Dupont-Aignan explique l’immigrationisme libéral et démasque Sopo en direct sur Europe1

NDA s’étonne que l’on poursuive de façon folle l’immigration aujourd’hui encore, sous l’ère Sarkozy qui fait croire aux naïfs qu’il lutte durement contre ce phénomène, alors que c’est tout le contraire, alors que l’on laisse tomber les jeunes français "d’origine immigrée" et qu’on les condamne au chômage alors qu’on laisse entrer toujours plus d’immigrés que l’on ne manque pas ensuite d’assimiler abusivement à ces mêmes jeunes français, qui se retrouvent parfois dans la situation surréaliste de défendre un système qui leur nuit et dont ils ne se rendent même pas toujours compte qu’il leur nuit.

Car en effet, NDA se livre ici à une explication magistrale et coiffe au poteau les tartufes de droite et de gauche qui font ouvertement ou subrepticement le jeu du MEDEF. Il démontre comment ce processus en réalité ultra-libéral, met en concurrence les personnes, pousse à la baisse les salaires et pose des questions d’ ordre démographique alors que la France reste l’un des rares pays d’Europe avec une natalité positive. Comment est il alors possible que des soi-disant "hommes de gauche", sensés défendre les intérêts des travailleurs, continuent à mentir ouvertement aux gens et ne répondent aux arguments irréfutables de NDA que par des invectives méprisantes et insultantes, à l’image de Dominique Sopo qui taxe NDA de "malthusien", prétend qu’il a une vision très réduite de l’économie alors que Nicolas Dupont-Aignan est sorti de Sciences-Po et de l’ENA, spécialisé dans les études de marchés, alors que Sopo pourtant enseignant de SES semble mentir ouvertement, ne sachant que réciter des arguments calomnieux.

Sopo aura même un lapsus intéressant en tentant de faire de l’esprit : "Oui, je suis parfois MEDEF et parfois Parti Socialiste". Un lapsus des plus révélateurs, pour le dirigeant de SOS Racisme qui perd alors le peu de crédibilité qu’il lui reste.

L’animateur Pierre-Louis Basse aura lui-même des arguments minables lorsqu’il tentera de faire passer NDA pour un sorte de xénophobe, prétendant qu’il veut fermer la porte à ces "bougnoules" (SIC) qui ont aidé à construire le pays dans les 30 glorieuses...

Arguments classiques des plus nauséabonds : en effet, non seulement les immigrés "bougnoules" actuels, qui ont 20 ou 30 ans n’étaient pas nés dans les 30 glorieuses, alors on se demande bien quel est le rapport, si ce n’est d’essayer de faire passer Dupont-Aignan pour un raciste. De plus, Basse ne se rend même pas compte du racisme et du mépris qu’il a pour justement ces mêmes immigrés venus durant les 30 glorieuses, qui sont souvent devenus français ou installés en France, et dont les enfants et petits-enfants devenus français, se retrouvent aujourd’hui injustement assimilés et de surcroît mis en concurrence sur le marché du travail par de nouveaux flots gigantesques d’immigrés de tous horizons, clandestins compris, qui sont exploités sans vergogne par le patronat, recrutés parfois dans de véritables marchés clandestins, chose qui ne semblent pas émouvoir les bien-pensants immigrationistes de gauches ou de droite.

Dupont-Aignan rappelle également que l’Union Européenne est tout sauf un frein à cette immigration, non seulement du fait des frontières disparues, mais aussi du fait bien simples que les pays qui la composent n’ont en rien les mêmes intérêts.

NDA attaque également Dominique Sopo et son mouvement SOS Racisme, qui a durant de nombreuses années manipulé et compliqué l’intégration et l’assimilation de certains français d’origine immigrée, en les ramenant constamment à l’assimilation à l’immigré et à l’étranger qui arrive et dont il faudrait être solidaire. Accusant l’association de souvent faire passer les français pour des racistes, NDA fait perdre son calme à Dominique Sopo, qui ne peut alors que répondre que par des bafouillements, des arguments sans rapports et finalement en traitant son adversaire de menteur. Il tentera même de faire dire à NDA que celui pense qu’il y a "trop de Noirs, trop de Jaunes", argumentaire calomnieux immédiatement cassé par Dupont-Aignan qui fait remarquer toujours très calme (contrairement à Sopo) à l’auditeur, le mécanisme d’annulation et d’interdiction du débat par toujours les mêmes insultes et accusations de racisme comme seuls arguments. Sentant qu’il a perdu la face et qu’il a face à lui un député-maire rodé au débat et qui sait comment répondre aux manipulateurs, Sopo préfère limiter les dégâts et cesse son argumentaire fallacieux.

Il est amusant de constater que ceux qui tiennent le discours le plus nauséabond et le plus condescendant sur le plateau, sont ceux qui se targuent d’être des chevaliers blancs, alors qu’ils font le jeu de la haine, du racisme et de la non-assimilation au bloc national républicain français.

Dans l’ensemble, Dupont-Aignan confirme ici qu’il possède sans doute le discours politique le plus sensé de toute la classe politique française, et pas seulement sur l’immigration, mais également sur bien d’autres sujets comme l’Euro, l’emploi, l’industrie, l’éducation et tant d’autres encore. Malgré cela, on constate qu’il a encore bien du mal a percer au niveau communication. Pendant ce temps, le Front National de Marine Le Pen a déjà commencé à caricaturer ces débats qui sont pourtant des plus cruciaux pour l’avenir de ce pays et les médias lui ouvrent une très grande place dans ce but précis, toujours dans cette même stratégie triangulaire UMPS avec le FN en épouvantail, machine à subtiliser des voix pour mieux les récupérer ensuite, machine manipulable servant elle-même à manipuler l’opinion des français pour le profit du bipartisme.

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