Le Geek : un idiot du village ?
Outre la passion, l'imaginaire et l'informatique, le terme geek porte sur ses épaules une image relativement négative, et ce, depuis son origine. Retour en vidéo sur le "code source" du geek et de la culture geek.
Comment s’est construite une culture mêlant la passion de l’imaginaire et de l’informatique, 2 mondes a priori trés différents. Qui sont les geeks et pourquoi le terme reste-il si décrié et mal vu au yeux d’un large public ? Des éléments de réponses dans ce webdocu.
Source : CNET / Réal. : Sébastien Raynal
Tags : High-tech Internet Société Jeux vidéos Télévision Informatique Science et techno Bande dessinée
14 réactions à cet article
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Je savais pas qu’être fan de SF, de jeux vidéos ou de jeux de rôles m’avait rendu comme ça, tu m’en apprends une bonne.
Pour ne pas être une merde aux yeux d’un national-socialiste faut faire quoi à part être blanc, chrétien, et passionné d’autoritarisme ? -
"Pour ne pas être une merde aux yeux d’un national-socialiste faut faire quoi à part être blanc, chrétien, et passionné d’autoritarisme ?"
Faut également avoir le cerveau de la taille d’une noix, mais on est pas équipé pour ça, d’où l’éternelle difficultée de communication...
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On doit concéder qu’un bobo sommeille dans chaque passionné lorsque celui-ci porte son loisir comme un étendard, critique les divertissements triviaux que sont la télé ou le sport ou vote Révolution tout en lâchant des centaines d’euros pour compléter sa collection ou pour un goodies évidemment indispensable...
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"Geek" est un terme dévoyé. De l’amateur passionné, souvent prolo, bidouillant dans son garage ou dans sa cave une moto, des logiciels pirates ou du matériel électronique, il désigne aujourd’hui, au mieux un consommateur revendiquant une niche marginale du marché, au pire un abonné au dernier iPhone. -
Pour ce qui est des collectionneurs, je comprend la critique, et d’ailleurs je n’en fais pas partis. Mais on peut l’étendre à tout type de collection, pas seulement aux geeks. Pour le coté révolutionnaire à 2 balles,ça me fait penser aux rebelles avec leurs T-shirt du Che acheté 40 boules.
Mais les bibliothèques et le piratage, ça existe et perso ça me permet de consommer SF et jeux vidéos pour pas un rond, ça m’arrive d’en acheté, mais comme n’importe qui avec n’importe quel loisir.
Le terme est dévoyé pour exploiter le coté commercial du truc, pas seulement les collectionneurs compulsifs. Moi j’ai toujours en tête l’amateur passionné comme tu dis quand j’entends geek. -
(note : le piratage est une forme de consommation transgressive absolument pas extérieure au système.)
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@Juste, moi la majorité des geeks que je croise me ressemble, les mecs comme on voit dans le reportage, même s’ils existent bien, j’en connais pas honnêtement.
Pour les mecs de "jeuxvideos.com", t’es pas sérieux ? La moyenne d’âge ça doit être 14/15 ans !@Thaton, j’ai jamais prétendu être hors du système, à part vivre dans une grotte, y’a toujours un truc qui t’y rattache.
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"Moi j’ai toujours en tête l’amateur passionné comme tu dis quand j’entends geek."
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Des sortes de François Pignon en somme ?
."Si tu regardes sur le site "jeuxvideos.com" par exemple, la majorité d’entre eux ont plus de 30 ans et s’habillent encore avec des "t-shirt" "Pikachu"..."
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Heu... Il m’arrive de porter un pull Dieudo, de temps à autres....
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Si des mecs comme Matt Murdock sont des geeks, j’en connais un paquet et je m’inclus dans le tas ... Haaaa les livres-dont-on-est-le-héros ... Les parties endiablées de Warhammer 40000, l’héroïc fantasy, le commodore 64, l’Amiga... Tout ça... Ô Jeunesse lointaine, perdue, passée, gaspillée, disparue, mais non oubliée, qu’as tu fait de moooooaaaaaaaaaaa ?
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Ben finalement, un mec pas si gland que ça quand je regarde "ceux du dehors" par la fenêtre de mes écrans plats et au milieu des foules que je fends de temps en temps , histoire de prendre la température de l’IRL, vérifier si mes écrans ne déforment pas trop le réel et que l’irréel ne prenne pas trop le pas sur la raison, denrée dont mes stocks de réserve sont parfois bien entamés....
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L’imaginaire, une autre façon d’aborder la liberté.... -
Les auteurs de ce reportage semblent pâmés devant Bill Gates, Kid Dotcom, Mark Zuckerberg ou encore Steve Jobs mais ne disent pas un mot de Julian Assange, Bradley Mannings ou Edward Snowden, qui ont su faire usage de leur maîtrise technique en faisant d’Internet, un combat autrement plus héroïque et altruiste que des jeux contre des dragons virtuels.
Mais peut-être suis-je hors sujet ?-
Pourquoi les geeks devraient faire de la politique ?
Pour finir comme Cécile Dufiotte ?-
Les Geeks sont juste une niche commerciale parmi d’autres, une niche un peu plus marginale peut être comme le sont les gothiques mais rien de plus. Niveau politique c’est parfois indigent, "citoyen du monde", souvent apolitique, la plupart du temps inculte en dehors de son domaine de prédilection (Jérémie Zimmermann de "la quadrature du net" qui soutient les rebelles syrien est symptomatique même s’il est plutôt un Hacker qu’un geek). Les hackers (l’aristocratie des geeks) sont plus intéressants que la masse de consommateurs compulsionnels de comics, de jeux vidéos ect... Même si à mon avis récupérables la plupart du temps par le système (comme la nébuleuse anonymous pro-Israël par exemple).
.Un cran encore au dessus on a le nerd (souvent plus paranos, plus autiste), surdoués, mathématiciens, ils peuvent donner des personnages passionnants comme Ted Kaczynski ou des mondialistes assumés comme Mark Zuckerberg créateur de facebook.
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Merci pour le partage et cette mise au point ... car ce mot est souvent employé à tort et à travers, souvent par des gens n’en connaissant pas l’exact sens ... (comme le montre le document).
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Ahahahahhahaha !!!! Le pouvoir du S, tres tres tres fort monsieur !
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Je voulais dire G ;... bref j’me comprends !
Merci pour cet article en tous cas.... ;)-
Obligé de tomber dans cet univers geek, à cause du boulot, qui normalement est à l’aphélie de ce merdier. Pour assumer une commande d’un geek j’ai du me mettre à un jeu vidéo, la commande étant de type vestimentaire, une cuirasse plus tout l’accoutrement, j’ai du donc taquiner la poignée de Xbox. En fait pour faire comme mes ancêtres professionnels de la renaissance, j’ai du devenir un crétin du futur.
Ha le client n’a pas été déçus, pour ses jeux de rôles, il a un costard réel. mais j’aurais du lui compter des frais supplémentaires pour l’intoxication que ce jeu m’a imposé, vu que j’ai commencé par le 2ème de la série et que derrière je me suis fait toute la série en 5 volumes. (comme H²g², qui lui en reste une trilogie)
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