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Accueil du site > Actualités > Politique > Les (re)nationalisations et interdictions de privatisation au programme de (...)

Les (re)nationalisations et interdictions de privatisation au programme de l’UPR de François Asselineau

Synopsis :

François Asselineau propose dans son programme présidentiel d’organiser le « retour à la nation » (c’est-à-dire une nationalisation totale ou partielle, selon les cas) des entreprises suivantes :
* EDF et GDF
* Engie (ex-GDF-Suez)
* Orange (ex France Télécom)
* Toutes les sociétés de réseaux d’adduction d’eau
* TDF (TéléDiffusion de France)
* L’AFP. Il faut restituer à l’Agence France Presse son rôle originel de service public de l’information, tel qu’il avait été conçu par le Conseil national de la Résistance. Un financement correct de l’AFP doit être assuré par l’État afin de diffuser une vision impartiale et indépendante des événements planétaires.
* Tout établissement financier secouru par des fonds publics. Faire payer les contribuables lorsqu’il y a des pertes et récompenser les actionnaires lorsqu’il y a des profits ? Cela n’arrivera plus !

 

François Asselineau annulera définitivement le processus de privatisation rampante de La Poste et de la SNCF.

 

Il mettra également en place la renationalisation de la gestion des autoroutes. Celles-ci sont des monopoles, fruits du travail commun des Français, aucune concurrence ne peut s’exercer sur elles. Pourquoi permettrait-on à des entreprises privées de s’enrichir en exploitant un bien public ? Sans compter que les prix aux péages augmentent sans arrêt alors que les frais de concession sont largement amortis.

 

TF1 sera aussi déprivatisée. Pourquoi ?! Il faut bien comprendre que TF1 est de loin la première chaîne regardée par les Français. Elle joue un rôle de premier plan dans la formation et l’éducation de l’opinion publique, rôle qu’il est inadmissible, en démocratie, de laisser dans des mains privées. TF1 sera donc renationalisée et son cahier des charges profondément remanié afin de proposer des programmes d’information et de culture de qualité pour le plus grand nombre.

 

 

Et pour éviter que les gouvernements suivants vendent à nouveau le patrimoine national à des intérêts privés, François Asselineau propose d’inscrire dans la Constitution la liste des services publics non privatisables par nature.

 

Par exemple, interdire la privatisation des services publics stratégiques existant actuellement dans le domaine de la santé et de l’éducation. Ainsi que poser le principe constitutionnel de la propriété publique de La Poste, des producteurs et fournisseurs de gaz et d’électricité, de la SNCF, des autoroutes, des services d’adduction d’eau et des deux premières chaînes de télévision nationales.

 

Ces propositions permettent au peuple français de reprendre le contrôle des biens communs de la Nation, de redonner du pouvoir d’achat à tous grâce aux tarifs réglementés ou à la gratuité des services publics. Il s’agit de protéger et développer le patrimoine commun afin qu’il bénéficie à l’ensemble des Français et soit géré dans une totale transparence.

 

Source : UPR.

 

Nota Bene :

 

 

Tags : France Economie Politique Société Démocratie Médias François Asselineau UPR Présidentielle 2017




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14 réactions à cet article    


  • 6 votes
    Ar zen 10 février 2017 11:23

    Des services publics qui seraient au service du public. C’est effectivement ce que le CNR avait prévu.

    Dans notre monde marchand actuel, une dérive terrible s’est installée. Les services publics qui "rapportent" de l’argent doivent être soumis à la concurrence. La règle, dans l’Union européenne, c’est la concurrence libre et non faussée.

    http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CELEX:12008E106:FR:HTML

     Les services publics ne peuvent plus être soutenus par le financement de l’Etat (article 106 du TFUE, traité sur le fonctionnement de l’UE). l’appartenance de la France à l’UE signe la mort des services publics à la française. Tout ce qui rapporte doit être privatisé (article 106), les "EPIC" ont du souci à se faire !

    http://www.toupie.org/Dictionnaire/Epic.htm
    https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tablissement_public_%C3%A0_caract%C3%A8re_industriel_et_commercial

     L’exemple de la SNCM est tout à fait révélateur à ce sujet.
    http://www.lemonde.fr/entreprises/article/2015/07/09/la-france-condamnee-pour-des-aides-illegales-a-la-sncm_4676893_1656994.html


    • 3 votes
      manu manu 10 février 2017 13:33

      Asselineau peut promettre se qu’il veut dans son programme, qu’est ce que sa change ? Il n’a aucune chance d’être élu son programme c’est prendre des voix à Mélenchon et Le Pen point.

