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Royal candidate : "DSK est le meilleur Premier ministre que la France peut avoir"

Rompant le pacte de non agression entre elle-même, Martine Aubry et DSK, Ségolène Royale a annoncé sa candidature aux primaires socialistes lundi dans la presse régionale. Ce matin sur France Inter, elle a affirmé que Dominique Strauss-Kahn, le champion des sondages, ferait un très bon Premier ministre : "DSK est le meilleur chef de gouvernement que la France pourrait avoir en pleine crise monétaire internationale".

Tags : Ségolène Royal DSK




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21 réactions à cet article    


  • 1 vote
    sheeldon sheeldon 30 novembre 2010 10:52

    rien a faire des petites phrases des " présidentiels "

    http://www.dailymotion.com/video/xftf40_edf-privatisation-et-speculation-assemblee-nationale_news

    ceci me semble être d’une toute autre importance !


    • 7 votes
      l'argentin l’argentin 30 novembre 2010 10:52

      Je voudrais pas être les enfants de Royal et Hollande, au milieu de tels arrivistes ça doit pas être facile de grandir ! - :)


      • vote
        sheeldon sheeldon 30 novembre 2010 11:32

        ils finiront comme papa maman dans ces milieux la reproduction sociale est une norme .


      • vote
        Yajovin 30 novembre 2010 12:21

        Ni madame Royal ni monsieur Hollande ne voudrons t’avoir comme leur fils (le). Allez ! Ségolène, nous sommes derrière toi.


      • 7 votes
        l'argentin l’argentin 30 novembre 2010 14:20

        oui nous sommes derrière toi Ségolène, tu pourras nous ramener le grand Kouchner à qui tu as fais du charme dernièrement ! Et tu prendras Strauss Khan comme 1er ministre, merci .
        Le rêve smiley


      • 5 votes
        Maldoror Maldoror 30 novembre 2010 11:23

        La politique sérieuse ne passe définitivement plus par les grands médias.


        • 3 votes
          sonearlia 30 novembre 2010 11:54

          DSK président du FMI.
          A VOIR


          • 14 votes
            la-matrice la-matrice 30 novembre 2010 13:50

            Mon Dieu, avoir DSK comme Premier ministre ou pire comme Président serait la plus grande catastrophe politico-économico-sociale que la France n’ait jamais connu. DSK est un vendu, un pantin aux ordres de Washington et des cartels bancaires internationaux apatrides, destructeurs de libertés et de souveraineté, comploteurs, menteurs et imposteurs. Il se considère (et ils le considèrent) comme (le meilleur) socialiste, se jetant des fleurs, s’enroulant dans le drapeau Français et le tarissant de fallacieuses éloges. DSK est au service exclusif des intérêts financiers privés, et il l’a démontré lors de sa
            présidence du FMI, où il a joué un rôle considérable dans la mise sous tutelle économique et la perte des souverainetés de la Grèce et de l’Irlande (et bientôt du Portugal, de l’Espagne puis de l’Italie). DSK, esclave des Américains, car Président du FMI. Les Etats-Unis participent en effet pour près de 20% au FMI, par conséquent aucune décision n’est prise sans leur accord.


            • 4 votes
              l'argentin l’argentin 30 novembre 2010 14:36

              Merci la matrice de recadrer les choses mais finalement le plus dure dans tout ça c’est que chacun puisse se remettre en cause. En effet quand on a l’impression d’avoir trouvé son représentant plus ou moins idéal, il est difficile de s’apercevoir que l’on avait tout faux. Je prends mon cas personnel et je me rends compte que je m’accroche longtemps à ce que je croyais être celui qui incarnait le mieux le chemin de la justice et de la vérité. Ce fût Royal , ensuite je me mis à adorer Soral, puis Mélenchon et à chaque fois je suis obligé de me faire violence pour reconnaître que j’avais fais fausse route et que les faits jouent contre eux.
              Il ne faut jamais croire détenir la vérité et être en remise en cause permanente, il n’y aura jamais de vraie libération si il n’y a que des paresseux de la pensée !


