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Accueil du site > Actualités > International > Les infos dont on parle peu n°82 (17 janvier 2015)

Les infos dont on parle peu n°82 (17 janvier 2015)

Nous mettons à votre disposition toutes les semaines quelques informations passées totalement inaperçues dans nos médias mais qui peuvent être importantes.

 

 

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Tags : France Europe Economie Politique Etats-Unis Chine Société Santé Allemagne Attentats Nucléaire Pétrole et essence Israël OGM Médias Islam International Russie Terrorisme Grèce Syrie Dette Vladimir Poutine Alimentation Venezuela Qatar Ukraine Islamisme Charlie Hebdo




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22 réactions à cet article    


  • 5 votes
    maQiavel maQiavel 18 janvier 2015 16:09

    L’actualité internationale est dense, c’est une époque vraiment riche politiquement : on voit l’élaboration de coalitions, d’alliances objectives à front renversés, des retournements de situation etc., on vit Game of Thônes en live, et le jeu en vaut la chandelle, c’est vraiment passionnant.

    Le contexte géopolitique global : les américains tenaient le monde à l’effondrement du bloc soviétique et avaient les moyens d’imposer leur hégémonie unipolaire, une pax americana globale, un nouvel ordre mondial.

    Mais suite à une série d’erreurs, parfois grotesques, ce programme n’a pas pu être respecté : plus ses forces sont déployées à travers le globe, plus les défaites et semi-défaites s’accumulent, plus les faux pas et les erreurs s’intensifient, plus les tensions se manifestent, plus la Puissance de la nation se dégrade dans un gouffre sans fond, et en réponse à tout cela, la classe dirigeante accentue le mouvement un peu plus.

    Des acteurs de plus en plus nombreux et de plus en plus puissants contestent la capacité des USA à jouer le rôle d’ hêgemôn, de tenir leur rôle de “nation indispensable” ou “référence exceptionnelle”, absolument nécessaire au règlement de tous les contentieux et querelles de par le vaste monde.

    La classe dirigeante américaine refuse l’idée du monde multipolaire qui s’impose à elle, la restauration de son hégémonie mondiale est devenue son obsession suprême, elle active donc la politique d’une puissance en pleine expansion hégémonique. Du fait de la faiblesse des moyens, de l’affaiblissement de son influence, cette politique provoque des remous extrêmement dangereux, d’autant qu’elle se heurte à des résistances de plus en plus efficaces.

    C’est ce qui explique que la dissolution de la puissance US devient un élément structurant central des relations internationales et constitue un phénomène dynamique d’une très grande importance de ces années que nous vivons.

     

    La plus grosse épine dans le pied de la classe dirigeante américaine : la classe dirigeante post maoïste Chinoise (la Chine est d’ ailleurs devenue la première puissance économique mondiale selon le FMI).

     

    La stratégie américaine pour gérer cette épine dans le pied : continuer de faire du buissness avec la Chine mais mettre en place une politique de containement, notamment en renforçant la présence militaire dans le pacifique, en se trouvant des alliés fiables à la périphérie de la chine (et éventuellement construire une coalition avec ces Etats inquiet de la montée en puissance chinoise) , contrôler ses voies d’approvisionnement énergétique pour pouvoir les bloquer au besoin, freiner la pénétration Chinoise en Afrique , coopter des mouvements de la sociétés civiles chinoise en faveur de la « démocratie » , attiser les crispations ethnico- religieuses, notamment dans la province du Xinjiang.

    La stratégie Chinoise : effectuer un effort de réarmement et d’accroissement massif de sa puissance militaire (qui est supérieur à celui de l’Allemagne entre 1933 et 1940 et à celui des USA après Pearl-Harbor) et le « garder un profil bas » recommandé par Deng Xiaoping c.à.d. observer calmement, sécuriser sa position, s’occuper des affaires avec calme, cacher ses capacités et attendre le bon moment , maintenir un profil bas avec dextérité et ne jamais revendiquer le leadership. Mais dans notre contexte actuel, les Chinois changent petit à petit de stratégie, ils commencent à montrer les crocs notamment en mer de Chine et on peut s’attendre à ce qu’ils deviennent de plus en plus offensifs dans les années qui vont suivre, notamment avec l’aide de l’allié Russe.

