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Accueil du site > Actualités > Environnement > Comment se portent les abeilles ?

Comment se portent les abeilles ?

Les abeilles, comme les vers de terre, tiennent une place très importante dans la nature et forment un chaînon indispensable de notre agriculture, donc de notre alimentation. Malgré leurs bons et loyaux services, les abeilles se portent mal depuis plusieurs années. Les multiples causes de ce déclin (monoculture, pesticides, parasites, frelons asiatiques, déserts floraux...) sont présentées dans les vidéos suivantes. Les causes étant connues, les pratiques agricoles bénéfiques à la fois aux abeilles, aux agriculteurs, aux apiculteurs et aux consommateurs, devraient donc s'imposer. Mais des lobbies (agrochimie, semenciers, industrie agroalimentaire, etc) toujours plus puissants (Monsanto racheté par Bayer *) veillent d'abord à leurs intérêts... qui ne sont pas les nôtres, ni ceux des abeilles...

 

 

Comment se portent nos abeilles ?

 

 

Ajoutée le 26 septembre 2016 par universcience.tv

 

Comment sauver le soldat Abeille qui fournit tant de bons et loyaux services à la nature et à l'agriculture ? Vincent Bretagnole, écologue au Centre d’études biologiques de Chizé (CNRS) et Martin Giurfa, spécialiste en cognition animale au Centre de recherches sur la cognition animale (CRCA – CNRS / université Toulouse III – Paul Sabatier), font le point sur la santé des abeilles domestiques et sauvages dans le contexte agricole actuel. Ils évoquent aussi certaines pratiques agricoles souhaitables comme planter des bleuets et des coquelicots en même temps que le blé, laisser de la place aux "mauvaises herbes", voire supprimer les herbicides et insecticides...
Une interview menée par Yseult Berger, journaliste à Science Actualités, dans le cadre des Petits-déjeuners de l'Association des journalistes scientifiques de la presse d'information (AJSPI).

 

 

Abeilles, agriculteurs, apiculteurs : même territoire - Henri Clément

 

 

Ajoutée le 7 octobre 2014 par AFAF agroforesterie

 

Des produits de la ruche aux services de pollinisation, excellent état des lieux de l'apiculture française et internationale en 2014, par Henri Clément, porte-parole de l'UNAF. 
Conférence du 26 septembre 2014 pour une journée "Agroforesterie et abeilles" au Ministère de l'Agriculture, dans le cadre de la Fête de la gastronomie.

 

 

L'abeille, sentinelle de l'environnement

 

 

Ajoutée le 21 avril 2016 par Patrick FAVER

 

Depuis plus de vingt ans, la mortalité observée sur les colonies d'abeilles a fortement augmenté.

 

Alors que le taux hivernal de pertes considéré comme normal était de 8 à 10%, les apiculteurs, en France, déplorent désormais des pertes annuelles pouvant dépasser les 30%.

 

Dans certains pays comme aux USA ce taux atteint les 50%...

 

Agriculture intensive, monoculture, pesticides, parasites, déserts floraux, apiculture moderne, sont autant d’explications probables à la disparition des abeilles.

 

 

 

Néonicotinoïdes : des pesticides tueurs d'abeilles ?

 

 

Ajoutée le 30 septembre 2016 par Solenn Riou

 

Si l'abeille disparaissait de la surface du globe, l'homme n'aurait plus que 4 années à vivre... Une phrase signée Albert Einstein qui fait froid dans le dos.
Aujourd'hui, le nombre d'abeilles diminue et certains pointent du doigt les néonicotinoïdes... des pesticides utilisés essentiellement sur les céréales et légumes.
Les députés ont voté leur interdiction à partir de septembre 2018... Une interdiction qui devrait s'accompagner de dérogations jusqu'en 2020.
Un reportage de Solenn Riou et Erinna Fourny.

 

 

 

 (*) « La fusion entre Monsanto et l’allemand Bayer constitue une étape supplémentaire dans la course au gigantisme des agro-industriels. Objectif pour ces mastodontes : amortir les coûts de recherche sur les biotechnologies, concentrer les brevets et, in fine, maîtriser l’ensemble de la filière. En face, la dépendance des paysans et des pays s’accroît. 

[...]