            • vote
              Cascabel 30 novembre 2010 16:06

              Avec Soral vous ne vous êtes pas vraiment trompé je pense, il représente assez bien vos idées et il n’est pas corrompu ou hypocrite.
              Personnellement je l’ apprécie en tant qu’ analyste et écrivain mais pas du tout en tant que politicien et ce d’ autant moins qu’il se fourvoie entièrement avec l’ islam, un peu comme vous d’ ailleurs smiley


            • 4 votes
              l'argentin l’argentin 30 novembre 2010 16:22

              @Cascabel
              "qu’il se fourvoie entièrement avec l’ islam", c’est aller un peu vite en besogne je trouve et c’est d’ailleurs à partir de là que j’ai commencé à voir l’incohérence et l’opportunisme du personnage qui rêve en secret d’un petit rôle politique au cas ou ? ER est juste une sous officine du FN , on y trouve toutes les interventions de Mr Zemmour et Soral ne cache pas que Marine LePen est la meilleure représentante du peuple Français à l’heure actuelle. Pour quelqu’un qui prône soi-disant la réconciliation c’est mal barré avec ce genre de mascottes. Il serait vraiment cohérent il nous parlerait de NDA mais il passe son temps à chier sur Besanscenot et les "gauchistes" qui n’est finalement un danger que pour le FN ; Et encore une belle preuve de réconciliation ! Bref Soral à un franc parler qui peut éveiller la conscience (comme ce fût le cas pour moi) mais pas aider à la cohérence de la pensée citoyenne. Les seuls vrais résistants qui ne m’ont pas déçus pour l’instant sont Mr Asselineau, Dieudonné et MR Bricmont ! Mais bon on es là pour apprendre et s’émanciper alors merci pour votre commentaire !


            • 4 votes
              l'argentin l’argentin 30 novembre 2010 16:24

              Et j’ai oublié MR Collon smiley


            • 1 vote
              Maldoror Maldoror 30 novembre 2010 23:31

              Ben si on se limite à la scène politique actuelle (je parle que des "gros" là hein), je pense aussi que c’est Marine le Pen qui fait le plus bouger les choses dans le bon sens, même si c’est pas toujours le cas.
              Je te signale tout de même que Soral avait essayé de changer le front de l’intérieur pour recadrer le viseur et après son passage il faut tout de même constater que MLP ne lie pas tout à l’immigration et a un champ beaucoup plus large et juste.
              Regarde donc cette vidéo où elle explique, comme on le sait ici, l’origine de notre dette et les banques qui nous gouvernent :
              http://www.dailymotion.com/video/xfv6oq_marine-le-pen-denonce-les-banques_news

              il vaut mieux se servir de ça que de le passer sous silence.

              En ce qui me concerne je sais bien que ce n’est pas avec l’UMPS que l’on se relèvera, mais que ça viendra nécessairement de forces qui n’ont pas participé au système. Les enjeux étant ce qu’ils sont, les forces en présence s’assureront d’avoir leurs candidats à la présidentielle qui ne remettra pas en cause notre allégeance à l’Otan et à la finance. Je crois même avoir lu que la campagne de com présidentielle de Ségolène Royale avait été prise en charge par je ne sais plus quel institut ayant des liens avec les US et la finance.

              Moi je reste sur la ligne Union sacrée/CNR.


            • vote
              rastapopulo rastapopulo 30 novembre 2010 23:42

              Cheminade ?

              Un journal (Le Monde repris par l’AFP) a enfin parlé du scandale d’avoir laissé passer les comptes de campagne de Balladur parce que les comptes de Chirac était encore plus illégaux alors que ceux de Cheminade était direct refusé... motif ? prêt sans intérêts donc non conformes !!!

              Il est toujours avec une ardoise 170 000 € pour bien le plomber (en plus de la chasse au sorcière, des accusation de fascismes, de communisme,...).

              Comme la ratonnade que ce sont prix des militants le jour du papier du monde :
              http://www.solidariteetprogres.org/article7203.html


            • 3 votes
              l'argentin l’argentin 1er décembre 2010 01:39

              Tout à fait d’accord avec vous pour le CNR et d’ailleurs regardez l’analyse faites par l’ UPR du FN :
              Très prévoyante, la SARL Le Pen and C° ne s’est pas contentée du lancement de Mme Le Pen-fille depuis 2007. Elle a aussi déjà mis en orbite la petite-fille Marion. Cette jeune fille de 19 an...s a été déjà fort aimablement lancée dans les médias pour les dernières élections régionales. En particulier par le journal Libération : http://www.liberation.fr/politiques/0101606776-la-petite-fille-le-pen-se-lance-aux-regionales

              Si ce journal, possédé à 39% par Edouard de Rotschild, fait la pub de toute la famille Le Pen et lui prépare obligeamment un avenir tout tracé, ce n’est pas par scrupule démocratique ni par hasard. C’est pour poursuivre un objectif calculé au millimètre.

