Jean-Yves Le Gallou
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Il est un ancien élève de l’ENA (promotion Simone Weil).
Premier secrétaire général du Club de l’Horloge, il s’engage d’abord à l’Union pour la démocratie française (UDF). Il appartient au cabinet d’Alain Griotteray et au comité directeur du Parti républicain, principale composante de l’UDF. Dès 1969, il adhère au Groupement de recherche et d’études sur la civilisation européenne (GRECE), puis, avec son ami Yvan Blot, il crée une section à l’Institut d’études politiques de Paris.
Il développe dès lors ses vives critiques contre le « rouleau
compresseur de l’immigration […], machine à broyer les peuples et les
groupes ethniques » (cité dans Libération, 15 janvier 1999).
En novembre 1983, il devient adjoint à la culture de Patrick Devedjian, nouveau maire d’Antony. Il est alors l’un des principaux animateurs, avec Jean-Paul Hugot, François-Georges Dreyfus et Bernard Mérigot,
de l’Association des élus pour la liberté de la culture, formée par des
élus de droite, qui s’opposent à la politique menée par Jack Lang, ministre socialiste de la Culture1.
À l’automne 1985, il adhère avec Bruno Mégret
au FN, dont il devient l’un des principaux contributeurs intellectuels.
Patrick Devedjian lui retire alors ses délégations à la mairie d’Antony.
Son engagement au Front National tient à une perspective plus ou moins
avouée de favoriser l’établissement de passerelles entre la vraie Droite
et les partis de la Droite parlementaire. Par exemple, la Charte des
valeurs adoptée au congrès de Marignane en janvier 1999 ou encore les 50
propositions pour rétablir la sécurité présentées le 18 février 1999
par Jean-Yves Le Gallou ne rompent en rien avec les thèmes essentiels de
ses anciens engagements. Il est l’un des théoriciens du concept de « préférence nationale », argument majeur du Front National (FN). En 1986 il est candidat à la députation à la proportionnelle dans les Hauts de Seine en deuxième position derrière Jean-Pierre Stirbois
et n’est pas élu. Il est secrétaire général administratif du groupe
parlementaire FN de 1986 à 1988. Il est aussi le président du groupe FN
au conseil régional d’Île-de-France
de 1986 à 1999 et député européen de 1994 à 1999. Il est secrétaire
national du FN chargé des élus. Autrement dit, il mettra en place une
association d’élus qui est destinée à coordonner le travail des
conseillers municipaux du FN.
Il est poursuivi suite à un article publié par le quotidien Présent. M. Le Gallou avait affirmé que les jeunes beurs bénéficient de l’impunité lorsqu’ils voyagent
gratuitement dans les transports en commun, lorsqu’ils font des bras
d’honneur aux policiers, […] lorsqu’ils attaquent les mairies, les
commissariats […], impunité parce que les lois antiracistes et
l’application qui en est faite leur donnent des privilèges.[réf. nécessaire].
En première instance, Jean-Yves Le Gallou est condamné pour ces
déclarations mais cette condamnation est infirmée le 30 janvier 1991 par
la 11e Chambre de la Cour d’appel de Paris qui déboute le MRAP
(Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples).
Poursuivi dans d’autres affaires au titre de la loi Pleven/Gayssot,
Jean-Yves Le Gallou a toujours obtenu gain de cause en appel
(Versailles, 7 octobre 1991) ou devant la Cour de cassation (18 janvier
1994).
Proche de Bruno Mégret, il participe à la scission du Front National qui donnera naissance au Mouvement national républicain
(MNR). En janvier 1999, Jean-Yves Le Gallou obtient le poste de délégué
général du nouveau FN-MN mégrétiste, qui deviendra le MN puis le MNR.
Partisan de nouveau de la préférence nationale, il entend opposer un
projet d’immigration zéro face à l’invasion, pour éviter de faire face à
une véritable guerre raciale (…) qui menace les tréfonds de notre
civilisation 2.
Il est délégué général du MNR. Il renonce quelques années plus tard à
ses responsabilités au sein de ce parti tout en en demeurant membre. Il
est président du groupe MNR au conseil régional jusqu’en 2004.
En 2003, Jean-Yves Le Gallou a créé la Fondation Polémia, un ercle de
réflexion dont l’activité se déroule essentiellement sur internet, et
qui organise chaque année, à Paris, la cérémonie des Bobards d’Or,
destinée à mettre en évidence les manipulations les plus grossières de
la presse française, tous médias confondus3.
Depuis novembre 2007, il est le coordonnateur du bulletin de réinformation quotidien de Radio Courtoisie.
Il est partisan d’une liberté d’expression totale et de l’abrogation
de toutes les lois destinées à étouffer l’expression du peuple français,
sauf toutefois celles concernant les outrages aux symboles nationaux en France, comme l’indique sa signature de la pétition lancée par le site Enquête & Débat4.
Il est également collaborateur au site Boulevard Voltaire de Robert Ménard.
Idées et prises de position
La pensée de Jean-Yves Le Gallou est d’ordre ethno-différencialiste (axé sur la défense de la race blanche, au nom du précepte « une terre, un sang, un peuple »)5.
Jean-Yves Le Gallou est le fondateur de la Fondation Polémia. À sa
création, ce club déclare vouloir « affirmer sans complexe la
supériorité de la civilisation européenne » et donner aux « Euro-Français » des « armes de reconquête intellectuelle, politique et morale »5.
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un vrai de vrai, il balance des vérités pour mieux faire passer ses mensonges et son racisme compulsif........
à vomir...