La concentration des firmes de l’agrochimie accentue la dépendance des paysans vis-à-vis de ces mastodontes. Surendettement des petits producteurs, augmentation des prix des denrées alimentaires. « La domination des géants des semences a donc pour effet d’accroître la pauvreté et la faim dans les campagnes », constate Swissaid. Mais la constitution d’un tel oligopole pose aussi de sérieuses questions démocratiques, estime Guy Kastler : « Nous nous retrouvons avec des multinationales plus puissantes que nombre d’États, en mesure d’imposer leur loi au détriment de la souveraineté populaire. »

 

La fusion entre Monsanto et Bayer n’est donc pas une bonne nouvelle pour les peuples. Mais elle doit encore être validée par les autorités de régulation de la concurrence, qui n’hésitent pas, ces derniers temps, à briser des mariages annoncés... et qui n’ont pas encore donné leur feu vert aux rapprochements Dupont-Dow et Syngenta-ChemChina. » 

 

(extrait de Monsanto fusionne avec Bayer - 15 septembre 2016 / Lorène Lavocat (Reporterre))

 

 

Lila K

 

 

PS : à voir également, cette vidéo plaidant pour un compromis entre Apiculture et Abeilles sauvages (ajoutée le 10 décembre 2015 par permaculture agroécologie etc...), ainsi que : Sarah nous parle de sa vision de l'apiculture et de l'association Bzzz (ajoutée le 23 décembre 2015 par permaculture agroécologie etc...)

 

 

Tags : Environnement Société Santé Biodiversité Ecologie Citoyenneté Agro-alimentaire International Pollution Lobby Animaux Agriculture Alimentation Nature Monsanto Bio Permaculture




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16 réactions à cet article    


  • 2 votes
    paul644354433554 (---.---.239.21) 1er octobre 2016 14:13

    Vous oubliez de parler des ondes électromagnétiques qui les perturbent très grandement (antennes relais, téléphones portables, WIFI et autres saloperies)...

    Une abeille sous le champs préalable d’un simple téléphone portable déposée à 500m de sa ruche ne retrouve plus le chemin...

    A méditer...


    • 1 vote
      Lila K Lila K 1er octobre 2016 14:25

      @paul644354433554
      Oui, merci, et il faudrait aussi parler de toutes les terres promises au bétonnage et au bitumage intensifs : comme par exemple le peut-être futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes...

      "Construire un aéroport à cet endroit est une aberration. D’ailleurs ce projet inique serait avant tout une destruction irréversible plutôt qu’une construction... Destruction d’une zone humide remarquable (abritant des espèces protégées), exceptionnelle ; disparition de terres agricoles nourricières, qui seront recouvertes par des tonnes et des tonnes de béton et de bitume..."


    • 1 vote
      cathy cathy 1er octobre 2016 15:35

      @paul644354433554
      Non, il y a une grosse antenne relais près de chez moi, et les abeilles retrouvent le chemin de leurs ruches.

      Quant aux empoisonnements aux pesticides, c’est tout le temps, tout dépend du poison, quelques fois, il est détonnant, alors elles peuvent prendre les devants, branle bas de combat dans la ruche, mais quelques fois c’est insidieux, mais j’interviens tout le temps, j’enlève le bas de la ruche ou se trouvent les premiers pollen.


    • vote
      nefertari 1er octobre 2016 20:22

      On a des armes, du moins ceux conscients du problème en ont...
      On peut déjà éviter d’utiliser des produits phytosanitaires, consommer des produits alimentaires issus de l’agrobiologie (sinon on en balance par procuration), on peut quand on a un jardin en laisser une partie aux abeilles (un parterre de fleurs mellifères avec des floraisons espacées), on peux expliquer sans relâche que tous nos produits chimiques finissent dans nos corps (bout de chaine alimentaire) avec des liens évidents pour certains cancers y compris de l’enfant, on peut pétitionner, écrire à son député (qui s’en fout mais bon...), on peut devenir végétarien (faut à la louche 5 fois moins de surface pour nous nourrir donc 5 fois moins de surfaces à arroser si on mange pas bio), etc...
      Sincèrement, après quelques décennies passées à essayer de faire ouvrir les yeux à une bande de " $* ?!!!" j’ai appris la philosophie. Cette planète n’est pas la mienne, je suis de passage et ce monde sera ce que le troupeau en aura fait. J’ai fait mon boulot, vous faites le vôtre, mais il faut toujours avoir en chapelet les mots du "Petit Prince".