              Quel objectif les donneurs d’ordre du système poursuivent-ils, depuis 27 ans maintenant, en orchestrant médiatiquement le «  lepénisme » ?
              Réponse : entraîner 10 à 15% d’électeurs, soucieux de défendre la France, dans une impasse et dans la diabolisation.

              ---

              Tel est le rôle qui a été dévolu à Jean-Marie Le Pen, par décision de François Mitterrand à partir des élections locales de Dreux en 1983. En lui accordant une large couverture médiatique, « on » savait que, grâce à ses outrances calculées, M. Le Pen allait permettre de diaboliser l’idée même de patriotisme et de nation.

              La manipulation a formidablement bien marché pendant 2 décennies, sur toute la période 1983-2002.

              Les propos scandaleux de Jean-Marie Le Pen, comme ceux sur la guerre d’Algérie ou sur « le détail de la Seconde guerre mondiale  », ont en effet permis aux médias de mettre dans la tête des Français, et plus spécialement des jeunes générations - ou des Français d’origine immigrée :
              - que le drapeau français, hérité de la Révolution de 1789, était à peu près assimilable au drapeau nazi,
              - que critiquer la construction européenne était équivalent à approuver la torture en Algérie,
              - que défendre les intérêts nationaux (c’est-à-dire les intérêts du peuple français) était une honte et une preuve de fascisme,
              - que voter Non à la Constitution européenne revenait à approuver Adolf Hitler.

              S’il n’y avait pas eu M. Le Pen, une majorité de Français n’auraient pas ratifié le traité de Maastricht créant l’euro en 1992. Car l’argument « Si vous votez Non au référendum sur le traité de Maastricht, vous votez comme Le Pen » a été utilisé à satiété dans tous les médias et a intimidé les quelques pourcents de Français suffisants pour empêcher le Non de triompher.

              Cet argument a resservi en 2005, mais comme il était un peu éventé et que M. Le Pen se fait vieux, il n’a pas suffi à faire barrage à la montée constante du Non.

              D’où l’utilité :

              a) - de mettre en avant Mme Le Pen-fille, qui servira de croquemitaine en chef pour les deux décennies 2010-2020.
              A cet égard, tous les médias sont déjà dans les starting blocs pour 2012 : ils vont faire mousser Mme Marine Le Pen au maximum (comme on l’a déjà vu lors des régionales 2010).
              En contrepartie, Mme Le Pen-fille s’ingéniera à fustiger l’Europe tout en tenant des propos d’extrême-droite.
              L’objectif de cette étroite connivence est de faire fuir comme d’habitude 85 à 90% des Français, d’en neutraliser 10 à 15%, et d’assurer l’élection, encore une fois, du candidat européiste sélectionné par le système.

              b) - de garder au chaud Mme Le Pen-petite-fille, que l’on nous servira à point pour jouer les croquemitaines sur les décennies 2030-2050 (la jeune Marion aura alors entre 40 et 60 ans).

              Pour conclure, nous invitons nos lecteurs encore dubitatifs à prendre en compte 3 éléments très importants :

              ----

              1) Le Front National, quoi que présenté continuellement dans les médias, comme LE parti hostile à l’Europe, ne propose pas du tout de sortir de l’Union européenne, ni même de sortir de l’euro.

              Son programme en ligne dit tout et le contraire de tout sur ces questions pourtant décisives. La déclaration de Mme Le Pen-fille sur la « sortie concertée de l’euro » qui est sortie d’un chapeau à cause de la crise grecque n’est absolument pas conforme à ce qu’ont dit les autres responsables de ce mouvement et elle n’est absolument pas reprise non plus dans le programme du FN en ligne.