    Le plus grand danger pour la classe dirigeante américaine : perdre ses vassaux Européens, ce qui pourrait se solder par une catastrophique alliance avec la Russie qui mettrait définitivement fin au rêve d’empire unipolaire yankee. Briser toute entente continentale entre les puissances Européennes est un classique hérité de l’empire thalassocratique Britannique, l’UE existe précisément pour empêcher cela en vassalisant l’Europe occidentale.

     

    La stratégie américaine pour palier à ce danger : renforcer son emprise sur ses vasseaux Européens via la cooptation des élites Européennes, l’UE et le pacte transatlantique et refouler la Russie vers l’est.

    La stratégie Russe : modération extrême sur les théâtres d’affrontement direct, comme l’Ukraine (ou comme la Syrie), avec néanmoins une aide “covert” vers les groupes résistants, discours de plus en plus dur et de plus clair sur cette situation d’affrontement , poussée de plus en plus forte pour la mobilisation et la radicalisation des “théâtres extérieurs“, soit vers des pays amis, soit dans des organisations dont la Russie fait partie.


    • 5 votes
      maQiavel maQiavel 18 janvier 2015 16:10

      Le renfoncement de l’emprise  américaine sur les vasseaux Européen connait certains remous, au sein de la bureaucratie Européiste mais aussi au sein de la classe dirigeante Allemande, qui devient de plus en plus inquiétante.

      Quant à la stratégie de refoulement de la Russie (dont le dernier épisode s’est manifesté en Ukraine), c’est paradoxalement une réussite sur le plan Européen mais s’avère être une catastrophe sur le plan global. Cette stratégie de refoulement qui à priori paraissait bonne du point de vue des intérêts américains ne l’était pas : en intégrant des pays du pacte de Varsovie à l’Otan, ou en les vassalisant, les oligarques américains n’ont fait que réveiller les défenses immunitaires de la Russie (le plus grand anti -corps Russe étant Vladimir Bonaparte Poutine) alors qu’ils auraient du habilement les anesthésier pour ruiner la Russie insidieusement de l’intérieur.

      Pire : cette stratégie de refoulement de l’Ours Russe  l’a poussé dans les bras du dragon chinois, et ruine par cela même la stratégie du containement de la Chine.

      Ainsi se dessine une coalition de plus en plus ouvertement anti- américaine. Une coalition qui s’appuie sur des nécessités politiques mais aussi économiques . Une coalition qui va titiller les américains jusque dans leur chasse gardée, l’Amérique latine.

      Une coalition qui a même l’affront de mener une attaque structurelle contre le dollar, quelque chose d’impensable il y’ a quelques années.

      Les quenelles géopolitiques se multiplient pour les yankees, il fallait prendre le taureau par les cornes, d’ où les récentes attaques sur le prix du pétrole, qui ont pour cible globale les BRICS, pour cible principale la Russie et secondairement le Venezuela (l’analyse de Pierre-Yves Rougeyron)

      C’est aussi dans ce contexte qu’il faut comprendre l’assouplissement de l’embargo des USA sur Cuba, il faut contrer cette coalition et l’empêcher d’avoir un poste avancé si près du territoire américain.

      Moralité : l’empire américain en déclin suscite de lui-même toutes ces modifications d’attitudes qui lui sont hostiles et suit imperturbablement une politique visant à créer le plus grand nombre possible de rassemblement contre lui.

      On ne peut comprendre cette dynamique mortifère qu’en analysant la politique intérieure américaine (alourdissement de la dette, dissensions internes, creusement des inégalités etc.) qu’il faut toujours coupler à la politique extérieure … mais c’est une autre histoire.


    • 4 votes
      maQiavel maQiavel 18 janvier 2015 20:11
      • La question de la chute du baril du pétrole est vraiment intéressante du point de vue de la stratégique géopolitique, c’est kiffant à étudier.

         

        Par delà le « story-telling » des médias occidentaux à la botte du soft power américain, qui veut que la baisse des prix du pétrole serait simplement liée à d’un côté, une demande anémiée et de l’autre une offre pléthorique (il est vrai d’ ailleurs que le prix du baril devait baisser … mais pas à ce niveau), il y’ a des questions qui dépassent la simple spontanéité de la dynamique économique.

        La crise du pétrole que nous connaissons découle d’une tactique politique s’inscrivant dans une stratégie globale d’encerclement et de guerre économique. La guerre économique qui est menée par les USA et ses vasseaux contre la Russie se déroule sur trois plans : sanctions économiques, attaque spéculative contre le rouble, et baisse du prix du baril.

