Une chercheuse populaire

"Dans l’absence de douleur réside sûrement le vrai bonheur"

Bordel et c’est subventionné ces greluches pour nous sortir des révélations pareilles ? Mais sans la douleur ma chérie, quand tu auras une lame dans le bide qui tourne pendant qu’un trou du cul te hurle au tympan ou t’as planqué les thunes, tu vas faire quoi ? Dire que tu jouis ?

Ou bien hurler sous la décharge d’adrénaline qui te vrille les tempes d’un signal d’alarme plus assourdissant que mille sirènes réunies, réagir d’instinct, prendre ton gode sur la table de nuit et crever l’oeil de ton agresseur avec dans un maigre espoir de survie suite à cette agression lâche et nocturne ? Pasdque t’es gaullée façon Nabilla tu te crois dispensée de réfléchir ? T’as une belle tignasse mais ça suffit pas à décrocher les bourses payées avec nos deniers pour que nos chercheurs trouvent et arrêtent de chercher, car quand on voit les spécimens de nos élites scientifiques, on ne s’étonne plus que la recherche ne trouve jamais quoi que ce soit de bénéfique à tel point que pour avoir des chances d’échapper à Big Pharma on soit obligés, après avoir déchantés sur les mirifiues progrès des sciences en matière de santé, de se tourner vers des remèdes non plkus de grand-mère mais leur pendant momifié de la haute antiquité pour avoir des chances infimes d’échapper au cocktail chimiothérapeuthique juste en s’envoyant dans l’organisme des hautes doses de vitamines C ou de THC... Faut pas s’étonner, entre la moche frustrée du haut et la top model des éprouvettes du bas, ben y a du souci à se faire, moi j’vous l’dis....