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Accueil du site > Actualités > Société > Michel Drac : note de lecture sur "Sapiens" et "Homo deus" de Yuval Noah (...)

Michel Drac : note de lecture sur "Sapiens" et "Homo deus" de Yuval Noah Harari

Michel Drac dissèque les deux livres ("best-sellers") de l'historien israélien Yuval Noah Harari : "Sapiens" et "Homo deus". 

Sur le site de l'auteur, une brève présentation des livres nous dit ceci : 

Sapiens, une brève histoire de l’humanité décrivait la façon dont les humains ont conquis le monde par leur capacité unique de croire à des mythes collectifs tels que les dieux, l’argent, l’égalité et la liberté. Homo Deus, une brève histoire du futur nous offre une vision de ce que le monde deviendra quand à ces mythes millénaires s’allieront des nouvelles technologies démiurgiques comme l’intelligence artificielle et la manipulation génétique.

Voyons maintenant ce que Michel Drac va lui nous en dire dans sa note de lecture (en un peu plus de 2 heures)...

 

Michel Drac - 11 octobre 2018

 

Chapitres :

Couverture : 00:15

L'auteur : 00:45

La démarche de l'auteur : 02:00

Avisse à la population ! : 04:00

Sapiens avant la Chute : 05:00

La Chute de Sapiens : 13:30

L'Histoire : 18:45

La modernité : 35:45

A l'aube d'Homo deus : 59:00

Les deux grands projets du XXI° siècle : 01:07:30

Le retour de l'évolutionnisme : 01:14:00

La singularité : 01:21:30

Dans la tête d'un mondialiste : 01:31:45

Angles morts et biais manifestes : 01:41:15

Le fond du problème, le problème de fond : 01:52:15

Annonce prochaine vidéo : 02:04:00

 

Ci-dessous, la version longue de la présentation du livre Homo Deus (sur le site de Yuval Noah Harari) : 

«  Sapiens expliquait comment l’humanité s’est rendue maître de la planète terre. Homo Deus examine notre avenir. Faisant appel aux sciences, à l’histoire et à la philosophie, et à toutes les disciplines intermédiaires, il livre une vision de demain qui semble d’abord incompréhensible, puis très vite indéniable : l’humanité va bientôt perdre non seulement le contrôle mais son sens même. Et n’attendons pas pour organiser la résistance – si nos scénarios de science-fiction préférés décrivent la lutte des humains contre les machines au nom de la liberté et de l’individualisme, ces mythes humanistes seront abandonnés avant longtemps, aussi dépassés que les cassettes audio ou les danses de la pluie. Ça peut paraître alarmant, mais le changement fait toujours peur.

Au siècle dernier, le genre humain a réussi l’impossible : maîtriser la famine, les épidémies et la guerre. Aujourd’hui, il y a plus de victimes de l’obésité que de la faim, plus de gens qui meurent de vieillesse que de maladies contagieuses, et plus de personnes qui se suicident que de victimes de guerre. De toute la longue histoire de la terre, nous sommes la seule espèce qui, à elle seule, a changé la planète entière, et nous n’attendons plus qu’un être supérieur forge notre destin à notre place.

Le succès engendre l’ambition, et l’humanité va maintenant se mettre en quête de l’immortalité, du bonheur sans limites et de pouvoirs de création divins. Mais c’est précisément cette quête qui va, en fin de compte, rendre la plupart des êtres humains superflus. Alors que faire ? Pour commencer, prendre des décisions en étant particulièrement attentifs aux chemins qu’elles ouvrent. Nous ne pouvons pas arrêter le cours de l’histoire, mais il est possible de l’influencer.

Typiquement, on part du principe que demain sera plus ou moins comme aujourd’hui – nous disposerons de nouvelles technologies extraordinaires, mais nous serons toujours guidés par les anciennes valeurs humanistes comme la liberté et l’égalité. Homo Deus réfute ces hypothèses et ouvre notre regard sur un vaste champ d’alternatives possibles, avec des thèses provocatrices à chaque page :

  • Après 4 milliards d’années de vie organique, l’ère de la vie inorganique a commencé.