              Rappelons quelques déclarations récentes des dirigeants FN :

              Jean-Claude Martinez, député européen du FN : «  sortir de la zone euro serait une sottise absolue » (La Libre Belgique, 3 mai 2002),

              Jean-Marie Le Pen : « On m’accuse d’être contre l’Europe, c’est absurde ! La France est la plus vieille nation d’Europe mais je ne suis pas pour n’importe quelle Europe. C’est l’Europe des patries que nous voulons ». (AFP 16 juin 2006)

              Bruno Gollnisch : « Si Jean-Marie Le Pen est élu à la présidence de la République, il ne proposera pas la sortie de l’euro, mais il proposera en échange de récupérer des pouvoirs fondamentaux en matière fiscale ou en matière de frontières ». (AFP 16 juin 2006)

              Jean-Claude Martinez : « Non. Nous ne pouvons pas sortir de l’euro, que j’ai pourtant combattu ». (Le Figaro, 11 août 2006)

              Notons que ni M. Le Pen, ni M. Gollnisch ni M. Martinez n’ont confirmé la récente déclaration de Mme Le Pen-fille. Il s’agit donc bien d’une "répartition des rôles" pour faire du FN une auberge espagnole où chaque électeur trouvera ce qu’il a envie d’entendre. La conséquence en est que le FN ne prend en réalité aucun engagement ferme devant ses électeurs.

              ----

              2) Comme DLR, comme le Parti de Gauche, et comme tout le reste de la classe politique française à la seule exception de l’UPR, le Front National est muet comme une carpe sur le rôle de concepteur et de chef d’orchestre joué par les États-Unis dans la construction européenne depuis 60 ans.

              Pourquoi ce mutisme ?

              ----

              3) Enfin, les financements du Front National ont fait l’objet de nombreuses interrogations.

              On sait souvent comment M. Le Pen a mis la main sur l’héritage des ciments Lambert (il suffit d’entrer les mots « Le Pen » et «  Lambert » sur Google pour avoir toute l’information disponible).

              En revanche, on sait moins que M. Pierre Ceyrac fut l’un des bailleurs de fonds du Front National dans les années 1985-1992 et qu’il fut d’ailleurs élu député FN du Nord en 1986, député européen FN en 1989 et conseiller régional FN en 1992, dans le Nord-Pas-de-Calais.

              Or M. Ceyrac était rien moins que le Secrétaire général de CAUSA International (« bras politique » de la secte Moon) pour l’Europe - source : http://www.prevensectes.com/moon5.htm

              Or la secte Moon, du Révérend Sun Myung Moon, a des affinités électives très particulières, que nos lecteurs découvriront en surfant sur Internet, et notamment en lisant cet article intéressant : http://www.voltairenet.org/article7830.html

              Faut-il en conclure que M. Le Pen et le Front National ont [eu] des liens secrets avec les services américains et la famille Bush, via Pierre Ceyrac, CAUSA International et la secte Moon ?

              Sans trancher cette intéressante hypothèse, nous nous limiterons à souligner que la bonne question que doivent se poser les Français électeurs du Front National est la suivante : depuis 27 ans, À QUI PROFITE LE FRONT NATIONAL ET LE "LEPÉNISME" ?

              À qui sinon aux États-Unis qui ont ligoté la France dans une construction à leur botte, et cela parce que M. Le Pen et le FN ont rendu odieuse à une écrasante majorité de Français l’idée même de patriotisme et de défense nationale ?

              Heureusement, l’UPR est en train de mettre un terme à cette infâme supercherie. L’UPR prouve aux Français que l’alternative qui s’offre à eux ne se limite pas à devoir choisir entre la peste brune et le choléra bleu aux étoiles d’or.

              Équipe UPR.

              Il serait intéressant d’étudier le détail des votes des résolutions du parlement européen concernant "le grand marché transatlantique". Pour rappel, le processus d’intégration transatlantique a été lancé officiellement il y a 20 ans (22 nov...embre 1990), avec l’adoption de la Déclaration transatlantique par le congrès des États-Unis et le parlement européen. Quelques mois après la chute du Pacte de Varsovie, le Secrétaire d’État James Baker avait déclaré : "Notre objectif est une communauté transatlantique allant de Vancouver à Vladivostok" (juin 1991, Berlin).
              Ont été successivement adopté depuis par les États Unis et la CEE devenu Union Européenne (UE) :
              - en 1995 : le Plan d’Action Commun et le Nouvel Agenda Transatlantique ;
              - le 18 mai 1998 : le Partenariat Économique Transatlantique ;
              - le 4 décembre 2003 : la stratégie pour renforcer le partenariat transatlantique ;
              - en 2005 : l’initiative économique UE-États-Unis ;
              - en 2007 : l’Accord Cadre pour la promotion de l’intégration transatlantique ainsi que son Conseil Économique Transatlantique.

