Les nationationalistes ne veulent pas un "replis sur soi" (fermeture complète des frontières) et ils ne sont pas opposés aux progrès.
Ça c’est l’argument des mondialistes.
Les nationalistes veulent une Europe des nations (les membres sont des États souverains) et non un État européen centralisé et uniforme (dont les membres sont des citoyens européens).
L’actualité nous montre un exemple du caractère néfaste de l’UE : le prétendu marché européen libre de l’électricité qui interdit aux Français de consommer l’électricité produite en France et qui oblige EdF à la vendre,
— soit à des prétendus concurrents qui prélèvent une marge importante sans apporter aucune valeur ajoutée,
— soit à des spéculateurs sur le marché européen pour la racheter beaucoup plus cher.
Cela montre que l’UE n’est qu’une entreprise organisant le vol et la spoliation des .
Le nationalisme, c’est de considérer en France que l’électricité doit continuer à être produite et distribuée par une entreprise nationale, puisque cela marche très bien. En effet, c’est beaucoup moins cher, les employés EdF sont mieux traités, et c’est beaucoup plus efficace à tous points de vue. C’est aussi de considérer que ça peut être différent dans un autre pays. Le nationalisme, c’est le droit pour chaque pays de décider de son organisation, de ses lois, de sa langue, de sa démographie, de ses idéaux et de son mode de vie.
Le défaut du secteur public (énergie, santé, éducation, gendarmerie, ponts et chaussées, eaux et forêts, monnaie nationale,..) c’est que ça ne rapporte ni dividendes, ni commissions, ni plus-values, ni intérêts, ni frais, ni marges commerciales aux spéculateurs, actionnaires, courtiers, banques, et autres parasites internationaux.