La rencontre au sommet, le Président français et la Chancelière allemande : une montagne accouche d’une souris
Hollande lâche la Grèce, pour lui elle doit respecter les diktats de la troïka. Eh bien il a suscité tant d’espoir avec sa croissance, et comme le proverbe le dit si bien : une montagne accouche d’une souris.
Nous sommes partis pour des sommets « décisifs » ou bien des "sommets informels" ou bien des « réunions de la dernière chance ». En attendant rien ne change.
La croissance a été bien inscrite dans le traité mais elle était seulemet prononcée.
François Hollande veut du concret, mais la croissance est bien celle de la commission de Barroso « "Ce serait complètement irresponsable de dire à ces pays de tenter de faire repartir la croissance en creusant le déficit. Ce qui se passera dans ce cas, c’est que ces pays paieront des intérêts beaucoup plus élevés, et l’argent dont ils ont besoin pour leurs services publics, leur cohésion sociale, leurs investissements, sera dévolu au paiement d’intérêts plus élevés".
Hollande bluffe, mais il s’incline devant l’Allemagne.
Je l’ai trouvé comme un petit garçon guidé par une maîtresse d’école. Il a démarré son mandat maladroitement en allant le premier jour de son investiture. La Chancelière allemande était sur un terrain conquis et à l’aise avec le protocole.
Tags : Europe Politique Allemagne François Hollande
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