        Mon analyse de question la baisse du prix du baril : c’est un billard à trois bande avec pour acteurs principaux les Etats unis, la Russie et l’Arabie Saoudite et dans lequel chacun de ces acteurs a ses intérêts propres, ses objectifs et essaie de duper les autres. De la bonne politique à l’ancienne, un jeu imprédictible qui nous ramène à cette phrase de Carl Von Clausewitz « « En guerre tout est incertain ».

         

        L’hypothèse de l’alliance Washington-Riyad : la production de gaz de schiiste par les États-Unis, même dans le cas ou il ne s’agirait en grande partie d’une bulle, a aussi une réalité physique, elle a augmenté sensiblement ces dernières années. Concomitamment à cela, l’Arabie Saoudite, qui peut continuer à pratiquer des prix bas tout en étant rentable (car ses coûts de production sont très bas), a décidé de maintenir son niveau de production dans ce contexte de baisse des prix.

        L’objectif des planificateurs : laisser filer les prix et étouffer les économies Russe en premier échelon, vénézuélienne et iranienne en second échelon, le pétrole étant plus cher à extraire dans ces pays.

        Le pari qui est fait, est qu’étant dépendant des recettes en devises que cette matière première lui procure, ces pays s’effondreront économiquement. Il est vrai que le Venezuela souffre et est au bord de la faillite , il y’ a aussi des effets collatéraux important de cette tactique dans des pays producteur de pétrole comme l’Algérie, l’Angola etc.

         Cependant, ce n’est pas tout à fait le cas pour la Russie, le gaz et le pétrole ne représentant que 12 % de son PIB. Paradoxalement, cette situation semble même convenir à la classe dirigeante Russe.


      • 2 votes
        maQiavel maQiavel 18 janvier 2015 20:16

        C’est alors qu’intervient une autre hypothèse, notamment émise par Jacques Sapir  : en gros, les Saoud dupent avec les américains, ils acceptent de jouer le jeu de la tactique américaine consistant à faire baisser les prix pour attaquer la Russie mais au fond leur objectif, c’est l’industrie d’extraction énergétique nord américaine elle-même.

        C’est l’hypothèse de l’alliance objective à front renversé, Moscou- Ryad contre l’industrie gaz de schiiste. smiley

         

        Il faut savoir que le prince saoudien Al-Walid Ben Talal a affirmé le 28 juillet que le gaz de schiste, produit notamment aux États-Unis, « constituait une menace pour l’économie saoudienne ».

        Selon les prévisions américaines (qu’elles soient fausses ou non n’est pas le problème ici, les Saoudiens les prennent très au sérieux, c’est ce qui compte), d’ici à 2017, l’offre américaine de ce nouvel or noir augmenterait de 30 %, avec 11,9 millions de barils par jour. Les États-Unis, selon ces prévisions sont sur la voie de l’indépendance énergétique et pourraient devenir le premier producteur de brut de la planète dès 2017, dépassant ainsi la Russie et l’Arabie saoudite.

        Pour le royaume saoudien, dont le financement de l’État est assuré à 92 % par les recettes pétrolières, c’est un danger mortel. La classe dirigeante Saoudienne a donc réalisée qu’elle allait devenir le dindon de la farce et agit en conséquence : niquer les américains en jouant leur propre jeu.

        Quand vous avez des prix du baril qui baissent, les investissements dans les pétroles non conventionnels diminuent naturellement. Les Saoudiens extraient leur pétrole à 10 dollars le baril, les Etasuniens à 70 dollars leur pétrole de schiste !? Riyad est très claire là-dessus : même si le prix du baril tombe à 20 dollars, elle ne baissera pas sa production. La baisse des cours risquent de se retourner contre les américains.

         

        Pendant ce temps, la chine a décidé de supporter une part de l’effort de résistance économique Russe : la Russie va devenir le premier fournisseur de la Chine dans les domaines de l’énergie.

        En fin de compte, l’Arabie Saoudite joue un jeu qui pourrait faire plus de mal aux américains qu’aux Russes. Il faut se rappeler que les hésitations des américains concernant le nucléaire Iranien et la question Syrienne avait fortement exaspéré les Saoudiens, qui ont ouvertement méprisé les américains, il y’ a eu un froid diplomatique inédit dans les relations entre les deux pays. La classe dirigeante Saoudienne réalise que la puissance américaine est en déclin et joue son propre jeu dans la partie.

