Vladimir Poutine : « Si le combat est inévitable, il faut frapper le premier » (VOSTFR)
Vladimir Poutine au 12e forum de Valdaï, 22 octobre 2015
Source : http://en.kremlin.ru/events/president/news/50548
Traduction & vidéo : Salah Lamrani (http://sayed7asan.blogspot.fr/)
Transcription :
Je voudrais ajouter quelque chose. Il y a 50 ans, j'ai appris une règle dans les rues de Léningrad : si le combat est inévitable, il faut frapper le premier.
Et je vous assure que la menace d'attentats terroristes contre la Russie ne s'est ni accrue ni réduite du fait de nos actions en Syrie. Elle était déjà présente et l'est toujours, malheureusement.
Nous n'étions pas intervenus en Syrie. Pourquoi les terroristes ont-ils frappé la gare de Volgograd [en décembre 2013] ? Aucune raison. Simplement à cause de leur mentalité haineuse envers les peuples, de leur attitude à l'égard des vies humaines, de leur combat contre la Russie elle-même.
Et c'est pourquoi il vaut mieux pour nous les combattre là-bas, comme je l'ai déjà dit, plutôt que de les attendre ici.
Voir également :
Attaques terroristes à Paris : après l’émotion, dénonçons TOUS les coupables
Tags : International Russie Vladimir Poutine
6 réactions à cet article
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C’est d’une évidence ... comme le disait Meyssan hier chez Tepa, on a beau dire, la Russie est de plus la première puissance militaire mondiale ... et si on y ajoute la Chine, tout est dit.
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J’espère que cette phrase ’’Il y a 50 ans, j’ai appris une règle dans les rues de Léningrad : si le combat est inévitable, il faut frapper le premier’’ sera entendu par quelques va en guerre US et que ça calmera leurs ardeurs guerrières.
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Exactement. C’est pour ça qu’Israël a bien fait de lancer une attaque préventive sur l’Égypte en 1967 !
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"si le combat est inévitable, il faut frapper le premier"
Principe machiavelien de base...
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"si le combat est inévitable, il faut frapper le premier"
C’est ce que je dis toujours et fort, très fort.-
Renseignez vous les s 400 sont en train d’êtres déployer dans l’ouest de la Russie et en Arménie avec 7000 hommes à la frontières Turc.
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