Choisissez votre camp, témoins, dont on se fout, de la crise !
La recette est antique : "Panem et circenses" pour éviter la révolte d’un peuple à jamais friand de pain et de jeux. Pour l’avoir oublié, certains connurent la révolte des gueux ou la révolution française.
Offrir à chacun, même au plus démuni, un semblant de toit, une nourriture de base et TF1, reprenant intégralement de la main droite consommatrice et aliénante ce que donne chichement la main gauche sociale, avec bénéfice toujours ("Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme" : merci, Lavoisier ! qui rendit populaire au XVIIIème l’antique formule d’Anaxagore, plus vieille de 2 300 ans).
Les profiteurs de crise sont nombreux, tout autant que le sont leurs motifs profonds : ego, pouvoir, argent, côté obscur de la force ressortant de la psychiatrie en mode carcéral, amusement cynique de manipulateur "pseudo-intellectuel" malveillant, abus de position médiatique dominante, viols mentaux à répétition par personne ayant autorité, ou tout simplement "connerie en mode majeur" ne pouvant être reconnue par des victimes programmées d’un système éducatif sciemment saboté depuis vingt ans.
Il n’empêche que les payeurs en sont toujours les mêmes et qu’anesthésiés et rendus incapables de se regrouper pour faire entendre collectivement leur voix, ils se contentent d’apparences de démocratie, rassurés par un suffrage universel "truqué" dont Coluche disait : "La majorité, c’est la moitié des cons, plus un ! "
Sans nous !
Sans moi !
Sans vous ?