         

        Moralité : l’empire américain, puissance en déclin n’a plus les moyens de cette guerre stratégique qu’elle a lancée, et lorsque le suzerain s’effondre, les vasseaux gagnent en indépendance et peuvent jouer contre lui suivant leurs intérêts

        Comme le dirait Petyr Baelish « Dans le jeu des trônes, même les pièces les plus humbles peuvent avoir des volontés de leur propre cru. Elles refusent quelquefois d’accomplir les mouvements que l’on a programmés pour elles ». 


      • 6 votes
        cassia cassia 18 janvier 2015 20:30

        Tu te parles à toi-même Machiavel ?


      • 2 votes
        Pyrathome Pyrathome 18 janvier 2015 21:28

        En fin de compte, l’Arabie Saoudite joue un jeu qui pourrait faire plus de mal aux américains qu’aux Russes. Il faut se rappeler que les hésitations des américains concernant le nucléaire Iranien et la question Syrienne avait fortement exaspéré les Saoudiens, qui ont ouvertement méprisé les américains, il y’ a eu un froid diplomatique inédit dans les relations entre les deux pays. La classe dirigeante Saoudienne réalise que la puissance américaine est en déclin et joue son propre jeu dans la partie.
        .
        Les Saouds, une des pires dictatures, sont d’ors et déjà dans le couloir de la mort, en attente de leur châtiment amplement mérité..
        Le "prétexte" est encore au chaud dans les cartons, mais ça ne m’étonnerai pas qu’il prenne le frais prochainement....et la boite de pandore va s’ouvrir allègrement....


      • vote
        eQzez eQzez 19 janvier 2015 10:14

        @pyrathome , à voir et revoir ce qu’a dit eric laurent sur les attentats du 11 septembre , les etats unis avait chopé le numero 3 d’alqaeda , il a tout a balancé sur 3 princes saoud (les 3 sont mort de façon suspecte ...)


         11 Septembre révélations CHOC chez Ruquier : http://youtu.be/3OqeyCpnIv8

      • 2 votes
        maQiavel maQiavel 19 janvier 2015 10:48

        @pyrathome

        La classe dirigeante américaine a certainement compris à quel jeu joue les Saoudiens dans cette affaire alors elle ressort des dossiers du placard, histoire de bien leur faire comprendre qui est le patron.

        La famille al Saoud est en quelque sorte la filiale arabe de la CIA. Entre copains, à l’agence, on se comprend, quand il y’ a des dissensions, des dossiers tombent du ciel, histoire de remettre les choses en place.


      • vote
        Croa Croa 20 janvier 2015 15:24

        Je crois au contraire que la baisse des cours du pétrole n’est maîtrisée par personne et que les intrigues supposées sont très exagérées bien que par exemple l’Arabie Saoudite soit maintenant jalouse de ses part de marchés et qu’il soit vrai qu’elle se refuse désormais à fermer des robinets.


      • vote
        Qamarad Qamarad 20 janvier 2015 21:13

        Bonne synthèse !
        En Europe, c’est la réaction de la classe dirigeante allemande qui m’intéresse le plus. Même si les réseaux atlantistes y sont encore majoritaires (c’est du moins mon ressenti), il est à noter que c’est cette classe dirigeante qui est allée le plus loin dans "l’insolence", relative certes.
        Sur le prix du baril de pétrole, il y a beaucoup d’hypothèses qui circulent quant à sa baisse, dont une monétaire (pas si idiote). Les choses sont encore floues.
        Enfin, sur la Chine, bien que confirmant son potentiel de puissance, il ne faut pas éluder les difficultés sérieuses qu’elle rencontre.


      • vote
        maQiavel maQiavel 21 janvier 2015 15:18

        Salut Qamarad.

        Merci pour le lien.

        Oui, les réactions des Allemands m’intéressent aussi beaucoup.

         Autre chose, je viens de lire un article assez intéressant sur la gérontocratie Saoudienne.


      • vote
        Qamarad Qamarad 21 janvier 2015 18:35

        Oui ! Je suis également tombé dessus et j’ai appris certaines choses. Le trône de fer, c’est en Arabie Saoudite que ça se passe, qui l’eût cru ?


      • 1 vote
        maQiavel maQiavel 18 janvier 2015 20:56

        -C’est aussi dans ce contexte qu’il faut comprendre l’assouplissement de l’embargo des USA sur Cuba, il faut contrer cette coalition et l’empêcher d’avoir un poste avancé si près du territoire américain.

