L’Artémisia peut sauver des millions de vies

Cette plante peut sauver des millions de vies (et l'OMS n'en veut pas).

Auteure du livre "Artemisia : une plante pour éradiquer le paludisme", Lucile Cornet-Vernet raconte les combats de scientifiques et de citoyens venus des quatre coins du monde, pour faire admettre à l'OMS et à l'industrie pharmaceutique les vertus de l'artemisia annua, une plante qui peut terrasser la malaria. Au passage, elle évoque les impasses et les manquements d'une recherche scientifique soumise aux intérêts du monde de l'argent, et bien peu sensible à l'opensource et au "non-profit".

Tags : Livres - Littérature Economie Santé Santé menacée Prospective et futur Science et techno Nouvel Ordre Mondial Nature Industrie pharmaceutique

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4 réactions à cet article

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mat-hac 19 novembre 2018 12:12

Il y a surtout les oignons et la graine de sésame qui régénèrent les tissus, les tandons et les os.

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  edwig 19 novembre 2018 14:25
  
  " Tout ce qui ne génère pas de profit est inutile et tout ce qui diminue le profit est à détruire."
  
  Signé : Mammon,
  
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    sls0 20 novembre 2018 18:54
    
    Chez moi il y a le palu de temps en temps. C’est la chasse aux moustiques. On se protège.
    
    Sinon en pharmacie il y a l’artemisinine en cas de maladie. Il y a aussi de la quinine.
    
    S’il aurait résistance à l’artemisinine, il y aurait aussi résistance à l’artemisia, c’est le même principe actif.
    
    Si on se protège des moustiques avec de la rigueur, pas de problème. Avec le chick il y avait 18 personnes infectées dans un rayon de 15m autour de ma chambre.
    
    Qu’ils refassent une vidéo après une étude avec assez d’échantillons en double aveugle, là ils seront écoutables.
    
    Ca me fait penser aux touristes qui viennent avec leur reppelent "bio", si moi je ne suis pas piqué, je ne dirai pas la même chose des touristes tartinés au bio.
    
    Comme ici le risque est plus important, on regarde ce qui a fait ses preuves. La seule mode qui compte c’est l’efficacité et je fait plus attention aux médecins locaux qui connaissent qu’à des speudos qui ont dzs idées.
    
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      sls0 20 novembre 2018 22:19
      
      @pegase
      Le moustique tigre en lui même n’est pas trop chiant.
      On l’entend pas et il est rapide.
      
      La clim ça marche aussi mais je n’aime pas gaspiller de l’énergie 70kWh mensuel me suffisent ainsi que quelques concaissances en thermodynamique.
      Où je me suis le plus fait bouffer par des moustiques c’est dans le nord de la Norvège et de la Russie.
      Ici c’est une piqure tout les 15 jours sans protection.
      En période de danger, ça passe dans les rues, ça rentre chez les gens, ça ne lésigne pas. Pour avoir regardé le temps pour maitriser chez moi la dengue, beaucoup plus rapide que coté français. Bon ici s’ils doivent rentrer dans une propriété ils rentrent. Pour discuter avec la crosse d’un fusil à pompe, il y a mieux.
      Pas trop civique en général ici mais en cas de maladie contagieuse c’est fort.
      
      Pour les Vosges j’y ai campé comme bidasse, moins 15° effectivement pas de moustique.
      
      En écrivant cela je me rappelle mon réveil au bord d’un lac en Norvège, au moins 200 piqures. L’eau était froide mais elle seule calmait. Ensuite frotter avec trois herbes dont du plantain comme disait le grand-père. Oui les moustiques nordiques sacré souvenirs.
      
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