Le Néolibéralisme - système indépassable ?
Tous les jours des Nicolas Doze – Elie Cohen Michel Godet (chien de garde entre tous) etc. ... nous le rappellent :
« Ce système est indépassable car le meilleur de tous les temps » - copyright Aldous Huxley, copieur de Shakespeare
et si nous faisions un premier bilan des plus de trente ans de ce système néolibéral, fruit des Triplés de Salem – Milton Friedman, Margaret Thatcher, Ronald Reagan.
Un premier bilan en trois analyses complémentaires :
1 - L'analyse universitaire
2 - L'analyse politique
3 - Cas concret, la France, vue de Caracas
Partie 1
Comprendre le néolibéralisme – Philippe Hurteau, chercheur à l’IRIS, et Julia Posca, chercheuse à l’Iris, mars 2013.
Partie 2
En admettre les effets politiques – Jacques Généreux, 2007 !!!
Partie 3
Le néolibéralisme en France, vu de Caracas.
Tags : Politique Nouvel Ordre Mondial
25 réactions à cet article
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"Maiheuuu... c’est pas ça le libéralisme pur ! Il est pas entièrement appliqué là, donc ça compte pas" et heureusement qu’il est pas entièrement appliqué !
Je me tue à expliquer que le libéralisme renforce le rôle de l’Etat. S’il perd de sa souveraineté nationale, il exerce une action directe sur les individus en supprimant tous les intermédiaires entre Etat et individu (famille, groupes d’appartenance, régions distinctes l’une de l’autre et toute forme de particularisme spirituel). Le lien social est maintenu uniquement à partir du Marché et du Droit, deux instances que l’on veut neutre. Mais c’est faux, le Marché n’a rien de naturel, ses lois sont même anti-naturelles en ce sens où l’intérêt bien compris, le calcul rationnel, sont des conceptions abstraites et anti-empiriques. La mise en place du libéralisme nécessite un travail préalable de destruction anthropologique des humains. C’est ce à quoi nous assistons depuis quelques décennies, mais l’humain est têtu apparemment !-
Donc pour être plus clair le rôle de l’Etat est renforcé dans son oppression sur l’individu parce qu’il a le devoir de faire accepter le néo-libéralisme, ultra ou n’importe comment on l’appelle, et plus le projet est mis en place, plus l’oppression est totalitaire car il n’y a plus de particularismes, d’intermédiaires entre l’Etat et l’individu, totalement soumis à l’Etat, détenteur du monopole de la violence légitime. En revanche, il perd de sa souveraineté nationale. C’est exactement ce que nous vivons. D’une pierre deux coups pour le mondialisme forcé !
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Le bilan du libéralisme il est là, et c’est l’opposé de ce qui est dit ici : http://www.agoravox.tv/actualites/economie/article/liberte-economique-et-qualite-de-33288
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Ha Jean ,
tu me feras toujours rire . Super ton gag ; bravo !
T’as pas une cacahouète ?
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Le troc avait au moins l’avantage de fixer la valeur d’échange d’une marchandise selon les besoins sociaux de chacun.
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Tout à fait d’accord. C’est aussi le problème du gouvernement représentatif )et du monde des experts). On attend de lui qu’il améliore notre condition de vie, alors que c’est une caste de profiteurs. En attendant on bosse, mais on bosse pour le Grand Capital, soudé à l’élite politique (comme à toute élite). Le fait que les lois du Marché soient la nouvelle religion et définissent les normes sociales nous incitent à croire qu’on est libre alors qu’on est libéralisé, c’est-à-dire que nos pensées et nos actions sont déterminées par la circulation des biens et des services (consommation). Et vu qu’il y a une course à la consommation, on s’est jamais cru autant libre et on a jamais été aussi déterminé. Passivité... tromperie... on est pas sorti de l’auberge !
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daniel paul 15 mai 2013 15:59Je trouve ce que tu dis juste..
pas sorti de l’auberge non, mais ce n’est pas la première étape pour moi, comprendre serait de mon point de vue la première étape, que ce soit globalement ou en soi pour soi donc personnellement...
Ne rien attendre en terme de changement signifie ne pas avoir peur du futur car il n’y a pas d’espérance en demain....et quelqu’un qui n’a plus peur devient un danger pour toute injustice..
Là se passe de drôles de "choses" au niveau du cerveau...j’expérimente...
le sujet d’une vie.....
salutations..