      • 1 vote
        sls0 sls0 1er octobre 2016 21:49

        Il n’y a pas de problème avec les abeilles, il y en a toujours autant et en pleine forme.
        Bizarre et hors du temps cette phrase.
        Dans le pays ou je réside ils ne veulent pas dépenser de l’argent bêtement, très peu de produits phytosanitaires, ce qui permet d’exporter leur production trois fois plus chère car bio.
        Ici le miel n’est pas chère, les abeilles c’est pas ça qui manque.

        Comme par chez moi, il n’y a pas de PAC, de primes en tout genres, celui que veut vivre de sa terre il vaut mieux qu’il évite MONSANTO et BAYER.

        Ce matin j’ai acheté mes tomates 1€20 le kg, d’accord ce n’était pas en barquette et elles n’était pas calibrées et des oignons à 0€80 le kg, comme c’est aussi en vrac j’ai choisi la taille et la couleur. Rolando a fait 10km avec son honda supercub, 0,15 litre d’essence pour le bilan carbone pour 50kg de légumes.
        J’ai fais une bonne affaire et Rolando aussi.


        • 1 vote
          DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 2 octobre 2016 07:19

          Les apiculteurs sont à l’abeille ce que les agriculteurs sont à la terre, des exploitants, des ennemis, des empoisonneurs, des adeptes du hybride F1 dégénéré, je m’explique :
           
          Les apiculteurs exploitent les abeilles domestiques pour leur miel et non pas pour sauver "la race" des abeilles. Idem pour le paysan qui exploite une race de vache, non pas pour sauver "la race", mais pour avoir le lait et la viande du bovin.
           
          Les apiculteurs achètent leurs abeilles chez des fournisseurs d’abeilles. On parlent d’abeilles domestiques qui sont conçus comme les semenciers conçoivent leurs graines hybrides F1 ... Les abeilles domestiques sont très fragiles quand on les implantent dans la nature sauvage, idem avec les graines hybride F1 de nos paysans, qui ont besoin d’engrais chimique, de pesticides et de produit phytosanitaire pour résister dans la nature.
           
          Quand un apiculteur achète un nucléus (petit peuple) d’abeilles chez son fournisseur d’abeilles, il y a de grande chance que ce nucléus meurt après avoir donné son miel, ainsi l’apilculteur sera obligé d’acheter d’autres nucléus pour la saison suivante. Les semenciers qui nous vendent chaque année des graines hybrides F1 sont dans la même logique, leurs semences se reproduisent mal et obligent l’agriculteur à se fournir chaque année chez le semenciers.
           
          Les apiculteurs sont loin d’être amis les abeilles, ce sont leurs ennemis. Au moment de la récolte de miel, la plupart de apiculteurs tuent leurs abeilles pour s’emparer de leur miel, qui est je le rappelle la nourriture des abeilles.
           
          Tous le monde peut faire un geste pour aider les abeilles, il suffit de poser quelques pots de fleurs sur son balcon pour attirer et les nourrir les abeilles sauvages.


          • 1 vote
            jean mouche jean mouche 2 octobre 2016 14:24

            @DJL 93VIDEO

            Mouais... quelques arguments noyés dans dans beaucoup de méconnaissance.

            *

            Les apiculteurs sont à l’abeille ce que les agriculteurs sont à la terre, des exploitants, des ennemis, des empoisonneurs, des adeptes du hybride F1 dégénéré, je m’explique :

             C’est vrai, on peut ajouter à cela bien d’autres tares :

            -ils roulent presque tous en 4X4, bonjour les écolos.

            -Ils se croient les chevaliers blancs, voir carrément maître yoda de la lutte planétaire pour l’environnement, alors que c’est discutable...

            -ils font porter de ridicules costumes d’abeilles a leurs bambins pour booster les ventes sur les marchés.

            -ils tartinent à la peinture leurs reines et leur coupent l’extrémité d’une aile en poussant les même cris que les cowboys du Texas lorsqu’ils marquent leurs bêtes.

            -ils manquent d’objectivité et dévorent des larves dans le silence pesant des bois jolis...

            ( à suivre)


          • 1 vote
            jean mouche jean mouche 2 octobre 2016 14:44

            @DJL 93VIDEO

            Les apiculteurs exploitent les abeilles domestiques pour leur miel et non pas pour sauver "la race" des abeilles. Idem pour le paysan qui exploite une race de vache, non pas pour sauver "la race", mais pour avoir le lait et la viande du bovin.