      -

      Il est un réactionnaire, un programme vieux de 70 ans, et le Frexit (retour à avant l’UEE) :

      * Progressiste : qui veut aller de l’avant, est pressé d’être dans le futur. Fait tout pour hâter le changement ( + ou - à gauche )
       
      * Conservateur : est satisfait de sa petite vie, ne se pose pas de grandes questions philosophiques. Tente de s’adapter tant bien que mal aux évolutions en sauvegardant l’essentiel (si essentiel = acquis sociaux, alors socialiste (PS historiqe) ; si essentiel = épargne, alors droite (UMP et PS actuel) )
       
      * Réactionnaire : très mécontent des évolutions. « C’était mieux avant » (les années 50, etc.). fait tout pour retourner en arrière et aux bons vieux fondamentaux éthiques du « sens commun/tradition ». (+ ou - extrême droite )

      -

       Il n’a jamais était député ou ministre, et il travaille pour l’IGF :

      Wiki Inspection générale des finances (France) :

      L’inspection a la réputation d’être un formidable accélérateur de carrière. La plupart des membres du corps poursuivent une carrière dans le service public, dans des administrations centrales de l’État (notamment à la direction générale du Trésor), dans des établissements publics, dans des autorités de régulation, dans des collectivités territoriales ou dans des organisations internationales.

      -

      Il n’a absolument aucune chance de gagner, mais par contre ceux qui le défendent (Fifi et Ar zen en tête) n’arrêtent pas de critiquer Mélenchon et Le Pen, ce qui est tout benef pour les marionnettes des néo-cons : Macron et Fillon.

      Une des choses qu’ils répètent le plus c’est on ne peut pas désobéir aux ordres des néo-conservateurs (aux traités européens) même quand on vient de prouver le contraire comme ce post de jmdest62 :

      « Les différentes étapes de la procédure d’infraction de l’UE. »
      Le « pire » qui puisse arriver à la France , c’est 2 courriers recommandés et une astreinte .....et si elle refuse de payer l’astreinte .....que se passe-t-il ?
      Ce qui arrivera instantanément à l’UE c’est un trou de 8 Milliards d’euros (22-14) dans son budget . La France c’est pas la Grèce ou le Luxembourg.

      -

      Si la France se retrouvait seule elle se ferait bouffer tout cru économiquement parlant par les USA, les Brics, et par l’UE.

      Si les autres pays sortent de l’UE on les suivra mais si ils restent vaut mieux que l’on reste et vu que l’UE peut très difficilement se passer de nous, on peut désobéir sans risque en attendant de réécrire des traités qui ne nous dicteront pas notre politique intérieur.

      Le fait de désobéir aux traités ne contrariera qu’Angela Merkel et les ultra riches qui profitent de la politique très à droite de l’UE actuelle, d’autre pays désobéiront surement aussi et là on avancera vraiment.

      -

      L’UPR existe depuis 10 ans !(0,87 aux dernières élections !!!) et pourtant il y a seulement 6 mois Fifi disait :
       « C’est un rassemblement provisoire pour sortir de l’ UE, il faut donc un programme de consensus, et éviter les sujets clivants. Le nucléaire est un sujet clivant. »


    • 2 votes
      manu manu 10 février 2017 18:07

      @pegase

      Tu n’as pas compris que sans la France l’UE s’écroule, c’est surtout l’Allemagne qui dirige l’UE, et seule maintenant que la politique américaine a changée et après le BREXIT. Et vu que l’Allemagne ne veut pas que tout le monde se casse de l’UE on s’arrangera.

