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Accueil du site > Actualités > Europe > Nigel Farage : « C’est le moment de sortir de la zone euro la tête haute. (...)

Nigel Farage : « C’est le moment de sortir de la zone euro la tête haute. Reprenez votre démocratie, reprenez le contrôle de votre pays, donnez à votre peuple le leadership et l’espoir qu’il cherche. »

Nigel Farage, président de l’UKIP, s'adresse directement au premier Ministre Grec : « C’est le moment de sortir de la zone euro la tête haute. Reprenez votre démocratie, reprenez le contrôle de votre pays, donnez à votre peuple le leadership et l’espoir qu’il cherche. »

 

 

www.agenceinfolibre.fr

 

Tags : Europe Démocratie Euro Union européenne




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15 réactions à cet article    


  • 3 votes
    lupus lupus 9 juillet 2015 22:27

    bien Nigel mais tu parles à un européen pur beurre.


    • 4 votes
      wendigo wendigo 9 juillet 2015 22:42

      Intéressante, la petite moue de Tsipras et le regard qui va bien avec, à la fin .
      Visiblement l’idée n’est vraiment pas exclut .


      • 4 votes
        Baston Labaffe Gaston Lagaffe 9 juillet 2015 23:18

         

        J’espère au moins que personne n’est dupe de ce mauvais théâtre... Nigel Farage, a trouvé sa voie de garage il me semble, ni feu ni gel, n’abandonne t’il pas la politique comme il l’avait promis, alors qu’est ce qu’il cause encore à jouer les Laurent Louis 3 étoiles devant un parle qui ment pour enfumer les peuples qui gobent leurs pièces écrites depuis belle lurette ?


        Tsipras, le Mélenchon grec, l’homme de la situation (et des banques) qui se couche au premier doigt levé par les zélites de l’ombre, croyez vous vraiment, que les peuples comptent encore dans un échiquier virtuel où tout se joue sans qu’on aie seulement conscience des enjeux qui se trament au delà des bribes d’informations qui filtrent par inadvertances volontaires ou non des joueurs des échiquiers à multiples strates, multiples plans, qui jouent sur les angoisses, les peurs, les craintes des gens du réel ?



        Moi avoir pognon, toi tu la fermes, c’est ça le rapport de force. Puisque le pognon permet tout et n’importe quoi mais surout à 1% de l’humanité de dominer les 99% d’autres, inutile de vous dire qu’ils ont les moyens de nous garder en haleine par des pièces de théâtre qui servent à ce que les sans dent gardent espoir, puisque l’espoir fait vivre, mais n’oublions pas que nous ne sommes que des statistiques dans les agendas de technocrates dont le boulot est de simuler pour les anticiper, toutes les options afin de juguler et de tuer dans l’oeuf toute tentative d’opposition populaire et révolutionnaire qui leur coûterait leurs privilèges pendant qu’on découvre seulement, les rouages de la géopolitique et des stratégies pour la domination économique, nous ne sommes que des voix, du bétail, des troupeaux manipulables à l’envi qui servent les joueurs d’échec qui se battent par peuples interposés tout en se nourrissant de l’énergie travailleuse des abrutis que nous sommes et qui leur fournissent l’énergie nécessaire pour se partager le gâteau Terre entre privilégiés de toutes origines qui remontent à des temps séculaires ou immémoriaux, les fameuses 200 familles et leurs laquais, larbins, courtisans...

        Y a du boulot pédagogique en vue si vous accordez encore un quelconque crédit aux marionettes qui s’agitent et s’affrontent dans le petit théâtre merdiatique, bordel à cul.


