@paul644354433554
Oui, merci, et il faudrait aussi parler de toutes les terres promises au bétonnage et au bitumage intensifs : comme par exemple le peut-être futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes...
"Construire un aéroport à cet endroit est une aberration. D’ailleurs ce projet inique serait avant tout une destruction irréversible plutôt qu’une construction... Destruction d’une zone humide remarquable (abritant des espèces protégées), exceptionnelle ; disparition de terres agricoles nourricières, qui seront recouvertes par des tonnes et des tonnes de béton et de bitume..."
La Chine rattrape son retard pour ce qui est de vider les campagnes...
"Les récentes réformes économiques en Chine ont imposé au Parti
communiste le plus vaste exode rural de l’histoire mondiale. On estime
en effet que le nombre de migrants à l’intérieur du territoire chinois
équivaut au nombre total de migrants dans le monde, tous pays confondus.
Historiquement le hukou, véritable « passeport intérieur »
instauré en 1950, visait à limiter ces velléités de mobilité sociale et
spatiale. Mais avec l’ouverture au marché, nombreux sont les
« travailleurs migrants » illégaux, c’est-à-dire sans carte de résident,
qui ne peuvent bénéficier d’aucun service public et qui vivent comme
des citoyens de seconde zone dans les villes de leur propre pays. Alors
une question se pose : comment la Chine va-t-elle gérer l’explosion de
cette population urbaine qui devrait atteindre 800 millions de personnes
en 2050 ? Quelles en seront les conséquences sur l’urbanisme ?
L’inégalité des droits entre détenteurs du fameux hukou et les autres ne risque-t-elle pas de conduire à une situation explosive ?" (Chine et migration)
@Kelimp
Il y a aussi un "lobby" qui œuvre à vider les campagnes (l’agriculture intensive est un des moyens utilisés), pour entasser un maximum de personnes dans les zones urbaines...
@cathy
Oui c’est passionnant, c’est beau et ça marche tout seul !
@Kelimp
Du matériel de plus en plus gros, des engrais chimiques et des pesticides... c’est exactement ce que dénonce Lydia et Claude Bourguignon (le sujet de mon prochain article) !
@ddacoudre
Plutôt d’accord avec vous sur la présentation de l’organisation capitaliste.
Les Organisateurs de tout cela sont très doués pour créer leur richesse en détruisant les autres. Quand un larbin du système se tripote en parlant de destruction créatrice, il est en fait en extase devant la destruction sadique d’une multitude de personnes par une poignée de pourritures cupides hyper-organisées pour créer leur propre richesse.
Destruction (des autres : les gueux, les sans-dents, les pas assez cupides, les pas assez tricheurs, pas assez vicieux, pas assez tueurs...) créatrice (de sa richesse, de son pouvoir, de sa domination, de sa place dans le club des ................ )...
@Soi même
Oui, des groupes occultes très influents manœuvrent en coulisses... Ils sont passés maîtres dans l’art de manipuler les foules. Ils auraient tort de s’en priver ! Nous sommes tellement naïfs et influençables...
bonjour ddacoudre
Armstrong dit que "son modèle" a été établi en se basant sur l’historique des crises financières au cours des précédents siècles. Apparemment son modèle de prévision a bien fonctionné pour l’année 1987 (et pourtant l’activité des marchés en 1987 était sans commune mesure avec ce qui existait lors des crises d’il y a 2 siècles par exemple. Son modèle ne semble pas être lié à la quantité d’échanges économiques-financiers).
Nous saurons bientôt si son modèle de prévisions fonctionne encore pour l’année 2015...
@Voter Après la Monnaie
Bah oui, je considère que la société a "une tête", et ça ne date pas d’hier !
La tête c’est une minorité qui agit selon ses intérêts (qui sont énormes), en manipulant, avec un grand mépris, "le reste du corps" (99,xx % des gens). Elle contrôle (plus ou moins) tout ce qui a de l’importance pour elle (monnaie, énergie, économie, industries, médias, politiques, etc) et déclenche tous les événements importants (guerres, krachs, coups d’état, etc) qui lui sont favorables (si elle ne les déclenche pas, elle prendra le train en marche pour y tirer quand même un bénéfice).