      C’est comme ça que marche la politique maintenant, un petit exemple :

      " Le Partenariat transpacifique (TPP) ne fera pourtant pas partie de l’héritage légué par le président américain sortant. Son successeur, le républicain Donald Trump, entend sortir les Etats-Unis de cet accord commercial, « catastrophe en puissance pour notre pays », dès son entrée en fonctions le 20 janvier. "

      " Sans eux, le TPP n’a plus guère de sens. " Réagissant aux déclarations de M. Trump, le premier ministre japonais Shinzo Abe a d’ailleurs jugé qu’il serait « impossible » de le renégocier.

      De plus la première banque d’Allemagne doit 7 milliards elle va avoir besoin d’aide...

      La réalité économique est bien plus importante que le côté juridique (des bouts de papiers).


    • 3 votes
      manu manu 10 février 2017 18:39

      @pégase

      Alors t’a vraiment renoncé le chevalier du zodiaque ? les chevaliers du zadiaaa aaa aaa que s’en vont toujours à l’attaaaaa aaa aaa que. 

      T’en as tenté un tu t’es viandé, essaye un autre plus facile.

      Et applique toi bon sang de bon soir ! miladiou !


    • vote
      maQiavel maQiavel 10 février 2017 12:27

      Une constitution doit faire consensus. C’est-à-dire qu’elle ne doit pas être trop marquée idéologiquement sur le plan de l’économie.

      Je suis favorable à une constitution qui ferait des ressources naturelles des biens du domaine public mais il ne faut pas aller trop loin. Il y’a beaucoup de Français à tendance libérale qui frémissent de terreur à l’idée d’une fonction publique pléthorique et qui ont une méfiance vis-à-vis de l’Etat, il faut tenir compte de leurs sentiments. La privatisation de certains pans de service public doit être laissée à l’appréciation des gouvernements. Par contre, ce que la constitution doit graver dans le marbre, c’est la possibilité d’acquérir et préserver des infrastructures publiques de façon souveraine.

      Pour les grands médias, la privatisation pose des problèmes évidents mais l’Etatisation aussi. Il y’a une autre voie.

      Bref , sur le plan de l’économie , une constitution doit être aussi neutre que possible pour pouvoir être consensuelle et laisser l’initiative aux gouvernements et de la place aux débats publics. 


      • 1 vote
        Qamarad Qamarad 10 février 2017 15:04

        @maQiavel

        La privatisation de certains pans de service public doit être laissée à l’appréciation des gouvernements.

        En l’occurrence, les missions de services publics qui ont été privatisés (poste, autoroute, électricité, transport) reviennent plus cher, l’entretien des réseaux laisse à désirer et l’état doit souvent contribuer aux portefeuille pour les renflouer. Donc, avec de tels arguments, personne, à part les libéraux irréductibles, ne peut y souscrire pleinement. Quand les français verront de réelles économies et une meilleure efficacité, ils seront satisfaits. On sait que la privatisation de ces servies ne marche pas.

        Ce qui en réalité créé un certain nombre de frictions, c’est moins la place de l’état que le sentiment de travailler pour payer des charges d’entretiens à des semi-oisifs. Mais c’est uniquement par l’état qu’on recréera une activité économique pérenne qui permettra de soulager les taxes excessives qui pèsent sur les indépendants. S’ils voient leur imposition baisser, leur critique en sera moins véhémente.

        Ceci étant dit, il est vrai comme tu le rappelles qu’il ne faut pas tomber dans une dérive : on devrait pouvoir se passer pour 1es médias de la nationalisation tout azimut.

        Pour ma part, je pense que la majorité du pays veut une constitution avec une orientation sociale. J’irais même plus loin : une constitution ne saurait être neutre. Si nous voulons une république, il faut que le bien commun, et donc une forme de justice, soit assuré : il n’y a pas de neutralité axiologique qui tienne. Je pense aussi qu’une constitution ne fait jamais consensus : si l’on prend le referendum de 1962, le pays était tout de même très divisé. Cela n’a pas empêché qu’une majorité appréciable l’approuve et que les critiques ubuesques de coup d’état permanentes se tussent par la suite.

        Il est inutile, selon moi, de rechercher un consensus. Qu’une majorité l’approuvent, que son application avec succès lui confère une légitimité, et les voix dissonantes seront reléguées à l’arrière cours des éternels mécontents.