        • 3 votes
          Baston Labaffe Gaston Lagaffe 9 juillet 2015 23:24

          En d’autres termes, nous sommes toujours sous régime moyen ageux, mais avec emballage 2.0, le fond c’est le même, seules les formes changent. Pour endiguer le processus, supprimer le dieu pognon qui donne les cheat codes d’invulnérabilité aux "puissants" et là on pourra recommencer à discuter biceps, et oui, c’est la loi naturelle qui doit revenir, l’éternel retour du concret car ce n’est pas envisageable dans la nature qu’un asticot à lunette terrasse un Schwarzenegger tout en muscle à un moment donné va falloir revenir à des choses simples, logiques, naturelles pour remettre les pendules à l’heure, les barres aux T et les poings sur les Attali. J’ai dit.


        • vote
          Baston Labaffe Gaston Lagaffe 10 juillet 2015 00:03

          Pour comprendre ce que je dis, faut avoir des notions en jeu de stratégie et vous transposez à l’échelle réelle du monde, puisque nos sociétés sont hiérarchiques, y a des décideurs (zélites) et des exécuteurs (armées, soldats) mais aussi une masse de bétail (nous), les zélites se disputent le gâteau terre pour conserver des privilèges hérités depuis des siècles, voire des millénaires, pour se partager le gâteau, ils ont besoin d’hommes pour éviter de se salir les mains en cas de conflit afin de conserver les privilèges, pour faire tourner leur business, ils ont besoin d’énergie (ressources ouvrières, technologiques, scientifiques), nous, en d’autres termes, nous sommes leurs piles énergétiques, les soldats formés servent de chair à canons, quand le contingent ne suffit plus, ils se servent dans la réserve de piles, (les citoyens), pour se départager les ressource d’une planète finie, la Terre, dont nous sommes tous les locataires, y compris ex, ce qui les irrite au plus haut point car ils ne seront jamais l’équivalent de ce qu’ils prétendent vouloir être (dieux, demi dieux, aristocrates, leaders, peu importe le délire)

          Tous nous faisons partie d’une espèce animale, dont le but est de se reproduire et de procréer pour perpétuer notre espèce (sexe, instinct primaire) dévoyé par des mélanges de besoin naturels (force, domination, auto défense de nos organismes biologiques, défense du territoir, rapports de force organisés) Bien, nous avons appris de nos erreurs, et les zélites avant nous, puisque le bas peuple n’a jamais eu accès aux avancées philosophiques, artistiques, scientifiques, économiques, idéologiques, ou alors seulement avec beaucoup de temps de retard sur les zélites qui se partagent le savoir entre elles, d’abord, ce qui explique la facilité déconcertante de domination qui justifiaient par leurs connaissances avancées sur les pecnods, le bon déroulement de leurs parties d’échec entre famille pour sécuriser les ressources et répondre à leurs besoins de dominations ou d’extensions de territoire, l’histoire officielle de l’humanité est jonchée d’anecdotes amusantes en termes guerriers qui expliquent notre présent puisqu’il n’est que la conséquence des causes passées.

          Nous y sommes encore, ce qui fait peur aux zélites, du genre Kissinger, c’est le réveil politique des peuples, ce que Ford apréhendait déjà en 1920 si les masses découvraient la nature du fonctionnement économique et banquaire qui restera dans les annales de l’anus du genre humain comme la plus grande arnaque enculatoire que la Terre n’aie jamais pu contempler de son vivant. Nous sommes des piles énergétique pour que ce système perdure le plus longtemps possible afin que 1% du genre humain profite de la force énergétique de 99% d’autres et pour continuer à jouer à une espèce de command & conquer, Stratego, échiquier etc pour la domination globale du monde au nom de croyances qui sont propres à chaque belligérant en présence.

