BCE : la planche à billets, c’est Noël en janvier pour Hollande
Avec l’injection de morphine à haute dose de la BCE, Hollande n’a plus aucune contrainte extérieure et la voie est donc libre pour ne plus rien faire en attendant tranquillou 2017. Le laxisme économique, c’est encore maintenant :
Tags : Europe Economie
7 réactions à cet article
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Un "défaut" de la Grèce ? Mais qu’est-ce que le QE ? Sinon un "défaut" justement ? Un discret défaut ? De la France, de l’italie, de l’Allemagne (ah oui ?), et de tous les autres, un défaut de l’EURO lui-même, agonisant aujourd’hui et mis sous morphine, pour le meilleur aujourd’hui et surtout le pire demain : quand plus personne (parmi les puissants) ne voudra de la paix.
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Et revoilou la Doze d’Erwanouille dans une énième bouffonnade.....
Un PQE mais uniquement pour les banksters en faillite signe que tout va bien en zone euro....
Aux US, ça va être pareil, vu que le gaz de "shit" va faire faillite en cascade, ils vont refaire un QE4..
Ah, c’est beau le libéralisme.....-
et oui la prime a la médiocrité coincide avec les interets du système financier .
et pis qui croyait qu hollande allait réformer d ici 2017 ??pour moi ca ne change rien, les taux d emprunt etaient déja ridiculeusement bas, les risques systémiques de la zone euro n ont pas changé et meme sans le QE il n’aurait de toute facon pas fait plus que ce qu’il a déja annoncé ( on reforme jamais a deux ans d une election), ce qui est déja pas mal pour une gauche francaise, s il parvient a réformer les seuils , a transformer le cice en baisse de charges structurelle et a réussir les 50 milliards de depenses.mais c est vrai que ce flanby a decidement le cul bordé de nouilles. de la a se le coltiner encore 5 ans ? n exagerons rien ! souvenez vous comment a fini jospin et ses 3% de croissance.c est plus qu un challenge economique, ca va se jouer sur les valeurs ( autorité, famille) et le flanby va devoir mettre le manu au devant de la scène pour avoir l’air méchant-
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Quand les "libéraux" comprendront qu’Hollande ne fait qu’appliquer les volontés de la commission EU, elle-même complètement sujette aux lobbys financiers ( et donc au secteur privé ) en dehors de toute maîtrise démocratique ou nationale, Ils réfléchiront peut-être à deux fois avant de s’éterniser sur le méchant État et sur les saintes et infinies vertus du privé...
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