         

        ------> Un petit élément pour comprendre le subit assouplissement de l’embargo américain sur Cuba


        • vote
          Croa Croa 20 janvier 2015 15:26

          Quel assouplissement de l’embargo ? (À ce jour les assouplissements sont seulement diplomatiques.)


        • 1 vote
          maQiavel maQiavel 20 janvier 2015 15:52

          … pour comprendre la question de l’assouplissement de l’embargo, je voulais écrire, j’ai été trop vite.


        • vote
          nours77 19 janvier 2015 02:25

          C est drôle comme on parle beaucoup de ce qui n a au final que peut d intérêt, car on a vraiment aucun levier pour y changer quoi que ce soit (enfin soyons réaliste comme si les manifestation ou pétitions servent a quelque chose autre que provoquer des crises de rire chez nos dirigeants...), et ce qui est important passe complétement a la trappe.
          Bien sur il ce passe des choses dans le monde, mais il ce passe aussi des choses en france, mais il semble que vu le tapage charly hebdo, les autres informations ont du mal a passer, des infos comme :

          http://www.crashdebug.fr/index.php/actualites-france/10025-medef-et-gouvernement-veulent-affaiblir-les-droits-collectifs-des-travailleurs

          En france, maintenant, ce joue une bataille pour les protections (au, du) travaille, sanitaire, droit juridique, droit médicaux, économique,... important non ? (espérons que ça ne finissent pas comme avec les 35 heures..., la cgt a même changer de direction pour l occasion, ce qui est un peu inquiétant...

          http://www.crashdebug.fr/index.php/actualites-france/10035-les-collectivites-locales-francaises-s-inquietent-de-leurs-emprunts-indexes-sur-le-franc-suisse

          Aie les impôts locaux vont êtres encore plus salés, si je comprend bien, on va s en prendre plein la tronche, c est bien partie 2015...

          Et oui, des choses importantes ce passe aussi en france a par des attentats incroyable... !


          • vote
            maQiavel maQiavel 19 janvier 2015 10:57

            -car on a vraiment aucun levier pour y changer quoi que ce soit (enfin soyons réaliste comme si les manifestation ou pétitions servent a quelque chose autre que provoquer des crises de rire chez nos dirigeants...)

            ------> Le réalisme n’est pas le défaitisme. Affaiblir la confiance de l’ennemi en l’amenant à intérioriser sa propre infériorité, cela fait partie des grands classiques de la propagande depuis des millénaires.

            Il faut arrêter avec cette histoire de « on ne peut rien faire », c’est là une prédication de la servitude, une philosophie de la résignation, ce dont a précisément besoin les classes dirigeantes.

            Sans la collaboration des gouvernés, les gouvernants ne pourraient rien, il faut relire de la servitude volontaire de « De la Boetie » qui est plus d’actualité que jamais. 


          • vote
            nours77 19 janvier 2015 02:37

            http://www.20minutes.fr/nantes/1519403-20150118-nantes-nouvelles-poursuites-apologie-terrorisme

            Aie, j ai oublier un virgule... On sait jamais dans ce monde de fou politiquement correct...

            "Et oui, des choses importantes ce passe aussi en france a par des attentats(,) incroyable... !".

            Non, non, je ne n appologises rien a par la liberté... ^^


            • 2 votes
              eQzez eQzez 19 janvier 2015 10:18

              c’est la hasbara et les sayanims qui sont à l’oeuvre.


            • vote
              Croa Croa 20 janvier 2015 15:33

              Des infos dont on parle peu en effet... Surtout ces derniers jours !
              *
              Il aurait fallu quand même parler aussi un peu des infos dont on parle peu à l’intérieur de ce dont on ne parle que de ça : Par exemple de la manière dont le GIGN a abattu le terroriste de la superette. (Vidéos censurées et pour cause !)


              • 1 vote
                Croa Croa 20 janvier 2015 15:44

                Que la marge des distributeurs d’essence augmente un peu n’a rien de choquant : Ces gens gagnent peu et depuis que les prix sont ’’libres’’ 9 station-services sur 10 ont dû fermer ! Par ailleurs il est faut de dire que les carburants soient chers et c’est bien parce que le pétrole est vendu à vil prix que le commerce s’est internationalisé et que la planète étouffe sous nos rejets d’échappements !




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