  • Les produits principaux de l’économie du vingt-et-unième siècle ne seront plus les textiles, les véhicules et les armes, mais les corps, les cerveaux et les esprits.

  • Alors que la révolution industrielle a créé la classe ouvrière, la prochaine révolution créera la classe inutile.

  • Le traitement que les humains ont réservé aux animaux jusqu’ici est un bon indicateur de la façon dont des humains améliorés traiteront le reste d’entre nous.

  • L’Islam radical se défend bien mais les religions qui auront un réel impact naîtront dans la Silicon Valley, pas au Moyen Orient.

  • La démocratie et le marché libre s’effondreront lorsque Google et Facebook nous connaîtront mieux que nous nous connaissons nous-mêmes, et l’autorité passera des mains des individus à la toile d’araignée des algorithmes.

  • Nous renoncerons en connaissance de cause à notre intimité pour la recherche d’une meilleure santé.

  • Les humains ne combattront pas les machines : ils s’uniront à elles. Nous prenons le chemin du mariage, pas de la guerre.

  • La majorité d’entre nous ne décidera pas des conséquences de la technologie sur nos vies car la majorité d’entre nous ne la comprend pas (qui parmi nous a voté sur la façon dont fonctionnerait internet ?).

C’est le monde qui nous attend, et le fossé entre ceux qui en feront partie et ceux qui en seront exclus sera plus important que ce qui a séparé les empires industriels des tribus agraires, et plus important encore que le fossé entre l’Homo Sapiens et l’homme de Neandertal. Voici le prochain stade de l’évolution. Voici Homo Deus. »

 

 

Et aussi, les réponses de Yuval Noah Harari à la question Quel est l'avenir de l'homme ? 

Fnac - 3 octobre 2017

Un extrait de ses réponses : 

« On a du mal à envisager différents scenarii. On grandit dans une société précise et on se convainc que c'est la seule façon dont le monde peut fonctionner. En étudiant l'Histoire, on réalise qu'il y a différentes possibilités. Par exemple, nous vivons en ce moment en Occident dans une démocratie libérale. Et nous avons tendance à penser que c'est naturel et inévitable, et qu'à long terme le monde entier deviendra démocratique et libéral. L'étude de l'Histoire nous permet de libérer notre imagination de ces limites, et de réaliser qu'il n'y a absolument rien de certain concernant le futur de la démocratie libérale, et que dans 50 ans, elle pourrait complètement disparaître. Le monde pourrait être dominé par des régimes complètement nouveaux, comme des dictatures numériques, qui n'auraient rien à voir avec le régime de Staline en Union Soviétique, par exemple. Elles seraient quelque chose de complètement différent, comme la révolution industrielle a permis la création de nouveaux régimes autoritaires : l'URSS de Staline, ou l'Allemagne d'Hitler étaient très différentes de la France de Louis XIV, ce sont différentes sortes de régimes autoritaires. La révolution technologique en cours pourrait entraîner la création d'une nouvelle forme de régime autoritaire. C'est le genre de connaissance que l'Histoire nous permet d'avoir. Ce n'est pas une prédiction, c'est une expansion de l'horizon de nos possibilités. »

(Transcription intégrale sur le site Fnac)

 

 

Livres :

 

Sapiens, Une brève histoire de l'humanité

Yuval Noah Harari, Albin Michel

 

Homo Deus, Une brève histoire du futur

Yuval Noah Harari, Albin Michel

 

Tags : Livres - Littérature Economie Société Google Histoire Religions Informatique Démocratie Prospective et futur Culture Science et techno Démographie Mondialisation Génétique Facebook Oligarchie Intelligence artificielle Transhumanisme




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18 réactions à cet article    


  • vote
    Gokani Gokani 16 octobre 2018 16:24
     21 leçons pour le XXIe siècle
    C’est le titre du dernier livre d’Harari publié chez Albin Michel.
     