              Le parlement européen a soutenu ardemment ce projet qui doit aboutir en 2015 selon les textes officiels. Parmi les différentes résolutions, celles du 8 mai 2008 est particulièrement importante car elle traite du Conseil Economique Transatlantique (CET). Cette institution est le centre névralgique du partenariat transatlantique dans la mesure où elle coordonne les sommets et les dialogues qui se tiennent entre l’UE et les États-Unis afin d’aboutir a un bloc euro-atlantique unifié dans tous les domaines d’ici 2015. Au point A de cette résolution, le parlement considère que "le Parlement européen et le Congrès des Etats-Unis ont tous deux sans cesse appelé à l’achèvement du marché transatlantique d’ici à 2015". Bref, il s’agit d’un texte clé. Pour plus d’informations sur cette résolution, je vous invite à lire ce billet de notre ami Liior : http://theorie-du-tout.blogspot.com/2010/08/billet-chroniques-transatlantiques-4.html

              Pour ceux que ça intéressent, nous avons entrepris, Liior et moi-même une analyse méthodique de ce projet d’ "union atlantique" pour utiliser l’expression de Coudenhove-Kalergi, fondateur du mouvement européen : http://theorie-du-tout.blogspot.com/search/label/Chroniques%20Transatlantiques

              Pour revenir à Marine le Pen, il faut savoir qu’elle a voté OUI à la résolution concernant le Conseil Économique Transatlantique, pierre angulaire du bloc euro-atlantique en formation : http://www.votewatch.eu/cx_vote_details.php?id_act=4169&euro_vot_valoare&euro_vot_rol_euro_grup&euro_vot_rol_euro_tara&vers=1&order_by=euro_parlamentar_nume&order=ASC&last_order_by=euro_parlamentar_nume&limit=0&offset=0&nextorder=ASC&euro_tara_id=7&euro_grup_id

              Par ailleurs, Bruno Gollnish, Carl Lang et Jean-Claude Martinez ont aussi voté OUI. Quant à Jean-Marie le Pen, il était absent, tout comme Fernand Le Rachinel et Lydia Schénardi. Bref, aucun député FN ne s’est opposé à ce texte éminemment important dans la construction de "l’Euramérique", pour reprendre le mot du vice-président de la commission trilatérale, Hervé de Carmoy.
              Pierre Desproges aurait dit : étonnant non ?


            • vote
              Maldoror Maldoror 1er décembre 2010 09:10

              Sur le vote sur le Conseil Économique Transatlantique, sur le lien, je ne vois pas où il est dit qu’il s’agit de ce vote ?


            • vote
              l'argentin l’argentin 1er décembre 2010 12:38

              il est vrai que je vois bien le vote de marine LePen favorable mais je ne trouve pasà quoi correspond exactement ce vote. La résolution a bien été étudié le 8 mai 2008 mais est-ce vote précisément ? j’ai envoyé la question sur le facebook de l’UPR, j’attends une réponse.


            • 2 votes
              Cascabel 30 novembre 2010 15:55

              Qu’elle fasse ses cochonneries en privé, c’est indécent de se coucher comme ça en public avec des vieillards milliardaires pour gagner sa croute.


              • 1 vote
                pied 30 novembre 2010 17:19

                si il fallait une preuve que royal est une traître au peuple et à la démocratie, la voilà !!

                et les deux pieds dedans !!!
                je la considère désormais comme une social-traître et une ennemie de la république.

                • 1 vote
                  Machiavel 30 novembre 2010 23:08

                  Ségolène c’est la branche " Royalistes" de gauche à la foire du Trône .........