      • vote
        maQiavel maQiavel 10 février 2017 18:47

        @Qamarad

        -Ce qui en réalité créé un certain nombre de frictions, c’est moins la place de l’état que le sentiment de travailler pour payer des charges d’entretiens à des semi-oisifs. 

        ------> D’accord, c’est une formulation qui correspond mieux à la réalité que la mienne.

        -En l’occurrence, les missions de services publics qui ont été privatisés (poste, autoroute, électricité, transport) reviennent plus cher, l’entretien des réseaux laisse à désirer et l’état doit souvent contribuer aux portefeuilles pour les renflouer. Donc, avec de tels arguments, personne, à part les libéraux irréductibles, ne peut y souscrire pleinement.

        ------> Là je suis plus réservé. Parce que certains peuvent attribuer ces problèmes à l’interventionnisme de l’Etat.

        Je suis plutôt d’accord avec toi , tu le sais mais comme je le disais plus haut , il faut garder à l’esprit qu’une constitution doit être la plus consensuelle possible , ce n’est pas comme voter pour une élection , il faut trouver le PGCD.

        Pour prendre un des exemples du texte : la poste. Est-ce qu’elle a encore un rôle avec l’essor du numérique ? Moi il me semble que sa principale activité aujourd’hui est celle d’une banque. Je ne vois aucune raison de maintenir un tel service public.

        L’électricité et l’eau par contre, la question de leur constitutionnalisation comme service public se pose. Mais le reste, je suis réticent. C’est aux gouvernants d’en décider en ce qui me concerne , et si la constitution est bien foutue , cette décision ne sera pas isolée mais faites en fonction d’u vrai débat social.

        -Pour ma part, je pense que la majorité du pays veut une constitution avec une orientation sociale. J’irais même plus loin : une constitution ne saurait être neutre. 

        ------> Bien sur. Mais il faut qu’elle soit le plus neutre « possible » en ce sens qu’il faut laisser de la marge de décision à l’Etat ( pas seulement le gouvernement , les citoyens aussi ) quant aux politiques à mener , tout ne doit pas être gravé dans le marbre parce que les temps et les circonstances changent , ce qui est valable aujourd’hui ne le sera peut être plus dans 20 , 50 ,100 ans. Et une bonne constitution doit avoir pour ambition de durer le plus longtemps possible d’où la nécessaire souplesse.

        -Je pense aussi qu’une constitution ne fait jamais consensus : si l’on prend le referendum de 1962, le pays était tout de même très divisé. Cela n’a pas empêché qu’une majorité appréciable l’approuve et que les critiques ubuesques de coup d’état permanentes se tussent par la suite. 

        -------> Là par contre, on n’a pas du tout la même vision de la constitution. smiley

        Mais c’est intéressant d’en parler. J’ai le même problème avec les disciples de Chouard.

         


      • vote
        maQiavel maQiavel 11 février 2017 00:04

        @pegase
        J’entends votre explication. Et je suis sensible à l’argument de ceux vivent dans des campagnes reculées. 


      • 8 votes
        galeotti 10 février 2017 16:45

        En 2017,je vote pour François ASSELINEAU !TOUS AVEC L’UPR ,LE SEUL PARTI QUI NE MENTE PAS AU PEUPLE FRANCAIS...


        • 3 votes
          Et Hop ! 10 février 2017 17:03

          François Asselineau propose dans son programme présidentiel d’organiser le « retour à la nation » (c’est-à-dire une nationalisation totale ou partielle, selon les cas) des entreprises suivantes :

          * EDF et GDF
          * Engie (ex-GDF-Suez)
          * Orange (ex France Télécom)
          * Toutes les sociétés de réseaux d’adduction d’eau
          * TDF (TéléDiffusion de France)
          * L’AFP. Il faut restituer à l’Agence France Presse son rôle originel de service public de l’information, tel qu’il avait été conçu par le Conseil national de la Résistance. Un financement correct de l’AFP doit être assuré par l’État afin de diffuser une vision impartiale et indépendante des événements planétaires.
          * Tout établissement financier secouru par des fonds publics. Faire payer les contribuables lorsqu’il y a des pertes et récompenser les actionnaires lorsqu’il y a des profits ? Cela n’arrivera plus !