La tête est bel et bien là, et le reste du corps suit le mouvement sans trop rechigner...
Bah non, je ne considère pas que la société doit avoir une tête (qui déresponsabilise les citoyens). Je dis même exactement le contraire... "La tête et le reste du corps ne devraient faire qu’un"... Chaque citoyen devrait être un "corps complet" (tête + reste du corps) et à ce moment-là on pourra couper "la tête malade".
@julien58
Quand on rentre dans la spirale du toujours plus, ou du toujours moins, ça devient vite beaucoup plus dangereux qu’une pratique "normale"... On a beau le savoir et penser être en contrôle, l’erreur ou la défaillance ne pardonnent pas...
Mad Max ratisse large... Chacun y trouvera ce qu’il a envie d’y trouver. On peut aussi y voir une dénonciation du système actuel, tellement malade qu’il finit par s’effondrer...
Le système actuel est malade parce que "la tête" est malade.
La tête méprise le "reste du corps" qu’elle considère comme son esclave.
Le "reste du corps" (99,xx % de la population) fonctionnera sur des principes identiques quel que soit le système (monétaire, non-monétaire...) : ne demande qu’à vivre tranquillement (pacifiquement, respect de l’autorité...), avoir un travail correct, avoir son chez-soi, fonder une famille, assurer un avenir à ses enfants, etc.
La tête et le reste du corps ne devraient faire qu’un...
@Voter Après la Monnaie
Pour ce qui est d’un monde post-monétaire, dans le réel cette fois, pas dans l’imaginaire, bien malin celui qui peut savoir à l’avance ce qu’il serait...
Pourquoi pas un monde "à la Mad Max", hyper-violent, totalement injuste, où la loi du plus fort règnerait, où la course à l’argent serait remplacée par la course à des biens (eau, nourriture, sources d’énergie...) indispensables, raréfiés et captés par une minorité au détriment de la majorité (l’équivalent de l’argent dans un monde monétaire) ?
Ou bien un monde plus juste, basé sur le partage, la coopération, où les ressources disponibles seraient réparties équitablement, où la sagesse serait le pilier du fonctionnement de la société ?
Toutes les extrapolations sont envisageables.
Qui peut dire lequel de ces deux mondes post-monétaires est le plus probable ?
A mon avis, personne ne peut le prévoir. On peut prédire un monde meilleur, comme on peut prédire un monde encore pire...
@Voter Après la Monnaie
Vous réagissez à mon premier commentaire comme si j’avais écrit qu’une société non-monétaire ne pourrait exister qu’avec les caractéristiques décrites dans mon exemple de "société idéale". Ce n’est pas du tout ce que dit mon commentaire... J’imaginais juste une société "idéale", imaginaire (irréelle), où le concept de monnaie (d’argent, de profit, etc) n’existerait même pas.
@Voter Après la Monnaie
Pourquoi vous réagissez aussi agressivement à ce que vous croyez être du foutage du gueule ?
Je n’ai rien fait d’autre que décrire une société qui, selon moi, n’aurait pas recours à l’argent et ne connaîtrait donc pas les affres d’avoir comme leitmotiv de "faire du profit", "faire du fric"...
Vous n’êtes pas d’accord avec ça ? Vous pensez qu’une société telle que je l’ai décrite utiliserait de la monnaie ?
@Miona
La liste des salles n’est pas encore affichée sur le site de Jupiter Films.
Ils la donneront sûrement dans les prochains jours (il reste plus d’un mois avant la sortie du film).