    La présentation du livre (moyennement convaincante...) :
     
    « Dans un monde noyé sous les informations inutiles, le pouvoir, c’est la clarté. La censure ne s’exerce pas en bloquant le flot d’informations mais en inondant les gens par une avalanche de désinformation et de divertissement. 21 leçons pour le XXIe siècle éclaire ces eaux troubles en se penchant sur les questions les plus urgentes de l’humanité.
     
    Pourquoi la démocratie libérale est-elle en crise ? Dieu est-il de retour ? Sommes-nous à l’aube d’une nouvelle guerre mondiale ? Que signifie la montée au pouvoir de Donald Trump ? Que faire devant l’épidémie de « fake news » ? Quelle civilisation domine le monde : l’Occident, la Chine ou l’Islam ? L’Europe devrait-elle laisser sa porte ouverte aux migrants ? Le nationalisme peut-il résoudre le problème des inégalités et du changement climatique ? Que faire face au terrorisme ? Que devons-nous enseigner à nos enfants ?
     
    Des millions d’entre nous ne peuvent s’offrir le luxe de chercher une réponse à ces questions car nous avons des choses plus urgentes à régler : travail, enfants, parents âgés. Malheureusement, l’Histoire ne fait pas de concessions. Si le futur de l’humanité se décide sans vous (car vous êtes trop occupés à nourrir et changer les couches de vos enfants), vous et vos enfants n’échapperez pas aux conséquences. C’est on ne peut plus injuste – mais qui a dit que l’Histoire était juste ?
     
    Un livre n’offre pas de nourriture ou de vêtements, mais peut clarifier les choses et ainsi œuvrer pour l’égalité des chances. Si ce livre encourage ne serait-ce que quelques personnes à débattre de l’avenir de notre espèce, il aura rempli son rôle. »

    • 1 vote
      Belenos Belenos 16 octobre 2018 18:17

      La lecture de la présentation de la vidéo m’a permis de comprendre en deux minutes le registre intellectuel du petit intello sans âme qui a pondu ce bouquin (oui je suis expéditif et prétentieux en disant ça : l’absence d’âme se perçoit rapidement et je ne souhaite pas perdre mon temps avec des coquilles mentales humaines vides). De sorte que je suis allé directement à la conclusion de l’exposé de Michel Drac, qui ne m’a pas déçue. Michel Drac a en effet compris de quoi il s’agit. 


      • vote
        Gokani Gokani 16 octobre 2018 21:20

        @Belenos
        Harari vient de se faire sonder l’âme par un dieu gaulois... et en tire le titre de son prochain livre :

        Belenos deus, une brêve histoire de mon âme perdue


      • 2 votes
        Belenos Belenos 17 octobre 2018 03:38

        @Gokani
        "Harari vient de se faire sonder l’âme par un dieu gaulois... et en tire le titre de son prochain livre."

        J’ai dit qu’il n’avait pas d’âme, donc il n’y a rien de tel à sonder, juste un cerveau sec qui tombera rapidement en poussière et sera balayé par le vent. De plus, c’est mon collègue Toutatis qui a en charge de peser les âmes au moment de la mort. J’ai déjà assez de boulot comme ça à éclairer des vivants qui ne voient rien en pleine lumière ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Teutat%C3%A8s


      • vote
        Gokani Gokani 17 octobre 2018 09:19

        Si même un judéo-bouddhiste homosexuel a le droit à son pesage d’âme par Toutatis, il doit aussi être sacrément occupé votre divin collègue... smiley


      • vote
        Belenos Belenos 17 octobre 2018 09:26

        @Gokani
        Non, justement, dans ce cas, il n’y aura rien à peser (si vous me suivez bien). 


      • vote
        Gokani Gokani 17 octobre 2018 09:44

        @Belenos
        C’est la même technique que notre Jupiter national : "ceux qui ne sont rien" ça permet de mettre beaucoup de monde à la benne directement, pour ne s’occuper que des premiers de cordée. Sont vicieux ces dieux...


