Mélenchon fait la leçon aux jeunes journalistes du CFJ
13 réactions à cet article
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Passé l’introductio, j’ai plus de son. Suis-je le seul ?
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Pas de flagorneries repentantes
droit dans ses bottes
c’est bien Mélanchon.-
Il prend des airs de matamore mais quand il se défoule c’est sur un inoffensif apprenti journaliste, pas directement contre la presse marchande. Il ne prend aucun risque en fait.
Je déteste ce genre de personnage.
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Ceci étant l’air bovin, conformiste et soumis des étudiants en journalisme a de quoi agacer.
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Il dit une vérité criante : un journaliste ne peut pas être indépendant quand il est tenu par le salaire : Ulysse Gossey sur france 24, Le journaliste de RFI qui couvrait Israël et la palestine, Les journalistes mis au placard ou tout simplement virés pour délit d’opinion. Vous auriez du mal de lire ça dans un média traditionnel.
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Je vous apprécie de plus en plus M. Mélanchon !!!
Si bientôt vous parlez de l’art 128 de Lisbonne et de création monétaire je crois que je retournerais voté après pas mal de scrutins successifs d’abstention
Les vraies infos sur la crise
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Droit dans ses idées, c’est différent.
Et lui il accepte de débattre , y compris avec des étudiants en journalisme. Quand tant d’autres ne débattent qu’avec leurs coteries.-
En fait ma balance était sur une seule voix. Ces étudiants ont réalisé une vidéo avec un seul canal audio. Des progrès à faire...
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Cascabel : Mélenchon ne prend pas de risque, quand il se met une bonne partie de la presse à dos ?
Moi c’est vos opinions bornées que je trouve détestable.-
Mes opinions bornées ? Sur l’insignifiant Mélanchon ? ? ? ?
Pour Mélanchon, je ne vois pas de débat avec les étudiants mais un politicien qui joue un one man show. Le débat suppose l’échange ou la confrontation, on ne voit rien de tel dans le cas présent. Les pauvres étudiants en journalisme en seraient bien incapables de toutes façons, l’esprit critique n’est visiblement pas ce qui les anime.
Cependant il est un très bon acteur, il arrive à jouer l’indigné de façon fort réaliste, moi même j’y ai cru un instant, comme au cinéma.
Mais en "replay" on voit la comédie. Il ne dit rien de précis, il s’agite.
Que de la gueule comme on dit.-
Bravo Mélenchon de savoir préciser et revenir sur le vrai fond social de cette affaire.
On sait que cet homme est un honnête homme politique, mais d’une maladresse naïve et grave pour un homme qui devrait rester dans la colère froide et pas dans la décharge hormonale.Aussi, une erreur est dans sa surdétermination... qui manque un peu de pédagogie... Il faut savoir tirer à soi les consciences avec un peu plus de souplesse. Là c’est trop chevalier blanc et journalistes au noir.d’où :Coloration ethique : grisaille à l’horizon.-
Si vous lisez entre les lignes il le dit pour mieux le cautionner.
D’un côté il exige d’être respecté en tant qu’homme politique engagé et de l’autre il rappelle aux journalistes qu’ils ne sont que des ouvriers en col blanc travaillant pour leur patron. Ils doivent donc marcher droit si ils veulent faire vivre leur famille.
On remarquera que Mélanchon choisi bien ses victimes chez les journalistes, il s’en prend uniquement aux plus modestes, aux moins bien installés. Si Mélanchon était honnête il attaquerait directement les magnats de la presse et poserait sur la table les sujets boycottés et les opérations de désinformation sur des sujets précis.
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