La domination masculine
" Je veux que les spectateurs se disputent en sortant de la salle ", c’est ce que disait Patric Jean en tournant La Domination masculine.
Peut-on croire qu’au XXIème siècle, des hommes exigent le retour aux valeurs ancestrales du patriarcat : les femmes à la cuisine et les hommes au pouvoir ? Peut-on imaginer que des jeunes femmes instruites recherchent un " compagnon dominant " ? Que penser d’hommes qui subissent une opération d’allongement du pénis, " comme on achète une grosse voiture " ?
Si ces tendances peuvent de prime abord sembler marginales, le film nous démontre que nos attitudes collent rarement à nos discours.
L’illusion de l’égalité cache un abîme d’injustice quotidiennes que nous ne voulons plus voir. Et où vous jouez votre rôle.
A travers des séquences drôles, ahurissantes et parfois dramatiques, le film nous oblige à nous positionner sur un terrain où chacun pense détenir une vérité.
Date de sortie 25 novembre 2009 (1h 43min)
Réalisé par Patric Jean
Tags : Société
11 réactions à cet article
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Le délire féministe est de se croire persécutées par un monde masculin.
.Puis au final doivent appeler Pépère pour pousser le cadit trop lourd.
.Bref... Si cela n’avait pas de conséquence néfaste sur les relations homme/femme et la société tout ça... on écrirait pas de commentaire.
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« ...le film nous démontre que nos attitudes collent rarement à nos discours. »
Ah mais c’est tout à fait normal. Nos attitudes découlent de 300’000 ans de maturation psychologique, de gravage dans le subconscient, tandis que nos discours ne reposent que sur 50 piges de bourrage de crâne, qu’il faut recommencer à chaque génération, puisqu’il n’y a pas transmission héréditaire du bourrage de crâne.
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"..."gravage". Mon dieu..."
Ben oui, c’est correct et, en l’occurrence, je le préfère à gravure qui, pour moi, évoque un art tout de finesse et de délicatesse, qui ne correspond pas à l’idée de rusticité, de profondeur de l’empreinte que j’ai à l’esprit. Les sentiments qui nous viennent de l’aube de l’humanité ne brillent pas par leur légèreté. Enfin, c’est comme ça que moi, je le ressens. -
1 / Opération technique qui consiste à graver.2 / Plus particulièrement, action d’enregistrer, par modification de la surface d’un support d’information solide, des données informatisées.3 / Les gens devraient toujours ouvrir un dico avant de donner un cours de vocabulaire. En espérant que ce soit bien gravé, cordialement. -
"Les gens devraient toujours ouvrir un dico avant de donner un cours de vocabulaire..."
Ou alors, s’ils sont connectés à Internet, ils peuvent faire une recherche allant dans le même sens. Moi-même qui vous parle, je n’ai pas utilisé "gravage" sans avoir "assuré mes arrières"
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J’ai connu dans mon entourage :
Une mère qui battait son fils tellement violemment que sa soeur, paniquée, pensait qu’il allait en mourrir.
Un couple insupportable, elle grande feministe qui a passé sa vie a élever 3 enfants et s’occupper de la maison, grande cheffe incontestée, son mari soumis.
Elle controle tout ce qu’il fait et commente en permanence, l’engueule sans arret. Qu’il y ait des invités a la maison ne la dérange pas.
Quand il rentre du boulot il doit faire sa lessive, son repassage. elle ? elle ne travaille pas, bien sur..
Elle a voulu passer son permis de conduire, il a du lui payer. Au final elle ne conduit pas ca lui fait peur....
Elle a gardé des enfants pour l’etat, qui lui ontr été retirés, par la protection de la jeunesse !Une autre a viré son mari apres lui avoir fait 3 gosses, elle ne travaille pas, il paye assez pour qu’elle profite de la vie...
bref... la violence n’est pas que masculine.
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La directrice d’une maison d’accueil pour femmes battues avait frappé son compagnon.
Le tribunal correctionnel de Tournai a examiné, lundi, une scène de ménage au couteau qui s’est produite dans les locaux de la CGSP à Tournai, le 23 mai 2010. Un homme avait été frappé de plusieurs coups de couteau par la concierge du bâtiment syndical, qui était aussi directrice d’une maison d’accueil pour femmes battues, avec qui il entretenait une relation sentimentale depuis plusieurs mois. A la barre, la prévenue, qui a passé 15 jours à la prison de Mons et qui a perdu son poste de directrice dans la foulée, a dit avoir vécu des humiliations et des provocations de la part de la victime. Son avocat a plaidé l’excuse de la provocation et a demandé une peine de travail la plus faible possible. Par contre, il a plaidé l’acquittement au bénéfice du doute pour deux faits de violence qui se sont produits en 2009.
L’avocat de la victime a écarté la légitime défense en demandant une somme provisionnelle de 5.000 euros.
Le ministère public a requis huit mois de prison avec sursis contre cette dame poursuivie aussi pour coups et blessures ayant entraîné une incapacité de travail.Quant une femme, récidiviste et directrice de centre d’accueil pour femmes battues donne plusieurs coups de couteau a son compagnon, elle n’a que 15 jours de prison et une petite amande , on est vraiment dans un monde machiste et phallocrate...
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Merci pour le docu qui bouscule un peu les évidences. Les commentaires précédents sont aussi édifiants que les séquences du film...
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Faire un tel "documentaire" sur l’occident c’est une blague d’ailleurs sait il qu’officiellement ce sont les mères les parents les plus violents physiquement et psychologiquement (et quelles sont les réalités vue qu’on l’on sous estime totalement la violence féminine).
Pour finir faites des recherches sur Erin Pizzey première femme a avoir ouvert un centre d’hebergement pour femmes battus qui après quelques années a du ce rendre à l’évidence, que les hommes sont au minimum la moitié des victimes de violences conjugales, constat fait il y a près de 40, inutile de dire quelle c’est totalement désolidarisés du féminisme tout en continuant son aide aux femmes victimes de violences conjugales.
Le féminisme victimaire misandre ne mènera nul part hormis dans un mur.
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