      • vote
        Belenos Belenos 17 octobre 2018 22:07

        @Gokani
        "ça permet de mettre beaucoup de monde à la benne directement"

        Faut dire qu’il y a beaucoup d’humains sur Terre en ce moment, donc faut un peu trier à la pelleteuse. 


      • vote
        Belenos Belenos 16 octobre 2018 18:22

        "Typiquement, on part du principe que demain sera plus ou moins comme aujourd’hui."


        Et c’est exactement ce que fait l’auteur du livre, qui puise d’ailleurs la plupart de ses prédictions dans le cinéma ou la littérature de science-fiction qui l’ont impressionné dans sa jeunesse.   smiley

        • vote
          maQiavel maQiavel 16 octobre 2018 20:20

          J’ai bien aimé cette note de lecture (malgré le format car je préférai l’ancien).

          J’ai été étonné de me retrouver en phase avec la vision de l’histoire de Harari ( tel que Drac l’explique du moins ) sur plusieurs points sans toutefois tirer les mêmes conclusions.


          • vote
            Le Celte 16 octobre 2018 22:54

            Je suis assez d’accord avec les propos de l’auteur, surtout avec son analyse historique Je ne suis pour autant pas un défenseur de ce qui semble être sa profonde idéologie car, contrairement à ce qu’il pense, je suis attentif au fait que les empires ne sont pas immortels mais se succèdent, qu’ils freinent ainsi une évolution qui se devrait être linéaire, que l’argent est un moyen d’échanges favorisant les relations et non une marchandise cumulative, et qu’enfin les dogmes religieux ne devraient pas être les fabricants d’une pensée monolithe, mais une introspection en vue d’un épanouissement personnel, qui en certaines occasions peut éventuellement être partagé sans s’imposer.

            Drac ne parle t-il pas plus vite que d’habitude ou c’est moi qui suis fatigué ?

            • 2 votes
              PumTchak PumTchak 17 octobre 2018 10:48

              @Le Celte@Hieronymus

              En bas à droite de la vidéo, cliquer sur le dessin de la roue dentée, puis cliquer "vitesse" et sélectionner celle souhaitée.


            • 1 vote
              Belenos Belenos 17 octobre 2018 23:31

              @Zatara
              Je trouve au contraire que c’est une bonne idée d’avoir accéléré le propos car je viens de parcourir la vidéo et le contenu du bouquin critiqué étant très léger (une série de banalités à la mode), il n’est guère utile de rester longtemps dessus. L’auteur du livre est vraiment très jeune intellectuellement, on ne peut que lui souhaiter de gagner en maturité pour atteindre un plus profond niveau d’intuition. Pour le moment, c’est un peu une dissertation de lycéen qui fait une tambouille avec des concepts dans l’air du temps sur l’état du monde. En revanche, c’est assez bien vu comme opération commerciale, car c’est typiquement le genre de livre qui se situe au niveau intellectuel des demis-cons (par exemple les chefs d’Etats et leurs ministres ou les journalistes) et qui peut leur donner l’illusion qu’ils ont tout compris de l’esprit du temps. Bref, ce livre est un "pantalon à une jambe", comme dirait l’autre. Si ce n’est pas fait pour être lu, mais surtout pour être vendu, alors l’auteur n’est pas si bête qu’on pourrait le croire, du moins comme homme d’affaire.   


            • vote
              Belenos Belenos 18 octobre 2018 03:47

              @Zatara
              "Je pense qu’on l’a mis en avant dans tous les merdias non pas parce que ce serait un pseudo génie, mais parce que sa médiocrité englobante colle parfaitement à l’esprit de ce que l’on veut voir advenir...." 

