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Intervention de François Asselineau au MEDEF – Entreprises & Politiques - 5 Avril 2017

Le Président de l’UPR et candidat à l’élection présidentielle était l’invité du MEDEF le mercredi 5 avril, pour présenter des axes de son programme et répondre aux interrogations des entrepreneurs.

 

Nota Bene :

 

 

Tags : Economie Politique Entreprises Démocratie Medef François Asselineau UPR Présidentielle 2017




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14 réactions à cet article    


  • 2 votes
    Maître Cube 6 avril 2017 09:30

    J’ai écouté cette intervention ce matin, et je dois dire que j’ai été un peu déçu.

    Pourquoi ? Parce qu’aux questions précises posées par les divers entrepreneurs, François Asselineau reste toujours dans les généralités, sans apporter de réponses concrètes.

    Il faudrait développer dans le détail les bénéfices apportés par l’abandon de l’euro au profit du nouveau franc, ainsi que la souveraineté nationale en matière de législation, car les dirigeants d’entreprises ne les déduisent pas forcément des généralités.

    Entre autre, il faudrait expliquer que la liberté d’action permise par la souveraineté nationale, permettrait d’alléger la législation, d’abroger la loi de 1973 sur le financement. Cela permettrait de frapper la monnaie et de gonfler la masse monétaire de manière à créer l’inflation nécessaire à la demande qui entraîne l’offre aboutissant au plein emploi. Bref de libérer le travail du carcan financier. Et que, grâce à ces simples mesures, la France aurait la capacité de maintenir un bon niveau de vie, car l’initiative d’entreprendre ne serait plus contrainte, et les entrepreneurs pourraient se donner à plein. Ect. Etc.


    • 3 votes
      howakhan howakhan 6 avril 2017 10:06

      @Maître Cube

      Salut si l’on en croit les..."croyances " de la société, ces gens sont les meilleurs, des humains au dessus des autres, de nous autres..si ils ne sont pas capable de s’adapter à un tel changement vivant comme nous dans la peur..etc alors que ce sont soi disant les meilleurs...

      nous aurait t’ on menti ? qui est ce "on".....les arrivistes de tous bords..

      bien sur que oui !!

      confondre arrivistes manipulateurs du tout pour ma gueule et de vrais êtres humains qui ont saisit que tout ce qui existe est lié dans l’univers , sauf l’humain tel qu’il est devenu , et a toujours été fabriquer par un collectif qui coopère, que l’argent n’a jamais rien fabriqué etc etc, confondre des arrivistes prédateur du collectif avec des gens de bien est une méprise qui porte à conséquences dramatiques..


    • 3 votes
      howakhan howakhan 6 avril 2017 10:08

      @pegase

      et si le problème, entre autre, était simplement ces patrons arrivistes sur le dos des autres qui n’en ont strictement rien a foutre du collectif sauf pour le voler, etc


    • 2 votes
      Joe Chip Joe Chip 6 avril 2017 11:26

      @Maître Cube

      Pourquoi vouloir abroger ce qui n’existe pas ?

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_janvier_1973_sur_la_Banque_de_France#Abrogation

      Dans l’objectif de mise en conformité du statut de la banque de France avec les obligations issues du traité de Maastricht, la loi a été abrogée par l’article 35 de la loi n°93-980 du 4 août 1993 relative au statut de la Banque de France et à l’activité et au contrôle des établissements de crédit, l’abrogation ayant pris effet à la date d’installation des nouveaux organes de l’institution, soit au plus tard le 1er janvier 1994.

      Plusieurs auteurs de blogs et personnalités politiques affirment que l’article 25 de cette loi aurait interdit le financement de l’État par la Banque de France, et qu’il aurait donc été « remplacé » par l’article 104 du traité de Maastricht puis par l’article 123 du traité de Lisbonne (qui interdisent cette pratique). En réalité, si cette loi peut s’inscrire dans l’avancée progressive du monétarisme, elle n’interdit pas les avances de la Banque de France à l’État, prévues à l’article 19, et son article 25 ne joue qu’un rôle accessoire comme mentionné plus haut.

      Cela permettrait de frapper la monnaie et de gonfler la masse monétaire de manière à créer l’inflation nécessaire à la demande qui entraîne l’offre aboutissant au plein emploi.

      En gros vous voudriez faire tout ce que l’on reproche aux Américains... mais bien sûr, l’inflation permet la demande qui créé l’offre comme par magie...

      Voilà ce que disait de Gaulle dans ses voeux pour l’année 1969 :

      Par la suite, le grave déséquilibre de notre économie, résultat inéluctable d’une paralysie de près de deux mois, des charges énormes subitement consenties pour la faire cesser, et des crédits massivement prodigués pour la reprise, nous a conduit, soudain, et à chaud, à une crise monétaire, qui mettait en cause la valeur de notre franc, et par là même, celle de nos avoirs et de nos rémunérations, risquait de nous faire passer sous la dépendance de prêteurs étrangers et suscitait la joie odieuse des spéculateurs de la finance, de la politique et de la presse qui jouaient notre déconfiture.