           

          François Asselineau annulera définitivement le processus de privatisation rampante de La Poste et de la SNCF. "


          Il oublie la privatisation de la monnaie, du crédit aux collectivités locales, ainsi que le processus de marchandisation et de privatisation rampante de secteurs comme les hôpitaux, les établissement d’enseignement supérieur et universités, la Sécurité sociale (Maladie, Retraite, Chômage, Intempéries, Invalidité), la police (vigiles,..), bientôt l’armée etc..


          Programme de Marine Le Pen sur le secteur public :


          n°6 - Conserver trois niveaux d’administration (au lieu de six actuellement) : communes, départements et État. Cette réforme sera un gage de : 

          • simplification (suppression des doublons et répartition claire des compétences) ; 

          • proximité (en donnant plus de poids à des élus que les Français connaissent, comme les maires) ; 

          • économies (notamment sur les indemnités d’élus et les frais de fonctionnement). Elle permettra rapidement une baisse des impôts locaux. Revaloriser en conséquence le rôle et le statut des maires des petites et moyennes communes.


          n°4 - Abaisser le nombre de députés à 300 (contre 577 aujourd’hui) et le nombre de sénateurs à 200 (contre 348 aujourd’hui).


          n°138 - Garantir l’égal accès aux services publics (administrations, gendarmerie, eau, santé, transport, hôpitaux de proximité et maisons de santé…) sur tout le territoire et en particulier en milieu rural. La libéralisation du rail voulue par l’Union européenne sera refusée. La Poste et la SNCF resteront des entreprises publiques.


          n°144 - Soutenir l’effort d’investissement en infrastructures, en particulier dans la ruralité (très haut débit, couverture téléphonique, routes…) et renationaliser les sociétés d’autoroutes pour rendre aux Français un patrimoine qu’ils ont financé et dont ils ont été spoliés ; plus généralement, refuser la vente des actifs stratégiques détenus par la puissance publique.


          n°110 - Bâtir une loi de programmation du patrimoine pour permettre un meilleur soutien à l’entretien et à la préservation du patrimoine. Augmenter le budget des Monuments historiques alloué de 25 %.

           

          n°111 - Mettre un coup d’arrêt à la politique de vente à l’étranger et au privé de palais et bâtiments nationaux.

          n°65 - Garantir la Sécurité sociale pour tous les Français ainsi que le remboursement de l’ensemble des risques pris en charge par l’Assurance maladie. Pérenniser son financement en simplifiant l’administration du système, en luttant contre la gabegie financière et en investissant dans les nouveaux outils numériques pour permettre des économies durables.

          n°34 - Soutenir les entreprises françaises face à la concurrence internationale déloyale par la mise en place d’un protectionnisme intelligent et le rétablissement d’une monnaie nationale adaptée à notre économie, levier de notre compétitivité.

          n°39 - Assurer la protection des secteurs stratégiques et porteurs par un contrôle des investissements étrangers qui portent atteinte aux intérêts nationaux grâce à une Autorité de Sûreté Économique. Créer sous la tutelle de la Caisse des Dépôts et Consignations un fonds souverain avec la double mission de protéger les entreprises des fonds vautour ou des OPA hostiles et de prendre des participations dans des secteurs porteurs.

          n°49 - Libérer l’accès au crédit pour les petites et très petites entreprises grâce à des taux préférentiels sous la supervision de la Banque de France afin de remettre la finance au service de l’économie réelle.
           
          n°118 - Quitter le commandement militaire intégré de l’OTAN pour que la France ne soit pas entraînée dans des guerres qui ne sont pas les siennes.

          n°119 - Assurer une capacité de Défense autonome dans tous les domaines.

          n°120 - Reconstituer dans tous les domaines de la Défense une offre industrielle française pour répondre aux besoins de nos armées et garantir notre indépendance stratégique.

          Réarmer massivement les forces de l’ordre : en personnels (plan de recrutement de 15000 policiers et gendarmes), en matériels (modernisation des équipements, des commissariats et des casernes, adaptation des armements aux nouvelles menaces), mais aussi moralement et juridiquement (notamment par la présomption de légitime défense). Garantir le statut militaire des gendarmes. 14 Recentrer la police et la gendarmerie sur leur mission de sécurité publique en les libérant des tâches indues et administratives.


          https://www.marine2017.fr/wp-content/uploads/2017/02/projet-presidentiel-marine-le-pen.pdf



          • 4 votes
            Fanfan49 11 février 2017 13:07

            @Et Hop !