          Alors on va continuer longtemps à se la taper sur le lavabo à regarder les familles ancestrales continuer leurs cirques stratégiques en sacrifiant planète et habitants pendant qu’on commence à comprendre lentement ces réalités ou est ce que nous allons enfin siffler la fin de la récrée pour les exterminer avant qu’ils ne le fassent ? Tout est dans ce que nous voulons ou non. Le reste n’est que palabre inutile, la vraie question est là. On se contente de rester des piles ou on va dégommer de l’élite à tour de bras, si c’est pour reproduire le même schéma, inutile de se bouger le cul, mais si on souhaite du changement et remettre l’humanité sur des rails plus vivables sur le long terme, va falloir guillotiner un brin en essayant de faire le détail et de ne pas se tromper de cible, mais là, j’extrapole de façon beaucoup trop optimiste, en tout cas dans le court terme, sur le long terme, je spécule plus favorablement, mais va bien falloir commencer à un moment de trucider du puissant financier un brin ou alors on se contentera du staut quo pendant des générations, mais va falloir aussi arrêter de se plaindre de la situation globale puisque personne ne veut trancher les racines du mal originel. La balle est dans nos camps, enfin pas vraiment, puisqu’on a été aussi féminisés qu’endoctrinés et désarmés autant bien physiquement que juridiquement par les enculés qui ont tout anticipé pendant qu’on dormait sur nos écrans divers et nos nombrils d’abrutis finis, mais il reste l’instinct de survie, va falloir se salir les mains en forme de boucherie inversée si on veut du changement, les zélites qui pissent le sang et les peuples qui dansent sur leurs cadavres, ce serait peut être un vrai changement de perspectives.. Non ? En tout cas un début prometteur après, je fais confiance à l’humain (pas besoin d’extra terrestres ou de démons pour expliquer les travers de l’homme, jusqu’ici, restons simples et pragmatiques) pour retomber dans les mêmes pièges dont il a été victime à maintes reprises, Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ou un truc du (trans)genre selon Bossuet, c’est à la mode de citer cet enculé en ce moment, il avait raison...


        • 1 vote
          le celte 10 juillet 2015 09:23

          @Gaston Lagaffe

          1) L’humain est un opportuniste ancestral qui devait, pour sa survie, se battre contre les éléments supposés hostiles.
          La terre n’appartient pas à ces bestioles miniatures qui l’exploitent à la manière d’apprentis sorciers par unique souci de confort. Au nom d’un progrès relatif et au détriment d’un équilibre environnemental devenu fragile (grâce à la transmission de sa propre science), ce parasite, en continuant ainsi, creusait sa propre tombe.

          2) L’humain actuel, devenu dominant (dans ses fantasmes), n’a plus à se battre comme avant. Sa préoccupation première est la gestion du nombre pour un équilibre viable, voir vital.

          3) La gestion du nombre pour un équilibre vital, se résume à l’élimination d’une certaine faiblesse parasite (des-sans-dents), par une petite unité décideuse. La richesse, non-exponentielle, n’est pas compatible avec la démographie toujours croissante (Chine dangereuse), l’amour inconditionnel de l’Homme pour sa suprématie par la force, lui recommande de se nourrir naturellement de ses propres enfants (ce qui est le cas chez certains grands prédateurs).

          4) Et la conscience morale dans tout ça ?,...une faiblesse (satanisme ?). Les guerres de territoires ne sont qu’en fait un leurre pour dissimuler cette idéologie et s’approprier encore plus de richesses pérennantes.

          5)Par ce post, je me fais l’avocat du diable, mais n’êtes-vous pas (comme moi et beaucoup d’autres) à l’abri de toutes ces manigances ?...

          6) Pour finir, notre société n’évolue que techniquement. La science, créatrice d’artefacts superficiels (dont la monnaie) reste un moyen subliminal de domination des masses par une minorité propriétaire. Vous voulez changer les choses ?, modifier votre microcosme déplaisant ?, jetez votre carte bancaire, ne payez plus vos impôts, ne votez plus...etc..., et quand le fruit sera mûr, il tombera. L’opportunité le ramassera.

          PS : J’suis à la bourre !


        • vote
          le celte 10 juillet 2015 09:28

          @Gaston Lagaffe
          Je suis fan de vos propos...quand même !