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l probleme, c est qu un systeme de don-contre don, ou systeme sans monnaie, ca ne marche qu entre des hommes au lien social tres fort, comme dans la famille ou la tribu
mais il est utopiquement fou de croire que cela est transposable a 7 milliards d humain qui ne se connaissent pas.Les communistes et autres ideologies totalitaires s en sont cassé les dents en essayant de créer ce lien imaginaire entre chaque individualité.La solution est comme toujours entre les deux, comme la 3eme voie gaulliste, la voie du milieu boudhiste,on peut atténuer les pires effet du libéralisme (qui , comme dit daniel, n est que l extension al extreme de l usage de la monnaie), en se servant de cet humanisme naturel que toute personne doté de descence commune possede,pour oter de la bouche du marché desdomaines comme la santé, l éducation, la justice ; la nourriture debase et un logement de base ;le reste, le systeme productif,ce pour quoi des hommes se leve le matin, les efforts de chacun pour ameliorer son quotidienla différenciationet meme dans certains domaines la compétition;; ;; ne pourra pas etre oté du systeme marchand car ce sont des notions qui font partis intrinsequement a la nature humaine. -
... Et non, ces canadiens ont bien compris que le pseudo néo libéralisme est surtout un nouvel étatisme, et même pire, un technocratisme.
Je les trouve très pertinents ...Voici l’adresse de l’IRIS , pour les analyses plus en profondeur .
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Ou alors le néo-libéralisme est un mot de la novlangue technocratique qui signifie en réalité pré-libéralisme, d’où l’autoritarisme étatique servant à conditionner les individus à la mise en place d’un libéralisme "naturel", lorsque les gens seront prêts, c’est-à-dire lorsque leur anus aura une capacité de dilatation maximale.
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Yoananda,
je sais pas si je vous l’ai dejà dit : bravo. je suis pas habitués aux liberaux honnetes sur les forums.Vous avez totalement raison,le neo liberalisme n’en ai pas un.J’essaye de ne plus me faire avoir mais c’est plus fort que moi,j’utilise le mot liberal un peu à tort.Par contre je ne crois pas que le liberalisme veritable soit un systeme stable ; pour moi il mene toujours,le laps de temps n’est pas determinant,à son contraire. -
Je n’ai vu que le 3ème document présenté.
Aucun intérêt. C’est un beau ramassis de traîtres et de crétins, par ailleurs tous gauchistes vendeurs du hollanchonisme révolutionnaire. Faudrait étudier le coefficient de corrélation entre ces variables, il devrait être proche de 1.-
Famine tu est parfois pertinent et toujours sympathique mais ton sectarisme et ta vision binaire,sur le coup,des individus militants c’est la catastrophe de demain pour notre pays.
Tu as raison de miser sur la BAD , car beaucoup sont comme toi. -
Je comprends mal ces critiques. T’as vu le doc ? Insupportable de sectarisme gauchiste justement.
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je trouve pas trop.
Peu etre que c’est devenu banal pour moi,le sectarisme en politique. -
Néo-libéralisme ? Kézako ? Pour moi il n’y a que le libéralisme, où il n’y en a pas, il y a liberté et autorité. La nouvelle liberté est autoritaire ? Ça ne veut rien dire, autant dire que le nouveau ciel est blanc avec des nuages bleus.
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la liberté paR rapport a qui ? a quoi ?
concept aussi flou que l égalité...la justice est ennemi de la liberté du violeurla justice sociale est ennemi de la liberté du spéculateur neolibéral -
J’avoue je suis désolé d’être si difficilement compréhensible pour des "Neo"-Marxistes.
La liberté par rapport à celle de la liberté de l’autre, évidemment, celle qui fait qu’il n’a pas m’utiliser et à choisir ma vie à ma place, violer quelqu’un, c’est évident, viol est un rapport sexuel forcé, donc ce n’est pas la liberté de viol qu’on doit plaider, mais plutôt la liberté de choix et d’envie de ne pas être embêté.Enfin après si vous êtes un violeur récidiviste monsieur, faites attention à ne pas ramasser le savon en prison... -
ah j ai compris,
c est comme la liberté de pouvoir se déplacer ou bon nous semble sans tenir des compte des panneaux " propriété privée" (méchante autorité)c est cool en fait le libéralisme -
Non non, car la propriété est une volonté personnelle choisit par un autre individu, tu n’as donc pas le droit de la franchir, sans son autorisation.
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c est bien la que l on voit les limites de votre truc/
la liberté de propriété rentre en choc frontal avec la liberté de se déplacerquelle libertés auront nous le jour ou chaque centimetre carrée sera la propriété de quelqu un ? -
C’est la surtout que l’on voit apparaître différente école du libéralisme qui ont chacune leur point du vue sur la chose, vous croyez que les libéraux sont contre l’état en soi ? C’est très intelligent comme raisonnement...
Ah en fait non, car en général les libéraux sont pour qu’il y ai un public qui met en place la société dans laquelle on vie et qui défend les droits des citoyens, cela implique des espaces "publiques" (souvent les rues et autres endroits spécifique) qui permettent la coercion des individus entre eux, et un espace "privé" qui défend l’individu de quelconque autorité.Et les différentes écoles de pensées libérales sont en désaccord sur le positionnement précis de ces points là.Malheureusement, les "neo"-marxistes ne voient pas plus loin que leur bout de leur "lutte".
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