              Exact. On nous a déjà fait le coup à une échelle plus française dans les années 1980 avec les "génies" de l’économie Alain Minc et Jacques Attali, qui avaient tout compris et qui apportaient prétendument une pensée novatrice et un tantinet provocatrice. Bon, cette fois, le gars fait aussi de la méditation (et surtout il en parle et ça participe visiblement du plan com), c’est important pour coller à l’époque d’avoir son petit côté yoga. Je ne sais pas s’il est homo ou au moins bisexuel, mais ça serait logique avec sa fonction. 


            • vote
              Belenos Belenos 19 octobre 2018 01:38

              @Zatara
              Bon, il est homos, OK, le profil parfait... "T’as le rôle Coco !" 


            • 1 vote
              l'argentin l’argentin 17 octobre 2018 03:11

              La lecture du passage du livre d’ harari ou il parle de l ’écologie et de la fonte de la calotte glacière est magnifique car on comprends là très bien ce soudain élan de toutes les oligarchies politiques et médiatiques pour sauver la planète. Ca rentre en résonnance avec ce que l’on peut constater chez le citoyen lambda qui vouz un culte de plus en plus grand à la nature et à sa préservation. Dans la tête des mondialistes c’est clairement leur arme de domination massive et de destruction des états ; on doit d’unir pour sauver notre maison planète car sinon on va tous mourir. Et il le dit clairement ; toutes les têtes pensantes du monde doivent choisir entre leurs peuples ou la préservation de la planète. Donc il dit clairement que nosu ne valons rien comparé à la planète alors qu’en plus c’est ces gens là qui la détruisent ; chapeau l’ artiste et c est bizarre ca me rappel un autre concept qui s’ appel UE smiley


              • vote
                Le Celte 17 octobre 2018 05:54

                @l’argentin

                "Ca rentre en résonnance avec ce que l’on peut constater chez le citoyen lambda qui vouz un culte de plus en plus grand à la nature et à sa préservation. Dans la tête des mondialistes c’est clairement leur arme de domination massive et de destruction des états ; on doit d’unir pour sauver notre maison planète car sinon on va tous mourir."


                Je me permets d’intervenir car je me sens un peu concerné par vos propos.

                Les 1% les plus riches ne polluent pas directement, mais font polluer la masse des consommateurs, avides de confort et de nouvelles technologies, drogués par la consommation des produits que les multinationales produisent, c’est le jeu mortifère de l’offre et de la demande. Cela n’arrangerait pas vraiment les affaires des plus riches si la masse consommait subitement moins ou autrement, même si les commerçants ont un fort pouvoir d’adaptation. En ce qui me concerne, je préfère réduire ma consommation ou payer pour l’écologie plutôt que pour des banques en faillites.

                Les Etats responsables mettent des normes en place pour éviter les débordements de toutes espèces, dont a minima écologiques, mais vous savez pertinemment que ce sont les pays les moins contrôlés qui polluent le plus, la Chine et les USA...

                Le mondialisme à bon dos ! à votre avis, combien de pays faut-il "visiter" pour fabriquer le téléphone portable que vous avez dans la poche, vous a-t-on obligé à l’acheter ? On est sans doute d’accord pour dire que les industriels font tout pour freiner les modifications susceptibles d’être écolo, mais les responsables sont bien les consommateurs, ils sont tous pour l’abaissement du prix de l’essence alors quand l’augmentant significativement on favoriserait la proximité des échanges, donc des économies moins polluantes, moins stressantes, plus de boulot....etc... .

                Je suis un militant écologiste indépendant, en tant que tel, je ne me bats pas pour sauver la vie de tous les gros cons pollueurs, je me bats par respect pour mon environnement en évitant le piège des artifices de ceux qui les allument.

                Avec tout le respect que je vous dois ! smiley


              • vote
                Le Celte 17 octobre 2018 11:15

                @pegase
                Je ne connaissais pas leur théorie, ce que je sais par contre c’est que le tout pétrole d’après-guerre ne sera plus qu’un souvenir après la prochaine. L’infrastructure de nos sociétés est telle qu’il est impossible d’en rétablir les aspects humains et écologiques à un niveau convenable, à moins de tout modifier en quelques années.



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