Montebourg interpelle les deux impétrants... et réserve son choix

C’est de la rhétorique asselinienne ça...
 
Si c’est impossible de faire quoique ce soit en Europe parce qu’il faut l’accord des 27 pays avec des intérêts différents, comment expliques-tu que la construction Européenne se soit faite et continue à se faire de manière autoritaire, sans consultation des peuples ni des parlements, et tout ça quasiment dans le seul intérêt de l’Allemagne ?
 
Si l’Allemagne a réussi à convaincre, voir d’imposer, à tous les autres pays de faire comme elle, pourquoi serions-nous incapable de le faire, nous, à notre tour ?
 
Asselineau décrit le parlement européen et s’appuie sur la répartition des députés pour démontrer que nous serions incapable d’y avoir une majorité. Mais c’est oublier que les décisions européennes ne se prennent pas au parlement, et que celui-ci n’a d’ailleurs même pas l’initiative des lois qu’il vote, ni les possibilités de les appliquer. C’est ce qu’on appelle un ectoplasme.

Le problème mes amis c’est que vous réfléchissez toujours comme ci l’ Europe avait une réelle existence sociale et culturelle mais ce n’est qu’une organisation montée par Washington pour voler les peuples Européens. Voici un texte qui résume bien la situation, qui malheureusement, est bien mal engagée. Je crois que le seul choix qui nous reste c’est soit de sortir de l’Europe dans le chaos et la haine engendré par le nationalisme, soit en sortir de façon calme et comprise en patriotes.

L’Union Européenne caveau des nations !

En dépit du fiasco avéré de l’Union Européenne, de nombreux citoyens désinformés croient encore en cette bureaucratie nauséabonde. Certains rêvent même d’imposer aux nations les États-Unis d’Europe (sous tutelle des banques privées), alors que l’Europe de nations suffit largement.

Les USA ont 500 ans d’histoire nous en avons 2000, ils parlent surtout l’anglais et un peu l’espagnol nous avons 23 dialectes, sans compter les langues régionales ! Un américain de l’Alaska peut très bien aller travailler en Floride, un américain de Californie peut très bien se déplacer dans le New-Hampshire, en revanche un finlandais s’adaptera difficilement en Grèce, comme un islandais aurait quelques problèmes à s’installer en Roumanie ! Bref le modèle américain (actuellement sur le déclin) n’est pas le notre et ne le sera jamais.

Le rêve dément de JeanMonnet (le traître) est devenu notre cauchemar, d’autant plus que l’U.E est déjà une succursale de Washington, ce qui n’est pas du goût de tout le monde, d’autant plus que les européens ont l’obligation, de participer aux colonisations de l’OTAN.

L’Euro est sur le point d’exploser tout comme la prétendue cohésion des états où logiquement le nationalisme reprend le dessus. Les conseillers fantoches de l’Union européenne s’accrochent à leur siège, comme des tiques sur un chien, alors que les nations trahies ne rêvent que de redevenir indépendantes. Ces simples d’esprit aveuglés par leur rêve supranational, s’imaginent que les citoyens européens se sentent rassurés, dans ce foutoir bleu étoilé où ils sont en train de tout perdre. Ils ont perdu leur souveraineté, leurs coutumes, leur économie, leur religion, leurs espoirs et on leur demande de faire une croix sur leurs acquis sociaux, pour sauver des banques milliardaires apatrides.

Seulement les européens ont en assez de ces guignols prétentieux qu’ils n’ont même pas élus, les parasites comme Van Rompuy, Trichet, Barroso, Ashton et les autres, qui sont aux ordres de la Fed, ou sous le joug de prétentieux comme Tim Geithner et de déments comme Ben Bernanke (l’imprimeur fou).

L’Euro est mort les peuples sont ruinés et on leur demande de faire encore plus de dette, pour sauver un système caduc ! Imaginez un père de famille qui à déjà dix crédits sur le dos, qui termine ses fin de mois par miracle et qui décide soudainement d’acheter une Ferrari, pour faire tourner l’économie...

Les européens pensent que quitte à crever, autant crever parmi les siens, plutôt que de servir de carpette à l’hyper classe mondialisée apatride. Le nationalisme à tout prix n’a jamais eu de sens ni d’avenir, en revanche la souveraineté des peuples n’a pas de prix et c’est bien cela que les oligarques de Bruxelles tentent de nous ôter !

Alain Conny