      Pour l’économie, qu’il s’agisse des prix et des salaires ou bien des dépenses publiques ou bien des changes et du crédit, les limitations, les contrôles voulus, sont absolument nécessaires jusqu’au retour complet à l’équilibre. Ceci pour que nous puissions sauvegarder la balance de nos paiements, consolider dans la réalité, les accroissements de rémunération qui ont été apparemment fixés dans les chiffres. Faire en sorte que nous vendions au dehors au moins autant que nous y achetions. Bref, empêcher que la supercherie de l’inflation ne nous fasse glisser au gouffre de la ruine et de la misère, comme jadis le chant des sirènes faisait tomber les marins dans la mer.

      Autrement dit, De Gaulle n’était pas favorable à l’inflation, à la dévaluation du franc et à la politique de la demande, c’est le moins que l’on puisse dire. Et il disait cela avant 1973, à l’époque où, si l’on en croit les complotistes et les fétichistes de la loi de 73, la France pouvait s’endetter à l’œil auprès du Trésor...

      Comme quoi Asselineau avait bien raison de remarquer au détour d’une question posée par une journaliste qu’il "n’était pas gaulliste". CQFD.


    • vote
      howakhan howakhan 6 avril 2017 14:14

      @pegase

      De par un de mes métiers exercé 9 ans, j’en ai rencontré des tas, j’étais négociateur VRP en centrales d’achats et il arrivait assez fréquemment à mon époque ( 1980-89)que il y ait des rencontres organisées par des centrales d’achat notamment pour les lancements de leur propres produits de marque entre acheteurs, vendeurs et patrons, genre discours et buffet et plus si affinité...et ce que je dis là, je ne fais que reporter ce que j’ai vu et entendu...

      Mais le système est comme cela..et qui a fait le système ? nous tous !!

      bien sur ceci sera nié, car on ne perçoit même pas que l’on vote massivement pour la compétition qui est la guerre...sous toutes ses formes..de la forme accepté par tout de conflit entre tous jusqu’à Hiroshima....et pire a venir probablement...

      tout ceci n’est pas innocent mais totalement dramatique..


    • vote
      Heimskringla Heimskringla 6 avril 2017 21:23

      @howakhan

      Bienvenue dans le monde réel, hunted or be hunted mais pas que évidement. 


    • 4 votes
      fred fred 6 avril 2017 10:00

      Il ne fait que reprendre les thèmes du FN...sans les réponses !


      • 3 votes
        FrexitUPR FrexitUPR 6 avril 2017 10:29

        J’ai regardé cette intervention hier, je suis déçu du niveau des questions. Finalement ces entrepreneurs attendent que les réponses leurs arrivent tout roti dans le bec.
        On voit bien qu’aucun travail d’investigation a été fait de la part de ces gens.
        L’adhérent de base de l’UPR en sait plus sur l’économie que ces entrepreneurs ; puisqu’il aura pris le temps de s’informer via les exposés de Vincent Brousseau. C’est désolant.


        • 4 votes
          FrexitUPR FrexitUPR 6 avril 2017 11:29

          @pegase
          Oui, mais bon, ayant délocalisé, ils ont eu le beurre l’argent du beurre et le crémière. Qu’ils coulent me gêne en rien.

          Il y a tant d’autres citoyens qui aimeraient entreprendre, qui font de bons produits, qui misent sur la qualité, que voir disparaitre ceux qui nous vendent des chinoiseries à durée de vie limitée, me fera pas verser une larme.

          Nous sommes bloqués par les épaisseurs admnistratives, les règlementations, tant qu’on sera dans l’ue on pourra pas entreprendre. Et je suis par ailleurs contre tout système de subventions car cela détruit la concurrence loyale. Par exemple dans l’agriculture les subventions ont fait disparaitre les petites exploitations, idem dans l’industrie.

          Eventuellement une aide lors de la création.


        • vote
          FrexitUPR FrexitUPR 6 avril 2017 14:02

          @pegase
          Perso mon choix serait vite fait, j’abandonnerais l’activité.

          J’ai perdu mon emploi parce que j’ai refusé de faire de la propagande européiste dans le cadre de mon travail, mon employeur étant une émanation du médef a perdu de facto les subventions de la commission. Cela n’a pas plu, tant pis. Mais au moins, j’ai la conscience tranquille. Et j’ai pas besoin d’un emploi pour bouffer.


        • 2 votes
          DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 6 avril 2017 11:28

          Asselineau concentre son discours sur le Frexit, et ce faisant, il néglige tout le reste de son programme politique que je trouve tout aussi intéressant pour le peuple, et sans doute moins intéressant pour les gros patrons du MEDEF ...
           
          Asselineau aurait parler de son programme de renationalisation de certaines entreprises de l’ancien service public, Poste, banques, TF1, autoroutes, EDF/GDF, Air France, SNCF, etc ... J’aurais bien aimé entendre la réaction de ces patrons du MEDEF qui sont des dégraisseurs de mammouth !



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