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Nutrition, nanotechnologies et immortalité

Pour rebondir sur la video de Laurent Alexandre sur TED, "le recul la mort.." : http://www.youtube.com/watch?featur... Le vrai visage de la science ‘mainstream’, ce Laurent Alexandre est sincère et convaincu par ce qu’il dit, c’est son gagne-pain. Comment voir ou sont les mensonges et impostures ? Car il s’agit bien d’une vision immonde et mortifère qui s’inscrit parfaitement dans l’impasse actuelle du monde moderne.

 

Quelques clefs :

 

- Espérance de vie et caricature des « écologiques » qui prédisent un scenario pessimiste. L’espérance de vie a bondi d’abord par l’amélioration de l’hygiène et le recul de la mortalité infantile. En pourcentage, il n’y a pas plus de centenaires maintenant qu’auparavant. La longévité n’augmente plus depuis 2/3 ans ! Causes : alimentation industrielle et emprisonnée, et pollution ; que n’ont pas connus pendant leur enfance nos parents à la retraite. S’intéresser aux vrais médecins et chercheurs, par exemple :

 

 

- Vive le cancer : oui c’est un marché lucratif pour lequel il faut développer des produits et nouvelles technologies. Dans cette vision du monde, surtout ne pas aller aux causes du cancer et réduire la taille du marché ! Pareil en écologie : une rivière propre est catastrophique pour le PIB du pays, une rivière bien polluée augmente le PIB grâce à une industrie florissante de dépollution (qui n’atteint jamais son objectif ultime)

 

- Il ne s’agit que de prouesses technologiques et non de progrès pour l’humanité. Il n’y a aucune compréhension du vivant mais une exploitation arrogante et intéressée de forces qui les dépassent. On peut voir aussi le capital-risque et wall street qui s’excitent et misent sur de futurs jack pots. - la méconnaissance et le mépris du vivant est terrifiant dans cette vision jusque-boutiste. Il faut s’intéresser et s’éduquer avec l’autre science, la vraie, celle qui s’intéresse et respecte le vivant. Par exemple, l’epigenetique, Bruce Lipton en est un des apôtres (livre Biologie des croyances).

 

Tags : Santé Santé menacée Alimentation




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2 réactions à cet article    


  • 8 votes
    edwig 6 février 2013 10:26

    Pas plus de centenaire qu’auparavant...C’est le auparavant le problème ? La préhistoire c’est aussi auparavant...Sinon, il ne faut pas oublier que les guerres à l’époque avaient l’art de bien faire baisser les statistiques de l’espérance de vie moyenne et qu’on compare toujours ces époques avec la nôtre pour appuyer l’idée que l’espérance de vie augmente. Supercherie en effet.
    A quand bien même dans quel état de santé était un centenaire auparavant et dans quel état de santé est-il aujourd’hui ?

    Prenez les médocs, personne ne semble s’apercevoir que pour la plupart, ils ne soignent effectivement rien, ils s’en prennent aux symptômes en non aux causes, au mieux ils déséquilibrent le corps au pire, c’est ce qui vous tue...Mais impossible de faire la corrélation, quand la molécule vous empoisonne définitivement au bout de 20 ans..

    Les médocs, c’est comme si vous aviez votre doigt coincé dans une porte et que pour résoudre le problème, j’anesthésiais votre doigt, le laissant bien entendu soigneusement dans la porte...
    ainsi, vous voilà abonné ad vitam à ma médecine.

    La médecine moderne, ne veut pas nous sauver ou améliorer notre vie, elle veut qu’on agonise le plus longtemps possible.


    • vote
      loph loph 28 février 2013 11:53

      Bonjour Edwig,

      Vos commentaires sont pour moi toujours aussi lumineux. Et j’en retire une satisfaction m’amenant à me sentir en phase avec la réalité. C’est peu dire que j’apprécie de voir que le réalisme n’a pas déserté toutes les têtes pensantes...

      Au sujet de cette médecine moderne qui voudrait qu’on agonise le plus longtemps possible, ça m’incite à penser que loin du salut qu’elles voudraient incarner (sciemment ou pas, je me le demande), il y a tout à gagner à s’en détacher, comme à se détacher d’un destin collectif montrant combien nos aspirations n’y trouvent pas leur compte.

      Au moins, je considèrerai ma vie accomplie en acceptant mon terme. Cela va bien sûr contre l’idéologie prégnante faisant passer la croissance comme une fin en soi, et c’est bien là que le bât blesse. Entre la grégarité, phénomène naturel, et le profit mercantile qui en est fait, phénomène artificiel, nous avons tendance à nous y perdre.

      Mais rien n’empêche de faire passer son opinion avant toutes les convenances dont nous affuble la société dite civilisée...

      Bien cordialement Edwig

      loph



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