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« Conséquences du dérèglement climatique pour le ministère de la Défense », avec Hervé Kempf

À l’occasion de la diffusion, par la Délégation aux affaires stratégiques, de l’étude intitulée : « Conséquences du dérèglement climatique pour le ministère de la Défense », l’IRIS organisait le 13 novembre 2014 une conférence-débat autour de l’Amiral Alain Coldefy, vice-président de l’Académie de Marine, directeur de recherche à l’IRIS, d’Hervé Kempf, rédacteur en chef du site d’information Reporterre.net, et animée par Bastien ALEX, chercheur à l’IRIS.

 

Cliquez ici pour consulter l’étude diffusée par la Délégation aux affaires stratégiques (format PDF).

 

Raphaël Berland, pour le Cercle des Volontaires

Tags : Armée Changement climatique




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6 réactions à cet article    


  • 1 vote
    Lisa Sion Lisa Sion 17 novembre 2014 14:10

    En résumé, le dérèglement climatique modifie les stratégies militaires des empires mondialistes au profit total de la Russie, premier pays du monde en taille et au balcon de l’Arctique. Sa position de premier producteur de gaz naturel ajoutée à l’avènement récent aux BRICS puis à la brouille dans l’ALENA dans cette région offre un pont d’or au pays des plus belles femmes du monde. Si la planète se réchauffe elles vont plus facilement se dévoiler...la guerre froide va être très chaude !


    • 1 vote
      wendigo wendigo 17 novembre 2014 18:57

      Le climat .... cela devrait être le cadet de leurs soucis, la baisse du champs magnétique terrestre et l’accélération par 10 de son déplacement est à mon sens plus inquiétante.
      Ceci dit, un réchauffement climatique est de la pure rêverie, plusieurs choses nous font savoir que c’est vers son opposé que nous nous dirigeons, pardon, qans lequel nous venons d’entrer. Les raisons majeurs qui nous conduisent vers un âge glaciaire, sont :

      1 baisse du champs magnétique terrestre = plus de particules cosmiques dans l’atmosphère et donc, plus de nuages, ce qui refroidit le sol.

      2 les quantités massives d’eau douce dans les océans, ont fait baisser son taux de salinité ce qui ralentit le gulf-stream.

      3 L’action des champs magnétique influence l’activité géologique, ce qui donne plus de séismes et d’éruptions volcaniques, ces dernières relâchent des gaz soufrés dans l’atmosphère, gaz qui ont un effet de miroir sur les rayons solaire, diminuant ainsi leur arrivée au sol en les réfléchissant vers l’espace..

      En bref, nous sommes parti pour nous geler les miches, mettre nos boussoles et GPS à la benne et vu qu’un bonheur n’arrive jamais seul, c’est aussi une coupure générale électrique et électronique que nous risquons à chaque éruption solaire. (et je ne vous parle pas du bronzage en profondeur qui sera le notre quand les champs seront trop faibles. et je plain ceux qui auront l’idée malicieuse d’aller se planquer sous terre dans des structures en béton armé, le cisaillement des champs en fera de joli fours micro onde.)

      C’est donc un peu tard pour réfléchir à la chose et surtout , visiblement la réflexion sur uniquement les effets et nos sur la base des causes, cela ne mènes jamais nul part.

      Mais bon, shuttt, c’est le sujet à mettre en veilleuse, donc je ne vous ai rien dit.


      • 1 vote
        christophe nicolas christophe nicolas 18 novembre 2014 12:39

        Le cisaillement des champs qui fait des micro-ondes ? Bonne remarque, je ne connaissais pas trop ces effets moléculaires. Je suis un peu ignare dans ce domaine. En tout cas, bravo car cela recoupe des prophéties, vous pointez du doigt les bons problèmes.

         

        Cela peut peut-être vous intéresser, mais Judy Wood a remarqué qu’aux attentats du WTC, visiblement, des personnes ont ressenti un phénomène de chauffe interne de ce type. J’imagine que le scénario officiel n’est pas votre tasse de thé....
         
        Je suis d’accord, la ligne maginot est une vieille tactique qui a fait ses preuves.... Pourquoi changer ?
         
        En tout cas, la fusion basse énergie est sur le bon chemin pour un chauffage efficace en cas de refroidissement, Andréa Rossi vient de déposer un brevet revendiquant un COP de 11 sur son hot-cat lorsqu’il le met dans l’eau. Il revendiquait 3,5 dans l’air sous contrôle par l’académie Royale Suédoise ce qui était déjà un magnifique résultat. Cet homme est un don de Dieu au bon moment.

      • vote
        wendigo wendigo 18 novembre 2014 15:20

        Si le terme "four à micro onde", ne vous convient pas, alors dites vous que c’est un magnétron .... pour ce que ça changera au résultat.
        Il n’est pas question de prophéties ou même de théorie, mais de résultats bien concrets.
        Le champ baisse, le pôle nord se déplace vers la Sibérie, des anomalies magnétiques apparaissent sur la planète et tout cela va 10 fois plus vite que toutes les prévisions faîtes. Il n’est plus question que cela se fasses sur une durée de 10 000 ans, mais sur la durée d’une vie humaine et le processus a déjà commencé.
        Nous le verrons tous de notre vivant .
        Et très sincèrement, de ce que fabrique Rossi, m’importe peu, comparativement au problème qui nous fait face.


      • vote
        christophe nicolas christophe nicolas 18 novembre 2014 23:09

        Non, non, je ne vois simplement pas trop comment fonctionne votre cisaillement magnétique ou magnétron sur une chambre en béton armé. C’est juste pour comprendre, quel est le processus qui produit la fréquence accordée à la cavité résonnante ?


      • vote
        jipebe29 jipebe29 19 novembre 2014 15:41

        Dérèglement climatique ? Cela voudrait dire qu’il y aurait un "bon" climat de référence, qui aurait eu le toupet de se dérégler ? Cela voudrait aussi dire que le climat n’est pas changeant par nature depuis la nuit des temps, ce qui serait à l’encontre de toutes les observations ? On nage en plein délire... De toute manière, cela fait plus de 15 ans que le GIEC annonce un RC cataclysmique, et cela fait 18 ans qu’il n’y a plus de réchauffement global et que les projections des modèles numériques divergent de plus en plus des observations, alors que, depuis 1997, nous avons émis 40% de toutes nos émissions de CO2 depuis le début de l’ère industrielle. Les rapports du GIEC se suivent et se ressemblent, en allant toujours plus vers un cataclysmique futur climatique, mais Dame Nature se fait un malin plaisir à les réfuter...

         



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