Barbier salue le "succès" de la réforme des retraites
Tags : Retraites Présidence Sarkozy
18 réactions à cet article
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Et il se dit journaliste pffff ... même laquais c’est bien trop d’honneur à faire à ce suce-boules du pouvoir en place. Purée et dire qu’il fait parti des faiseurs d’opinion. A répendre ce genre d’ineptie, on ne peut pas se glorifier. A virer au prochain changement de pouvoir.
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C’est dingue comme les médias chantent à l’unisson que les mouvement s’essoufflent, que les choses reviennent peu à peu à la normale...à la normale ???
La situation de ce pays est NORMALE ????En tout cas, ça doit vraiment commencer à les inquiéter s’ils se donnent autant de mal à essayer de nous faire croire que c’est fini...Quant à Barbier, ben c’est toujours un pauvre type.-
J’ai l’impression de faire un cauchemar.
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Ce Barbier, tout comme Apathie, Revel ... comme tant d’autres ... on se demande encore comment ils peuvent se prendre pour des journalistes.
Il est temps qu’on leur fasse savoir ... il est temps que les gens se réveillent et ne prennent plus ces gogols de l’infos pour des journalistes ... ils en savent moins qu’un SDF illettré !-
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Pauvre journaliste soumis au pouvoir... Minable et ridicule, on n’en veut plus des journalistes pareils !!
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manon tu ne dois pas être bien vieille, moi je dirais le contraire, la droite n’a presque jamais cédé, elle méprise les travailleurs, elle les présure tant qu’elle peut, puis les jette !!
quant à Barbier qu’on nous inflige (C dans l’air) pratiquement tous les jours, en lisant ces rréflexions des mots me montent dans la gorge, je ne peuxles dire pour ne pas être censurée, mais j’ai honte pour ce nanti, si sûr de lui, suffisant, il devient insupportable. L’Express a bien changé, j’ai été abonné en 1963 et maintenant on me le donnerait je n’en voudrais pas-
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manon des bourses, elles ont quel goûts les testicules de traders ?
Méfie-toi tu dois avoir la langue bien chargée, déjà que tu parles comme une vipère... -
Bravo Manon des bourses, vous m’êtes sympathique.
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Cet imbécile heureux intervient dans "C dans l’air" quasiment tous les jours ???
Je comprends mieux les prises de position de mon père qui regarde cette émission.Cet imbécile heureux ne connaît sûrement pas la loi de 1973 et ses suites, ni l’origine de la dette.Doublement imbécile comme disait M. Allais : il est con et il ne le sait pas.Des liens pour cet imbécile :D’abord regarder ceci :Ensuite, voir la réaction de Juppé et Hollande quand un gars avec une caméra cachée leur parle de la loi de 1973 :A comparer avec l’interview de André-Jacques Holbecq :Loi de 1973 contre l’inflation, dit Giscard d’Estaing ??Voir le site suivant pour les bases :Les politiciens lisent le web, et ça finit par remonter à la surface médiatique :-
Christophe Barbier (L’Express) ment pour justifier la conduite d’Israël par François Xavier
http://www.lemague.net/dyn/spip.php?article5703
On se demande s’il vit en France ou en Israël !
Là c’est un exemple trouvé vite fait, mais c’est son job à plein temps( sionisme, atlantisme ... mensonges) ... tout le reste ( s’il en reste ) n’est que du remplissage.
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Sarko veut que les vieux bossent jusqu’à 67 ans.
Le problème, c’est que les employeurs ne veulent plus d’eux :Comment donc sortir de cette impasse ?Par ailleurs, raisonnons un peu comme les matheux. Actuellement, le pourcentage de chômeurs est de 10,1% avec la retraite toujours fixée à 60 ans.En 2009, seules 56,9% des personnes de 50 à 64 ans sont actives ; dès lors, si on remettait au travail les 43,1% restants, il est clair que les emplois de la population jeune diminueraient d’autant, que les politiciens aux langues de bois daignent ou non le reconnaître.Que dire dès lors des retraites faméliques auxquelles pourront prétendre, en fin de carrière, tous ces jeunes sans emploi ? Combien d’années de carrière pourront-ils justifier à 67 ans ?On peut comprendre qu’un Barbier, en indigne porte-parole de l’Elysée, tente de justifier le bien fondé de la réforme sarkozyste, mais il faut bien reconnaître qu’à part démanteler les derniers acquis sociaux, ces mesures ne tiennent pas la route, si on se place du point de vue du bien-être du plus grand nombre.Tout ça n’aura servi qu’à creuser un abîme entre les revenus d’une infime minorité de nantis et tous les autres.-
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22:00 et tu n’es pas encore couchée, "manon des testicules de traders" ?
