Napoléon vu par Mélenchon
Jean-Luc Mélenchon a donc pris le parti de rappeler le bilan politique de Napoléon : prise du pouvoir par un putsch, rétablissement de l'esclavage, abolition des décrets de séparation de l'Église et de l'État, code civil consacrant la minorité des femmes, guerres meurtrières.
A partir de 1min48
Tags : Histoire Jean-Luc Mélenchon Napoléon
14 réactions à cet article
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Dernière ligne droite vers la carte vermeil, il sera toujours payé à rien foutre mais il nous emmerdera moins.
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@Clocel
Vous inquiétez pas la relève et déjà là ...
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@magatst
Le fait est que, comme club de forcenés, LFI, c’est pas mal, on se croirait chez les Verts par moment, on ne saurait pas bien quoi faire de ces guignols dans la vraie vie.
M’enfin, il faut bien nourrir l’illusion démocrassique...
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Jean Luc franchira t’il le rubicon, saura-t-il battre son record des 6 % et faire moins qu’Asselineau ?
son fan club pèsera t’il suffisamment pour lui permettre de rembourser sa campagne de 2022 ?
vous le saurez dans "je vais encore dire une connerie pour chier sur la France et faire plaisir à ma loge"
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@Durand
De quel équilibre parlez-vous !
Ici sur AgoraVox ?!
Aux vues du nombres de publication des apologistes de notre bon Napo sur agravox, je pense que ce petit coup canif n’est pas encore suffisant pour abattre ce mythe absurde du bon empereur !!! qui n’est qu’un traitre à la répubique et à la nation française. -
@magatst
Je parle du discours de JLM, qui est à charge contre Napoléon et qui ne peut, à lui tout seul, prétendre à une quelconque vérité historique.
Par exemple, fustiger Napoléon parce qu’il a rétabli l’esclavage dans nos colonies ne peut être séparé de la connaissance des droits – et c’est beaucoup dire – des anciens esclaves, soit disant ”libérés” depuis la Révolution...
En replaçant dans leur contexte les mêmes événements dont parle JLM, la vidéo que je propose laisse d’autre voies que celle d’une accusation de Napoléon par une gauche française qui, par son incapacité à gouverner le pays, avait elle-même suscité un retour de l’autorité de l’état en la personne de Napoléon... C’est dans ces mêmes conditions qu’en 1958, cette même gauche en perdition est allé chercher de Gaulle à Colombey... Nombre d’historiens disent d’ailleurs de ce dernier qu’il aura eu, lui aussi, son 18 Brumaire...
Mais déjà en 1940, toujours pour les mêmes raisons, cette même gauche incapable de gouverner appelait Pétain... Mais il était trop tard et elle a eu Hitler !
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@magatst
"un traitre à la répubique et à la nation française."
on peut difficilement trahir les 2 en même temps tant la république et la France sont antinomiques
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@albert123
La nation française c’est constitué publiquement avec la révolution française.
Donc en réhabilitant la noblesse il fait cette double trahison. -
@Durand
La gauche n’a jamais été une entité monolithique.
L’association des rouges et des bleues contre les blancs n’est qu’une union de circonstance.
La gauche c’est juste des accord de circonstance contre les pleins pouvoir à un homme unique. Qu’il s’appelle Macron, Lepen, ou Napoléon.
Rien à voir avec un programme politique.
Une gauche qui appelle un de Gaule ou Pétain montre à quel point il y a confusion des genres.
Mais de Gaulle et Naboléon, même combat, ils sont monté sur le "trône" par un putsh. Et le premier nous a donné la pire des constitutions, la Veme Rép.
A mon avis. -
@magatst
non toujours pas, mais au moins vous avez bien retenu la leçon, vous aurez droit certainement a un bon point peut être même une médaille.
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@albert123
Non toujours pas quoi !!!
De quel leçon parlez-vous ?
De celle de vos vieux livres d’histoire Nathan périmés ? -
« Une gauche qui appelle un de Gaule ou Pétain montre à quel point il y a confusion des genres. »
« Une gauche qui appelle un de Gaulle ou Pétain » est surtout une gauche qui à affaibli le pays au lieu de le renforcer et qui n’assume plus le pouvoir dès que les affaires se compliquent...
La gauche socialiste n’a jamais été aussi utile et nécessaire que dans l’opposition, quand elle était obligée de composer avec le PCF, du moins jusqu’à Georges Marchais, tant que le PCF était patriote...
Quand elle prends le pouvoir, elle finance ses rêves et ses promesses pour qu’ils deviennent réalité, elle se finance elle-même par la même occasion, ruine le pays par la dette et quand elle est en perdition, finit toujours, dans le meilleur des cas, par rendre le pouvoir à une opposition plus réaliste, sinon à l’ennemi, comme en 1940 dans la clairière de Rethondes ou à Maastricht en 1992...
C’est historiquement cyclique !
« La gauche n’a jamais été une entité monolithique. »
Non, et pour cause : les socialistes sont des bourgeois qui n’ont rien de gauche, sauf dans les discours, les promesses et la poche de leur veston...
« Je n’aime pas les Communistes parce qu’ils sont communistes ; je n’aime pas les Socialistes parce qu’ils ne sont pas socialistes... » disait de Gaulle...
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Vous faites une confusion grave à mon avis.
Historiquement la gauche est juste une alliance entre deux camps qui sont contre les pleins pouvoir aux monarques.Donc les radicaux de gauche sont bien de gauche et pourtant c’est un partie qui en aucun cas ne milite pour le "socialisme". Juste un capitalisme aménagé. Une social démocratie comme on dit.
Non, la vrai trahison du PS et son revirement en 1983 en enterrant purement et simplement le programme commun avec Mauroy et la rigueur.
Revirement qui montre simplement que le PS n’est pas un "socialiste" au sens Marxiste du terme.
D’ailleur le PCF prend aussi cette direction depuis pas mal de temps, d’ou c’est si faible force ...
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