            De belles promesses qui n’engagent que ceux qui les écoutent.

            Elles ne seront pas appliquées car contraire à la doctrine de Bruxelles que Madame Le Pen ne veut surtout pas quitter.

            Ah oui elle veut renégocier... en agitant l’article 50. Elle vous ment, tout comme Merluchon.

            Changer d’Europe est impossible, aucun dirigeant européen n’a réussi : l’unanimité requise au seul changement d’une virgule des traités est une impasse.

            Désobéir aux traités entraine des sanctions financières énormes (cf les ogm).

            Et quel crédit, qu’elle légitimité accorder à un chef d’état qui bafoue les traités et donc notre constitution ? Pourquoi, nous, Français ne remettrions pas en question le consentement à l’impôt, renierions pas le code civil, le code de la route ?

            Parce que ce serait le désordre, l’anarchie. Nous sommes régis par des lois, nous sommes un état de droit, donc utilisons ce droit pour recouvrer notre liberté, notre démocratie.

            Utilisons l’article 50 qui permet de sortir légalement et sereinement de cette chianlie.


          • vote
            Soi même 11 février 2017 23:38

            Retour à la casse de départ du front populaire, et bien je vous souhaite bien du plaisir avec retardatus .


            • 7 votes
              upr2017 12 février 2017 08:44

              Le seul candidat qui mérite vraiment sa place de président est Asselineau de l’UPR. Les autres sont juste des carriéristes et agitateurs de foules à la botte de ceux qui les finances. Asselineau n’est financé par personne hormis ses 15000 adhérents et internautes donateurs qu’il a su réunir à partir uniquement de ses idées et ses analyses (qui ne s’arrêtent pas à quelques slogan pétés), upr.fr n’est pas le premier site politique de France pour rien.

              UPR2017, pensez-y les amis, mettez de côté un instant votre dissonance cognitive et étudiez ce candidat, vraiment ce n’est pas tout les jours qu’une personne intègre, patriote, ouverte et vraiment compétente en matière d’économie et de géopolitique réussi à passer l’étape des 500 signatures, et la censure médiatique. ?


              Pour UNE fois qu’il y a un candidat "sain", qui a les pieds sur terre, qui n’emploie pas la langue de bois et qui est porté par le peuple et pas promu par les médias (d’où il est totalement censuré)...

              • vote
                Soi même 13 février 2017 14:16

                @upr2017 ( Pour UNE fois qu’il y a un candidat "sain", qui a les pieds sur terre, qui n’emploie pas la langue de bois et qui est porté par le peuple et pas promu par les médias (d’où il est totalement censuré)..., cela pose toujours cette interrogation :

                Cela a hôte en aucun cas la réserve que l’on peut avoir sur la faculté a mener à bien sa restauration national, la raison de mon scepticisme, cela fait maintenant plus d’un siècle, se sont plus les hommes politiques qui détiennent le pouvoir, et pour que Mr Asselimeau puissent agir en conformité avec son programme sera dans la nécessité de faire des concertions économiques importantes, c’est a dire de pas entraver le flux de force de la finance international, et c’est à cette condition qu’il pourra toujours proposé et organisé le retour de la souveraineté la France, d’ailleurs cela est aussi très en vogue du point de vue international et ne prenez surtout pas les grands argentiers pour des bêtes idéologiques brutes de formes, ils achètent la course en misant sur tout les chevaux. 

                Donc vous pouvez toujours idéalise et je souhaite qui passe le mur de l’anonymat médiatique et qui soit élue, mais de là a pensé que l’on aura une France du plein emploi prospère, propre belle, apaiser, éternel qui retourne aux valeurs souverainismes de son passé, excuses moi de te contredire, c’est une fantasmagorie politique.

                Mr Asselineau vend de silice idéologique, il faut juste de pas oublie que c’est que du sable, et la réponse à notre impasse et peut être un peut plus compliqué que le plan B de Mr Asselineau a pour la France.



                 



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