Un docu sur Michel Clouscard
Exclusivement pour agoravox.tv
A travers la pensée de Michel Clouscard « Tout est permis mais rien n’est possible » propose une mise en lumière de la logique capitaliste et permet d’en comprendre les conséquences culturelles, économiques et sociales.
Tags : Amérique du Nord Société Consommation
23 réactions à cet article
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un peu sectaires les clouscardiens..
Pagani fait carrément flipper
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Pourquoi, parce qu’il est vieux et pas conforme à une séduction télévisuelle ?
Et qui n’est pas un peu sectaire... -
Il donne l’impression de pouvoir faire un infarctus à tout moment, voilà pourquoi.
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Si tout se passe bien tu vieillira aussi !
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Super , j’ ai cherché ce documentaire partout , merci pour le partage , je visionnerai dans la journée !
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Putain, ce type était d’une lucidité incroyable avec 40 ans d’avance !
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Merci pour cet excellent documentaire !-
Il donne surtout l’impression d’être plein de vie, en plus d’avoir un esprit vif. J’aimerais être au bord de l’infarctus dans ces conditions moi aussi...
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ravaler deleuze et foucaut au rang de salauds collabos partouzards, c’est bien, c’est rapide, c’est tout ce qu’on aime ici apparemment.
sinon, documentaire fort passionnant, merci !
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Tout est permis rien n’est possible, belle phrase de Bernard Lavillier.
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Merci pour le partage
Le jour où on remplacera Sartre par Clouscard dans les Lycées, quelque chose aura changé...
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Capitalisme par ci, capitalisme par là, gauche, bourgeoisie, Marx, et on continue dans la culture ancienne qui n’a apporté... rien de mieux à l’humanité.
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Il est vraiment, mais vraiment temps de laisser la place à la suite car ce rabâchage de conneries est insupportable.-
Un grand moment videographique ! merci Ago TV.
Ou sont passées les emissions de TV où l’on invitait des gens avec quelque chose entre les oreilles, comme les extraits qui ponctuent ce docu ?-
<<<<<<comme les extraits qui ponctuent ce docu<<<<<<<
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quels extraits sont intéressants ? -
Merci, superbe. Il y a un temps pour polémiquer et un autre pour nourrir son cerveau, étant ici dans le deuxième, il n’y a rien d’autre à ajouter qu’un sincère remerciement.
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C’est toujours intéressant d’observer comment fonctionnent les intellectuels de la partie adverse...
Clouscard ne connaissait rien à l’homme, puisque, en admettant qu’il ait compris - je ne connais pas assez de ses oeuvres - que l’homme se satisfait du "possibilisme total" et que c’est la dissipation du "possibilisme total" qui le désespérerait, il était persuadé qu’avec des théories, c’est-à-dire du bourrage de crâne, il était possible de le changer.Mais le temps du bourrage de crâne est révolu. Parmi les réalités que Clouscard ne pouvait pas imaginer, il y a le fait que dès le moment qu’il faut marner huit par jours, ou sept, le communisme, c’est le capitalisme sans la séduction.Et naturellement, il ne pouvait pas mordre non plus, que les histoires d’émancipation de la classe ouvrière et de libération du prolétaire, vues du HLM dont on sait qu’on ne le quittera jamais, sauf à gagner à l’Euromillions, c’est de la pignole d’intellectuel.P.S. - Je n’exclus pas que nos révolutionnaires de choc, les Mélenchon, Poutou, Arthaud et autres Besancenot, n’aient prévu de transformer la Française des Jeux en élément essentiel de leur pratique du pouvoir.-
Oooooooops
lire : "...huit heures par jour, ou sept, le communisme, c’est le capitalisme sans la séduction." -
Vive l’adversité !
Sans quoi nous serions tous mort. -
Merci pour ce lien intéressant.
Je retiens une phrase pertinente (en substance) : "De manière inédite, le capitalisme crée à la fois le produit et le client".-
Il serait intéressant de savoir si, pour écrire Le capitalisme de la séduction, Clouscard avait lu La culture du narcissisme en anglais, écrit par Christopher Lasch et paru deux ans auparavant.
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Le Rousseau de notre époque lui va assez bien comme définition.
L’un était aux Lumières ce que l’autre était à Mai 68, en quelque sorte. -
Clouscard : un conseil de lecture de Soral dans son dernier entretien
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Je l’ ai enfin visionné , très intéressant mais difficile pour ceux qui n’ ont pas de notion de matérialisme dialectique.
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