qui l’ont si bien placé
Les abrutis
Ils se sentent tellement différents
Mais ce sont toujours les mêmes
Les abrutis
Ils veulent terroriser le terrorisme
En regardant à travers un prisme
Les abrutis
Plus extrêmes que les extrêmes
Ils font naître de nouveaux problèmes
Les abrutis
Après les noirs et les juifs voici venu le temps
De stigmatiser les arabo-musulmans
Les abrutis
Qui nous bernent et nous cernent
Avec des vessies en guise de lanternes
Les abrutis
Ils disent que l’occident est sorti de sa minorité
Parce qu’il a décrété qu’à part la sienne y a pas d’autre liberté
Les abrutis
La civilisation des objets
Ne peut être supérieure aux larmes d’un seul sujet
Les abrutis
Ils éteignent la lumière et allument la télé
Pour y déceler dans le noir toute leur néantité.
Les abrutis
Ils découvrent l’histoire dans les journaux
Ignorant qu’elle est écrite pour eux, vaches, cochons, veaux
Les abrutis
Si on leur présente le Christ d’un côté et la vérité de l’autre
Ils choisiront le présentateur comme seul apôtre.
Les abrutis
Les électeurs ou les élus
Je ne sais pas... je ne sais plus
Les abrutis
Au mois d’avril, ne vous découvrez pas d’un fil !
Mais au mois de mai, ne faites pas ce qui vous plaît !
Ne votez pas, je vous en supplie...
Pour celui qui vous a rendu si petits !
Casse-toi toi-même !
Il ne faut pas se fier aux transparences.
Parce que les chevaliers de la vertu sont autrement plus répugnants que les marchands d’illusions.
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/01/casse-toi-toi-meme/
Pseudo premier : je vais vous faire un résumé de son analyse : assez pertinente, je l’avoue. Il commence par un dicton arabe qui dit : " Kader a démenti Abdelkader". Ce qui signifie pour un bon musulman que le royaume de Dieu est impénétrable et qu’aucune créature ne peut défier son créateur sans le payer en retour. Qu’aucun homme ne peut prétendre disposer de la vérité... et s’il le fait il sera tôt ou tard démenti par les faits. Kader dément Abdelkader. Quel rapport avec l’incarcération d’Abdelkader ? Selon votre camarade Abdelkader croyait être dans le vrai et a fini dans une maison d’arrêt et ceux qui lui ont mis la main dessus, croyaient bien faire mais ils finiront tous en enfer.
Ils seront tous démentis... parce qu’on ne peut pas jouer longtemps au puissant sans tomber sur plus puissant que soi... sur le plus puissant. Pour un vrai musulman. Le Kader et le seul, c’est Dieu. Et nous, nous sommes tous Abdelkader... des créatures impuissantes et arrogantes qui ont oublié leur créateur. Comme dit Mélenchon : tous en prison
J’ai mis 11/20 à pseudo premier parce qu’il a réussi à mon avis à nuancer son parti pris.
Pseudo deuxième : je vous lis les grandes lignes de son petit essai qui ressemble encore plus à un coup de balai.
Qu’est-ce qu’un fondement ? S’interroge votre camarade.
C’est ce sur quoi repose tout l’édifice.
Et qu’est-ce qu’un fondamentaliste religieux ?
C’est quelqu’un qui croit en son âme et conscience, devoir y accéder.
Or il se trompe. Parce que l’essence de la Foi, c’est de ne pouvoir y accéder. Parce que Dieu reste hors de portée.
Pour un vrai croyant, il n’y a pas pire péché que d’instrumentaliser Dieu...
Et selon votre camarade, il y a un autre fondamentalisme, encore plus lamentable que le premier : le fondamentalisme laïc qui s’efforce de chasser Dieu à tout prix. Peut-on chasser Dieu ?
Nos politiques prétendent que oui. À commencer par le Dieu des étrangers et des dérangés.