            Déjà les abeilles sont une espèce avec plusieurs races ( scutella, ligustica, carniolia,... et la fameuse noire locale qui varie d’une région de France à l’autre)

            Etant apiculteur je trouve c’est argument inepte, je dois sauver les abeilles, ne serais-ce que pour avoir du miel. C’est chronologique : A:je les sauve B : je prend ma part du butin.

            Pour en revenir à la "pureté" de la race, il existe des apiculteurs qui ont des conservatoires d’abeilles ( zones sans pollution génétique) et qui laissent les abeilles se renouveler par elles mêmes. Ces lieux existent dans les montagnes, ainsi que dans le nord et l’est de la France.

            Moi, je suis dans le sud-ouest, c’est assez cramé dans la mesure où la majorité fait usage de la sélection. Tout ça pour dire que ça dépend vachement du milieu géographique, car moi, même si je laisse faire la nature, ce sera pollué par mes voisins...

            Ma position sur la sélection : En tant qu’apiculteur j’amène dans une zone 40/50 ruches, c’est contre nature, je crée un déséquilibre dans l’environnement, car dans la nature, on trouve une ruche dans un arbre creux tout les 2/3 hectares.

            Je suis responsable donc de ce que j’amène, je m’efforce donc d’avoir des ruches au top, sur le plan sanitaire notamment.

            En laissant les ruches se remerer sans intervenir, le nombre d’individus (ruches) satisfaisant obtenus est de 1 sur 5, avec la sélection on est sur du 3 sur 5.

            C’est tout, mais pas d’inquiétude chez les abeilles, le naturel revient au triple galop, 1 an sans faire attention et on se retrouve après avec des abeilles bien sauvage comme il faut qui ramèneront jamais de miel pour l’apiculteur.

            Bien fait pour lui.


          • 1 vote
            jean mouche jean mouche 2 octobre 2016 15:03

            @DJL 93VIDEO

            Les apiculteurs achètent leurs abeilles chez des fournisseurs d’abeilles. On parlent d’abeilles domestiques qui sont conçus comme les semenciers conçoivent leurs graines hybrides F1 ... Les abeilles domestiques sont très fragiles quand on les implantent dans la nature sauvage, idem avec les graines hybride F1 de nos paysans, qui ont besoin d’engrais chimique, de pesticides et de produit phytosanitaire pour résister dans la nature.

            Pas tous, ils faut avoir des éleveurs de reines à côté ou avoir recours aux postes.

            L’éleveur va tenter de fixer des caractères sur les F1 vendues, les caractères changeront en F2 sur la fille

            Mais pas toujours, cet année j’ai eu une super F2, elle envoyait du poney. je les extermine pas forcement, si elles sont saines et pas trop brutales je les garde.

            Par ailleurs, on peut acheter des reines fécondées ( 20/30€) ou des reines vierges (5/15€). Celui qui fait féconder une reine vierge assez loin de chez l’éleveur aura une reine totalement différente de sa soeur restée sur place, comme elle à été fécondé par 10/20 mâles locaux, elle aura une teinte locale dans sa ponte.

            La vente de reine fécondées est assez marginale en fait par rapport aux vente de vierges ou de cellules royales.

            Quand on est de mon côté du voile, on se sent un petit david face au goliath de la nature et celles qui s’adaptent ne sont pas toujours celles que l’on croit ( rustique ou artificielle, une fraction de chaque groupe survit, se surpasse et essaime... il y aura toujours des fragiles dans chaque groupe)


          • 1 vote
            jean mouche jean mouche 2 octobre 2016 15:20

            @DJL 93VIDEO

            Quand un apiculteur achète un nucléus (petit peuple) d’abeilles chez son fournisseur d’abeilles, il y a de grande chance que ce nucléus meurt après avoir donné son miel, ainsi l’apilculteur sera obligé d’acheter d’autres nucléus pour la saison suivante. Les semenciers qui nous vendent chaque année des graines hybrides F1 sont dans la même logique, leurs semences se reproduisent mal et obligent l’agriculteur à se fournir chaque année chez le semenciers.

            Là c’est de vous qui n’avez pas compris, désolé.

            1 Nucléus= 1 reine fécondée et quelques centaines d’abeilles dans un truc de la taille d’une boite à chaussure.

            Les nucléis ne font pas de miel, ils sont une sorte d’écrin pour avoir une reine fraiche et dispos la saison suivante, souvent pour sauver une grosse ruche orpheline ( sans reine), ou démarrer une petite colonie.