        • 3 votes
          Bond, Nausea Bond Bond, Nausea Bond 10 juillet 2015 01:50

          Mais peut-être que Tsipras ne veut pas sortir la tête haute.
          Peut-être qu’il veut continuer d’aller à la gamelle.
          Peut-être qu’il n’en a rien à cirer de la démocratie, vu que c’est un Marxiste (encore en 2015).
          Peut-être qu’il aime ça, recevoir du fric tel un gamin recevant son argent de poche de Maman.
          En tout bon curé communiste, tout en comme en tout bon curé capitaliste, Tsipras n’aspire qu’à une seule chose : voler de force le fruit du labeur de ceux qui bossent pour se le bouffer gratos en cachette. Communiste, Capitaliste... les deux mêmes faces d’une même médaille ; d’où la gueule de Tsipras dans l’assemblée. Le mec fait semblant d’être digne alors qu’on voit sur sa gueule qu’il est une prostituée des banksters. Il n’est que le raquéteur qui vole le fric aux épargnants pour le remettre aux crochus.
          .
          On se demande même comment un imbécile comme Tsipras, qui semble avoir tout fait pour arriver là où il est, ne soit même pas en mesure d’écouter un speach en Anglais au point de devoir mettre un casque. Une preuve supplémentaire que ce sont les incompétents qui tiennent les reines en démocratie maçonnique. Putain merde !! L’Anglais ! On ne lui demande pas de comprendre l’Espagnol ou le Finnois. Putain !!!!! L’ANGLAIS MERDE !!!!! T’es chef d’Etats et tu ne parle pas l’Anglais ? Allo ? On peut se foutre de ta gueule dans les réunions internationales sans que tu comprennes (comme ça a été le cas avec Barouin s’enfuyant dès qu’on lui parle en Anglais).
          OK. Comme tu es incompétent, Tsipras, va le bouffer ton fric ! Va à la gamelle !
          Ca se dit communiste, ça se trouve qu’il ne sait même pas enfoncer un clou. Rien. La médiocrité.
          Et cet imbécile, une fois arrivé au Pouvoir, se rend compte que ses rêves et ses chimères ne peuvent pas se réaliser sans l’argent des banksters, c’est à dire, sans l’argent volé au Travailleurs.
          Ce parti va s’effondrer dans les emmerdes et la honte avant même d’avoir fait une année révolue. Pas besoin de s’appeler Nostradamus.
          Dormez, petit cocos... dormez.


          • 2 votes
            michel-charles 10 juillet 2015 09:22
            la tête haute.. ?...il est con ce pingouin..la tête est toujours haute ou alors faut marcher sur les mains.. ?

            • 1 vote
              le celte 10 juillet 2015 09:25

              @michel-charles
              ou à 4 pattes le cul tendu !


            • 3 votes
              Joe Callagan Joe Callagan 10 juillet 2015 13:18

              @Claude-Michel

              Ca t’arrive de penser positif ? Tu ne voudrais pas te mettre à nous pondre des commentaires un peu plus "élevés" ?


            • 3 votes
              Joe Callagan Joe Callagan 10 juillet 2015 13:16

              Farage sert de soupape.

              Ce qu’il dit est très juste mais il ne faut pas oublier que son parti, l’UKIP, est financé par un banquier sioniste de la City.


              • 3 votes
                Cedric K 10 juillet 2015 14:59

                @Wyrd

                Arretez donc de poser votre caca partout et aprennez donc à chier là où il faut.

                Vos infos, parfois utiles, repetées inlassablement me font penser à un bot du departement d’etat qui fait tout pour que la France devienne le Liban.

                D’ailleurs le Liban, avant sa destruction, vivait plutot paissiblement avant de voir pousser des Wyrd sortis d’on sait où pour foutre le bordel.