J’ai mis 12/20 à pseudo deuxième et pas davantage parce qu’il n’a pas réussi à en tirer les bonnes conclusions.
Pseudo troisième : j’ai souligné les passages les plus significatifs de son article :
Selon votre camarade qui manie fort bien l’humour noir et l’ironie, la France s’est enfin souvenue de sa devise républicaine : liberté, égalité mais surtout fraternité.
Si ce n’est pas toi, c’est donc ton frère. Fraternité oblige, fraternité désoblige. Tel frère... tel frère... c’est commode pour justifier son incapacité à rendre justice. Mettons-le au trou... si nous ne savons pas pourquoi, lui il le sait.
Non, ce n’est pas une justice à deux vitesses... mais à plusieurs.
Parce qu’ils sont plusieurs à chercher un bouc-émissaire qui les dispense de faire le nécessaire.
Nos dirigeants n’ont toujours pas compris que nous ne réclamons pas plus de police mais que nous avons faim et soif de justice.
J’ai mis 13/20 à pseudo troisième, trois points au dessus de la moyenne pour ses vertus citoyennes.
Quatrième pseudo : vous foncez dans le tas en disant : comment on a fait pour en arriver là ? Comment on a fait pour faire voler en éclats l’unité d’un état, d’un pays, d’une nation ? A force de cliver, de diviser, de vouloir séparer le bon grain de l’ivraie, on a fini par contaminer toutes les bonnes volontés.
La veille de l’arrestation, une partie de la France espérait avoir affaire à un néo-nazi, pendant que l’autre partie priait pour que ce soit un fondamentaliste musulman.
Comme si le destin de toute la nation reposait sur cette funeste opposition.
Nous avons oublié l’Histoire qui nous rappelle que dans les deux cas, nous serons perdants. Abdelkader et son frère nous ont laissé entendre qu’une majorité de français n’ont déjà plus rien à perdre, parce qu’ils ont compris avant même de voter que les jeux étaient faits.
J’ai mis 14/20 à pseudo quatrième pour le bien fondé de son défaitisme.
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/03/abdel-kader/
Deuil et mélancolie
En ce jour de deuil et de recueillement pour la France et pour la conscience humaine pas toujours humaine
Je prie... oui je prie
Tous les candidats à la magistrature suprême
De nous épargner désormais
La récupération politique ou politicienne
De cette barbarie religieuse ou païenne
De renoncer une fois pour toutes
À tout ce qui divise et stigmatise
Et d’annoncer quelque vérité substantielle :
La fin des vaines querelles
Par l’entremise de la même devise
Liberté, égalité, fraternité
Aujourd’hui tous les petits français l’ont pensé
Il n’y a pas d’autre alternative : C’est la fraternité ou la mort !
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/03/deuil-et-melancolie/
RESPECT !
Je marchais, j’ai trébuché, je suis tombée.
Sur quoi ? Sur un petit bout de réalité.
Aïe ! Aïe ! Ça fait mal
Sarko Tragedy Club
Président-candidat ! Pour qui sonne le glas ?
Non, ce n’est pas moi, c’est vous qui citez Tartuffe...
l’imposteur de service... l’incroyable incroyant...
pour lequel il y aura toujours un fossé entre les paroles et les actes...
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/03/sarkozy-tragedy-club/
Sarko Tragedy Club
Président-candidat ! Pour qui sonne le glas ?
Non, ce n’est pas moi, c’est vous qui citez Tartuffe...
l’imposteur de service... l’incroyable incroyant...
pour lequel il y aura toujours un fossé entre les paroles et les actes...
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/03/sarkozy-tragedy-club/
Sarko Tragedy Club
Président-candidat ! Pour qui sonne le glas ?
Non, ce n’est pas moi, c’est vous qui citez Tartuffe...
l’imposteur de service... l’incroyable incroyant...
pour lequel il y aura toujours un fossé entre les paroles et les actes...
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/03/sarkozy-tragedy-club/
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