La tâche n'était pas simple : faire reposer le poids de son bilan calamiteux sur d'autres ; faire stagner "les affaires" ; se faire oublier un peu ; se refaire la cerise dans l'opinion ; tuer Jean-François Copé sans se salir les mains afin de récupérer toutes les voix de la droite dure en 2017, certes, mais "tête haute et mains propres" du sang de l'impudent roumain "Copé no vici" (ils sont fous, ces Roumains) et passer alors pour un pacificateur rassembleur, au passé vierge et à la blanche armure.
Et bien, pour l'instant, cela se passe comme prévu, ou à si peu près (repris de justesse, disait Coluche)... mais bon, il y a un âge après lequel on se lasse des marionnettistes et auquel on ne croit plus au petit Jésus soviétique... enfin, je crois.