Pascale Clark vs Marine Le Pen : la haine !
Pascale Clark face à un membre de la famille Le Pen, c’est toujours un moment à part. La journaliste ne cache jamais très longtemps sa haine viscérale. Pascale Clark, c’est un peu Nicolas Demorand au féminin... en pire !
Le 19 avril dans la Matinale de France Inter, la journaliste de service public militante-gauche-bobo-sectaire a tenu ses nerfs pendant quelques instants, avant de perdre les pédales... Le ton de sa voix a quelque chose d’irritant, d’insupportable, on sent qu’elle a la rage, la haine... et qu’elle sort totalement de son rôle en agressant gratuitement son invitée. Marine Le Pen reste, elle, incroyablement zen vu les circonstances : c’est presque inhumain comme "zénitude"... On se demande quel entraînement elle suit pour résister comme elle le fait. MLP serait-il devenue une adepte de la méditation transcendantale ?
La fin de l’interview est à peine croyable : Clark lance une pique à Marine Le Pen, l’accusant à demi-mot de racisme. France Inter diffuse en effet un extrait d’une chanson choisie par MLP. Il s’agit de « Jeanne » de Laurent Voulzy, une chanson à la gloire de Jeanne d’Arc. Lorsque la musique s’arrête, Marine Le Pen confie qu’elle aime aussi beaucoup une autre chanson de Laurent Voulzy « Belle Ile en mer ». Et Pascale Clark d’embrayer aussitôt : « Belle Ile en mer... en France, violence, manque d’indulgence, par les différences ». La réplique de Marine Le Pen ne tarde pas :
Marine Le Pen : « La manière dont vous balancez votre petite vanne, vous m’accusez de quoi, madame, avec votre air pincé ? Exprimez-vous ».
Pascale Clark : « Je n’ai rien à dire, vous êtes parano ou quoi ? ».
Marine Le Pen : « Je lutte contre le racisme, contre la discrimination positive qui accorde des droits à des gens en fonction de leur couleur de peau ou de leur origine, je suis la seule en réalité à lutter pour l’égalité dans la République ! ».
Pascale Clark : « C’est fini, démocratie, temps de parole »
Pauvre démocratie, que ne fait-on pas en ton nom... Les nerfs à vif, Clarke quitte le studio pendant que Marine Le Pen lui parle encore... On attend d’elle la même attitude impertinente face à Nicolas Sarkozy, François Hollande, Eva Joly ou Jean-Luc Mélenchon, s’ils viennent, par malheur, à dépasser de quelques secondes leur temps de parole...
Durant la campagne de 2007, Pascale Clark avait déjà été contrainte de recevoir Jean-Marie Le Pen "en aparté" sur Canal+. Un moment surréaliste, où elle ironisait notamment sur son cancer et insinuait qu’à son âge il devrait déjà être mort. Le quart d’heure de la haine... dont voici un condensé :
Cette campagne 2012, insipide, aura au moins eu le mérite de démasquer une bonne fois pour toutes les roquets qui nous servent de journalistes : FOG, Michel Denisot, Jean-Michel Aphatie, Alain Duhamel, Nicolas Demorand, Ruth Elkrieff, Michel Field, Pascale Clark, Audrey Pulvar... Au moins pour cela, merci à Nicolas Dupont-Aignan, Jacques Cheminade, Jean-Luc Mélenchon, Philippe Poutou, et Marine Le Pen. Et aux récents documentaires Les Nouveaux Chiens de garde et DSK, Hollande, etc.
Tags : Journalisme Médias Jean-Marie Le Pen Marine Le Pen
47 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON