Ils ne croient tout de même pas, ces plagistes, que nous allons pleurer sur leur sort.
Eux qui, l’été venu, chassent sans ménagement et en dépit des lois qui font de la plage un espace public, les touristes qui osent poser leur serviette entre 2 transats, prennent aujourd’hui la tasse, ce n’est pas pour me déplaire.
Alors une "catastrophe naturelle", sûrement pas, mais au contraire une excellente initiative combinée d’ Eole et Poseidon qui rappellent à ces petits monarques des bacs à sable qu’il ne faut pas planter son territoire trop près de l’eau.
Ce qui me désole, c’est de savoir que leur foutus chaises en plastique injectés sont allées pourrir au fond de la méditérannée...qui n’en n’avait pas besoin.
Tiens, c’est une idée ça, il faut que cela fasse jurisprudence, interdisons les chaises en plastique en bord de mer sous peine de facturer à ces cochons les frais nécessaires à leur renflouement !