Les affaires judiciaires - Résumé (dernière partie)
Lors d’une négociation de plaidoyer, le gouvernement a accepté de renoncer à 23 de ses 24 chefs d’accusation, en échange de son plaider coupable, le 17 août 2006, ne gardant qu’un motif de conspiration à “faire fusionner / mélanger les comptes des investisseurs avec les siens, suivant en cela les suggestions de la Republic Bank, mais sans en informer les investisseurs”, malgré le fait que Republic New York avait confirmé par lettre à la fin 2001, en réponse aux investisseurs japonais (qui avaient déposé plainte contre eux) “qu’Armstrong et ses entités de Princeton avaient l’autorisation contractuelle de fusionner / mélanger les fonds” puisque tous les comptes gérés par Armstrong ou ses entités de Princeton chez Republic New York, étaient placés sous sa seule autorité. Ignorant tout bonnement ces faits, le juge a condamné Armstrong, le 10 avril 2007, à une peine d’incarcération supplémentaire de cinq ans.
Ce n’est que le 2 septembre 2011 qu’il fut enfin libéré. Le 18 avril 2012, Armstrong envoya une lettre ouverte à l’ancien administrateur judiciaire de la U.S. Securities and Exchange Commission, M. Tancred Schiavoni. Armstrong nous donne un résumé de sa version de l’affaire.
Les affaires judiciaires - Résumé (5ème partie)
Armstrong a fait pression pour qu’un procès ait lieu rapidement, afin de pouvoir être libéré, du fait qu’aucune somme ne restait dûe, puisque Republic New York avait intégralement remboursé les sommes spoliées. Pour l’en empêcher, le gouvernement a renvoyé tous ses avocats, le privant de tout conseil, ainsi que de sa société. Ceci a eu lieu lors d’une audience extraordinaire, à huis clos, au cours de laquelle le gouvernement a fait expulser la presse, en toute illégalité, le 24 avril 2000. L’agence Associated Press a rapporté l’incident, posant la question le 26 avril 2000 : “C’est à se demander si le prévisionniste financier du New Jersey pourra bénéficier d’un procès équitable”.
Le gouvernement prononça alors une sentence d’outrage au tribunal, et malgré les statuts officiels la limitant en principe à 18 mois maximum, il fut maintenu en prison, sur la base de l’outrage, sans avocat, sans procès, ni motif, pendant plus de 7 ans, ce qui en fait la plus longue incarcération pour outrage au tribunal de l’histoire des États-Unis d’Amérique.
Les affaires judiciaires - Résumé (4ème partie)
Dans l’incapacité de démarrer les procédures pendant une période si longue — car il n’y a aucune possibilité de recours à un procès devant un jury dans les cas d’outrage — le Wall Street Journal a mentionné l’affaire dans leur édition du 8 janvier 2009, sous le titre : “Aucun motif : dans les affaires d’outrage civil, la durée d’incarcération peut se prolonger pendant des années”, Armstrong n’a pas trouvé d’autre moyen de s’en sortir, que de plaider coupable.
Pour avoir apparemment détruit des biens appartenant à la prison, il a été soudain placé à l’isolement (au “trou”) pendant douze journées consécutives, le privant ainsi de la possibilité de consulter des dossiers d’une importance cruciale pour lui permettre d’assurer sa propre défense.
Les affaires judiciaires - Résumé (3ème partie)
Alors qu’Armstrong était en détention provisoire, attendant son procès, le tribunal a nommé l’administrateur judiciaire Tancred Schiavoni.
Ce dernier a essayé de mettre la main sur le code source non compilé, qui était la clé dont Armstrong se servait jusque là pour effectuer
toutes ses prévisions financières, d’une exactitude redoutable. Mais Armstrong refusa obstinément de lui remettre le code tant recherché.
Comme Armstrong n’avait cédé ni les actifs, ni les documents (donc le code source) exigés par le gouvernement, le juge Richard Owen ordonna qu’il soit incarcéré. Alors que dans la plupart des cas de ce genre, une personne est détenue une durée qui n’excède jamais 18
mois, le Juge Owen a ré-imposé la même durée d’incarcération de manière répétée, exigeant que les éléments qu’il avait demandés soient remis par Armstrong. Il fut éventuellement dessaisi du dossier par un panel de la Cour d’appel des États-Unis pour le Second Circuit, ses magistrats ayant décidé que l’affaire avait besoin d’ “un regard neuf.”
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