                Sans le savoir vous êtes l’allier parfait des "immigrationnistes"


              • vote
                jeanpiètre jeanpiètre 11 juillet 2015 15:11

                @Wyrd
                plutôt que d’aboyer comme un petit roquet vous pourriez nous expliquer pourquoi vos maîtres de st cloud sont d’un silence de plomb dans cette assemblée ou ils sont payés grassement pour vous représenter.

                guignolo


              • 2 votes
                Joe Chip Joe Chip 10 juillet 2015 15:48

                Farrage est une vipère qui cache bien son jeu. Il ne dit pas que le projet européen (de l’aveu même de l’eurocrate Quatremer) a été largement dévoyé depuis l’entrée de l’Angleterre dans l’UE qui n’a eu de cesse, précisément, de saper de l’intérieur cette dimension politique que la France voulait donner à l’Europe. L’Europe actuelle, communautaire et supranationale, du marché tout puissant, est en grande partie le résultat des multiples concessions qui ont été faites aux Britanniques depuis leur entrée dans l’union.

                "« C’est un paradoxe : le Royaume-Uni se méfie de plus en plus d’une Union européenne qui n’a jamais été aussi en ligne avec ses idées », s’exclame un haut fonctionnaire de la Commission de nationalité britannique. Du libre-échange à l’anglais, devenu langue quasiment unique des institutions communautaires, en passant par l’élargissement, le marché unique, le moins légiférer, la baisse du budget communautaire, l’Europe à géométrie variable, bref tout ce dont rêvait depuis toujours Albion. « Aujourd’hui, c’est la France qui souffre : l’Europe puissance, la défense européenne ou encore la politique industrielle, autant de choses qui effrayaient la Grande-Bretagne et qui ne sont plus d’actualité », s’amuse ce haut fonctionnaire...

                Le Royaume-Uni a su parfaitement manœuvrer pour imposer ses idées au fil des ans. Tout commence avec Margareth Thatcher, la dame de fer, qui comprend rapidement que le Grand Marché lancé par Jacques Delors en 1985 n’est pas seulement un projet fédéral, mais va lui permettre de faire sauter les barrières intérieures aux échanges et ainsi de réaliser une zone de libre échange européenne. Même si elle était plus organisée qu’elle ne l’aurait souhaité, c’est bien ce qui s’est passé, Londres ayant toujours bloqué toute harmonisation fiscale et sociale qui aurait dû en être la contrepartie. Ses successeurs, John Major et Tony Blair, ont, eux, réussi à créer une Europe à géométrie variable en obtenant des « opt out » dans plusieurs domaines : la monnaie, bien sûr, l’immigration et l’asile, la justice et la police, Schengen ou encore la défense. Londres a aussi milité activement pour un élargissement rapide, en s’alliant pour le coup avec l’Allemagne, meilleur moyen de tuer l’idée même d’Europe puissance, un concept qui la hérisse." (Quatremer)

                Les Allemands, ayant pris acte depuis les référendum de 2005 de la fin programmée de l’Europe politique, ont depuis lors mis tout leur poids économique dans la balance pour réorienter l’UE vers le modèle fédéraliste et ordo-libéral allemand, tout en profitant de l’élargissement pour reconstituer leur ’hinterland" économique à l’est.  
                Les élites françaises, larguées depuis le milieu des années 90, continuent comme toujours leur fuite mortifère dans l’abstraction d’une Europe politique qui n’existera jamais et qui verra la dissolution graduelle de la France dans un ensemble irrévocablement dominé par l’Allemagne et l’Angleterre.

                Farrage, c’est l’idéologie de la city sous sa forme la plus cynique, abritée derrière un pseudo alibi démocratique afin de caresser les souverainismes continentaux dans le sens du poil. Qu’un libéral dogmatique applaudisse et encourage un marxiste pur et dur devrait pourtant inciter à la réflexion, sinon à la prudence... 

                C’est la politique du "splendide isolement" que l’Angleterre appliquait déjà au XVIIIème et XIXème siècle, se présentant comme la garante distanciée de l’équilibre politique européen et la protectrice sourcilleuse des souverainetés nationales face aux ogres français ou allemands, quand elle ne faisait qu’entretenir en réalité les divisions et les fractures européennes selon la logique du "diviser pour régner" afin d’asseoir sa puissance sur des dominés croyant ainsi à leur "indépendance". D’où ce rappel constant et lourd de de sous-entendus au clivage nord-sud.



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