            Les nucléis du fait de leur petite taille peuvent avoir des taux de mortalité élévés.

            A cause de froid, des pesticides ou des prédateurs.

            L’idée du nucléus c’est d’avoir 5 mini colonies à la place d’un grosse pour anticiper les mortalités

            Une minorité d’apiculteurs pros utilisent des nucléis.

            Dire que les abeilles crèvent à cause des apiculteurs c’est grave même si ce n’est pas totalement infondé, on regarde la paille d’un petit mec qui vivote en vendant du vomi d’insecte et pendant ce temps la poutre des marchands de pesticides rentre dans le cul de tout le monde, enfants inclus, merci pour eux.


          • 1 vote
            jean mouche jean mouche 2 octobre 2016 15:33

            @DJL 93VIDEO

            Les apiculteurs sont loin d’être amis les abeilles, ce sont leurs ennemis. Au moment de la récolte de miel, la plupart de apiculteurs tuent leurs abeilles pour s’emparer de leur miel, qui est je le rappelle la nourriture des abeilles.

            Pourquoi les tuer, j’ai besoin d’elles. je ne suis pas leur ami, je suis leur Méta-parasite.
            Avez vous déjà observé des fourmis qui portent des pucerons sur certaines plantes ? C’est pour que les pucerons se nourrissent et chient quelques mg de sucres complexes, que les fourmis vont s’empresser de pourlécher.

            Je fais pareil, c’est tout, grâce à la ruse, je dupe des millions d’insectes, qui me tueraient en quelques secondes si je les affrontais frontalement.

            Je pose une hausse à moi au dessus de leur nid, après quelques semaines je reprend ma hausse. C’est les abeilles qui squattent mes caisses et mettent du miel dedans.

             Donc, je suis pas leur ami, l’amitié c’est sacré et avec un égal.
            Mais je veux qu’elles vivent de tout mon coeur.

            P.S : Je dois en tuer entre 5 et 50 à chaque récolte, j’utilise le chasse abeille


          • 1 vote
            jean mouche jean mouche 2 octobre 2016 18:31

            @DJL 93VIDEO

            Tous le monde peut faire un geste pour aider les abeilles, il suffit de poser quelques pots de fleurs sur son balcon pour attirer et les nourrir les abeilles sauvages.

            Fais un geste, instruis toi et ramène la ensuite.

            Pour nourrir les insectes en général, j’attire votre attention sur le Lierre qui fleurit en ce moment, n’hésitez pas à lui faire une place en évitant de le détruire dès qu’il apparait. Il nourrira des milliers de bestioles abeilles incluses.

            Sinon ici vous avez des plantes mellifères avec photos.

            http://cabanedetellus.free.fr/Plantes_mellif%C3%A8res.html

            Plantez du rustique, pas des variétés ornementales de catalogue qui ne font pas de nectar.

            Bonne continuation.


          • 2 votes
            michel-charles 2 octobre 2016 08:00

            les abeilles ?...mais comme les humains empoisonnés avec les mêmes pesticides !


            • 4 votes
              zygzornifle zygzornifle 2 octobre 2016 16:23

              chez moi au dessus de Nice dans les collines elle crèvent par poignées , je les vois tomber sur ma terrasse, elles ont l’air complètement déboussolées, par terre elle tournent en rond se mettent sur le dos et c’est fini, d’ailleurs il n’y a presque plus d’insectes alors qu’avant c’était bourré de papillons de libellules de frelons et autres bestioles bien utiles, il n’y a plus que des punaises quelques guêpes et des moustiques ..... 


              • 1 vote
                cielnature (---.---.191.41) 3 octobre 2016 18:23

                Bien observé Zygzornifle, à un détail près, le 1er atterrissage, brutal, se fait par chute directe sur le dos,ou moins brutal par descente au ralenti suivie d’une roulade avant au contact du sol.




                • 1 vote
                  BaptisteM (---.---.101.17) 22 octobre 2016 22:51

                  Avec l’interdiction des pesticides en ville, on peut avoir l’espoir de voir les populations d’abeilles se porter mieux dans les zones urbaines et périurbaines. Un article très intéressant à ce sujet : http://www.lavillepousse.fr/la-metamorphose-des-villes-sans-pesticides/



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