Fais gaffe, tu vas être usée avant l’âge....
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"Rien n’est figé, le travail crée le travail", c’est qu’on veut nous faire croire.
La vérité est plus simple. Les retraites coûtent plus cher que les indemnités de chômage des jeunes, d’autant qu’au bout du chemin on risque de se retrouver en fin de droit.Tout porte à croire que plus jamais on ne retrouvera une situation de plein emploi (technologies, informatique, robotique de plus en plus efficace et consommatrice d’emplois). Dès lors, il y aura toujours un nombre déterminé de chômeurs et de précaires.Soit x ce nombre de "souffre douleurs de l’hyper-libéralisme mondialiste" et y le nombre de travailleurs de plus de 60 ans. Il est incontestable qu’une proportion très importante de ces x inactifs se verront privés d’un travail en raison même de l’obligation de rester en activité des sexagénaires.Que la situation et les statistiques soient figées ou non, il y aura toujours un grand nombre de vieux qui consommeront de l’emploi pendant que les jeunes courront les rues, avec tous les risques que ça risque d’engendrer en matière de sécurité. Et ne venez surtout pas me chanter que le défaut d’emploi et la précarité ne sont pas un facteur de délinquances. Plus personne de sensé ne croit cela.Quant au financement des retraites, si le système par répartition ne suffit plus à y pourvoir, peut-être est-il temps de réduire l’écart entre les très gros revenus et celui des ouvriers en revoyant la fiscalité de fond en comble, c’est à dire en luttant efficacement contre les magouilles fiscales en tous genres, mais également en reconsidérant l’échelonnage des impôts. Les recettes fiscales qu’on pourrait obtenir ainsi par une politique réellement solidaire permettraient, entre autres choses, de compléter le financement des retraites.Au lieu de cela, le gouvernement alloue régulièrement aux entreprises des subventions et cadeaux financiers en tous genres qui permettent à celles-ci d’ investir dans ces technologies qui permettent de produire beaucoup plus vite et avec moins d’employés, donc moins de charges, ce qui a pour effet évident de détruire l’emploi. Paradoxalement, ces aides financières sont évidemment présentées comme des aides à l’emploi.Le problème, c’est que dans tous les débats ou infos présentés par les médias sarkozystes, on raisonne en vase clos, en ne sortant pas du système actuel de répartition et des statistiques démographiques démontrant le vieillissement de la population. C’est leur manière d’enfumer les citoyens : refuser d’envisager d’autres financements par une réforme fiscale axée sur la solidarité et permettant une révision de l’échelle de distribution des revenus.La fiscalité est le seul outil qui permette de réduire l’abîme qui sépare riches et pauvres ; bien que celui-ci soit impopulaire, il faudra bien l’utiliser un jour si on veut éviter que l’édifice tout entier se fracture, voire s’effondre.A noter que le coefficient d’impopularité de ces mesures fiscales que je préconise est directement proportionnel avec l’échelle des revenus dont bénéficient aujourd’hui les uns et les autres. -
J’ajoute que si aujourd’hui les retraites à 60 ans sont faméliques, c’est qu’elles sont fonction des salaires. Or chacun sait que l’écart entre les petits revenus et les gros augmente de manière exponentielle, en raison de la politique hyper-libérale menée actuellement, transformant les salaires du bas de l’échelle en pur moyen de survie.
Dès lors, la retraite ne constituant qu’une fraction de ces salaires, on arrive irrémédiablement à une situation catastrophique où les gens finiront par devoir travailler jusqu’à leur dernier jour, ce qui n’empêche pas le "chef de bande" présidentiel d’offrir à ses amis, sur un plateau en or massif, le bouclier fiscal. -
j’ai 57ans-du travail et l’année priochaine 164 trimestres-je veux bien partir à la retraite-et laisser des jeunes travailller avec + d’enthousiasme-de naiveté -et d’innocence-
le problème ce n’est pas le chomage c’est d’avoir de quoi vivre-et s’occuper l’esprit s’occuper de son corps et tromper l’ennui-
et ne pas toutes laisser les richesses à un petit groupe de cupides.
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