                  • 2 votes
                    Lou8 Lou8 1er décembre 2010 03:39

                    Il me paraît indispensable de rappeler les choix qui furent ceux de Strauss-Kahn quand il était ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie de Jospin :

                    •la privatisation des banques publiques : le GAN, le CIC, la Marseillaise de Crédit, le Crédit Lyonnais, le Crédit Foncier de France, le Groupe Caisse d’Epargne. Après le passage de Strauss-Kahn, il n’y a plus de secteur financier public. les autres privatisations. Sous l’impulsion de Strauss-Kahn, le gouvernement Jospin a davantage privatisé que les gouvernements de droite présidés par Balladur et Juppé : Airbus, France Télécom, Thomson-CSF, Thomson Multimedia, Air France,

                    •la libéralisation du secteur de l’énergie : Strauss-Kahn, qui défend les négociations de l’OMC, soutient l’adhésion du gouvernement Jospin aux propositions européennes (Barcelone) qui vont permettre ensuite à la droite de privatiser EDF-GDF.

                    •c’est lui qui met en place le régime des stocks options avec plusieurs mesures favorables à cette manière de rémunérer les hauts-dirigeants d’entreprises

                    •c’est lui qui lance l’idée de fonds de pension « à la française »

                    •c’est lui qui pousse Jospin à renier les engagements pris par le PS devant les électeurs, en 1997 : défendre et renforcer les services publics, défendre Renault-Vilvoorde, poser quatre conditions pour le passage à l’euro.
                    C’est Strauss-Kahn qui, en 1999, a proposé Pascal Lamy pour que celui-ci devienne le Commissaire européen au commerce international (avant de devenir, ensuite, directeur général de l’OMC).

                    En 2003, Strauss-Kahn déclare à Tribune Juive qu’il se lève chaque matin «  en se demandant comment il pourra être utile à Israël. » En 1991, il avait déclaré : ’Je considère que tout Juif de la diaspora, et donc de France, doit, partout où il peut, apporter son aide à Israël. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est important que les Juifs prennent des responsabilités politiques. En somme, dans mes fonctions et dans ma vie de tous les jours, à travers l’ensemble de mes actions, j’essaie d’apporter ma modeste pierre à la construction d’Israël.’ (Passage)

                    En 2005, Strauss-Kahn fait campagne pour le « oui » au TCE.

                    Le directeur général du FMI est fidèle à l’ancien ministre de Jospin. Sous son impulsion, le FMI instrumentalise la dette publique des pays du Nord comme du Sud.

                    Sous la pression du monde des affaires et de la finance, les gouvernements ont décidé de ne plus permettre aux pouvoirs publics d’emprunter auprès d’organes publics de crédit, à des taux nettement avantageux. En Europe, c’est devenu la règle depuis le traité de Maastricht. Les Etats sont tenus d’emprunter auprès des banques privées. C’est la principale cause de leur endettement, vu les taux pratiqués.

                    La seconde cause d’endettement, c’est le renflouement des banquiers et des spéculaterurs suite à la crise de 2008.

                    Pour combattre la dette, on ne pose pas de questions sur les causes de celle-ci. On affirme que le seul remède, ce sont des réformes dites «  structurelles ». Le FMI de Strauss-Kahn poursuit ainsi 4 objectifs :

                    diminuer les salaires des fonctionnaires, remplacer les retraites par répartition par un recours aux assurances privées, réduire les investissements dans la santé, l’éducation, la culture vendre les services publics aux firmes transnationales flexibiliser le marché du travail en démantelant le droit du travail, en favorisant les délocalisations et en rendant les licenciements plus faciles augmenter les profits des firmes privées en multipliant les exonérations de cotisations sociales ou d’impôts et en gelant ou en réduisant les salaires.

                    Ce sont ces politiques que le FMI de Strauss-Kahn impose aux pays du Sud. Avec la complicité de la Commission européenne, il fait de même avec les Etats de l’Union européenne.

                    Nul ne s’étonnera dès lors qu’il ait très officiellement exprimé son soutien aux « réformes » entamées par Sarkozy.

                    «  On vit 100 ans, on ne va pas continuer à avoir la retraite à 60 ans , » déclarait Strauss-Kahn au journal Le Figaro, le 20 mai 2010.

                    Quelle différence entre Sarkozy et Strauss-Kahn ? Celle qu’on peut trouver entre un Sarkobrun et un Sarkorose. C’est toujours du Sarko.
                     
                     



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