"La caste cannibale : quand le capitalisme devient fou" - par Sophie Coignard et Romain Gubert - Janvier 2014
Cette vidéo est un entretien donné par Sophie Coignard et Romain Gubert à la chaîne francophone mondiale TV5 monde à l'occasion de la parution de leur dernier ouvrage.
4ème de couverture :
Comment l’école de Chicago, qui a réinventé le libéralisme a-t-elle transformé la gauche, de Mitterrand à Hollande ?
Par quel mécanisme pervers nos impôts financent-ils ce qu’il y a de plus toxique dans les salles de marché ?
Le grand patron de Renault, Carlos Ghosn, sait-il vraiment ce qui se passe dans son entreprise ?
Pourquoi le Forum de Davos censure-t-il un grand banquier ?
Dans quelles conditions trois hauts fonctionnaires français, tous de gauche, ont-ils accéléré la mondialisation financière ?
Que fait Nicolas Sarkozy avec le Washington Speakers Bureau ?
Que cachent parfois les décisions stratégiques de certains grands patrons ?
Dans cette enquête qui mêle reportage et analyse, Sophie Coignard et Romain Gubert, grands reporters au Point et auteurs de L’Oligarchie des Incapables, nous racontent comment, de Londres à Washington en passant par Francfort, Bercy ou Chicago, l’alliance contre nature entre un État immoral et un capitalisme cupide a produit un système cannibale qui peut à tout moment se retourner contre chacun d’entre nous.
Données techniques :
Titre : "La caste cannibale"
Sous-titre : "Quand le capitalisme devient fou"
Auteurs : Sophie Coignard et Romain Gubert
Format : broché, 336 pages
Éditeur : Éditions Albin Michel
Parution : Janvier 2014
Dimensions : 14.5 x 22.5 cm.
ISBN : 9782253177456
Prix : 19 €.
Nota Bene :
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Tags : Economie Banques Oligarchie Finance
13 réactions à cet article
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Pour moi il est clair que la folie étaient là des le début et donc aujourd’hui prévisible depuis 5 à 10 000 ans...et la fin egalement ......pour le moment le gars qui poursuit le pouvoir et l’argent , ce qui représente l’ensemble du monde occidental et ceux qui tombent dans ce piège soit 80 % de la planète n’a strictement aucune idée de ses propres motifs..pourquoi je presse la gâchette pour tuer ???????????????????????????????????????
certes plein d’explications peuvent être données, mais trouver LA racine de cela n’est pas à la portée de la pensée rationnelle qui dit moi je sans savoir que cela émane d’une machine automatique,mécanique ,et aléatoire d’analyse, qui est une partie du cerveau vitale certes, mais qui empêche le cerveau entier de fonctionner proprement d’où la souffrance ,la fuite impossible de celle ci car on ne sait pas ce qui se passe , et enfin la démence humaine...dont nous sommes intégralement responsable, la pseudo animalité n’a strictement rien à voir la dedans.........sujet énorme pour chacun....
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La racine du mal, c’est : La peur.
L’argent et le pouvoir sont ce qui donne le plus grand sentiment de sécurité.
Le plaisir est en réalité une zone pour le cerveau, ou les peurs cessent, un bref instant.
Jouïr, c’est un instant ou la peur n’est pas.
Le cerveau court après le plaisir, parce qu’ il fuit ses peurs.
Il faut une certain maturité mental pour passer au delà de ces peurs et ne pas vivre que pour l’argent et le pouvoir.Toute la société humaine est érigée sur la peur.
La plupart des individus ne sont que des êtres de peur.
C’est ça qui mène à la folie, un cerveau gauche trop développé, un déséquilibre, le "mental" à pris le pouvoir sur "l’être", la partie droite.
C’est en cela que la spiritualité est l’ennemi direct de la société marchande...il s’agit du cerveau gauche qui lutte contre le cerveau droit.Il s’agit de l’occident (partie gauche du cerveau matérialiste) contre l’orient (plus spirituel)...tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut..
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Merci de tes mot edwig....la peur pour moi est un mouvement de fuite mentale, il y a ce "moi" et ce "moi" essaye de fuir mentalement quelque chose qu’il a vu .et rejeté..c’est le cerveau analytique qui a fait un choix binaire oui/non, étendu à tous les aspects de la vie il produit ce que l’on connait..il nous manque une partie endormie du cerveau, et cette partie ne fait plus de choix binaire, "moi je" a disparu pour laisser place à autre chose que je ne peux définir et qui ne compare pas, , ne divise pas, n’a pas de peur, de souffrance , ne projette pas l’avenir etc etc c’est sans fin en fait, état de bénédiction étrange au delà de la pseudo vie que l’on connait, cette partie du cerveau qui marche est aussi un émetteur récepteur je l’ai vécu dans une expérience dite de kundalini, mot que je n’aime pas mais pratique pour faire court .., là je ne me place pas d’un point de vue scientifique du tout,mais d’un point de vue d’éveil de ce cerveau dont je, comme d’autres, connais certains effets et qui est très réel...en fait le cerveau humain bug...et notre "animalité " n’a rien a voir avec la démence du tout
pour moi la peur n’est pas une racine elle est un effet...je vois qu’il y a perception puis rejet de cette perception, qui est ce que l’on appelle peur, mot qui dit trop peu....long sujet , peu compatible avec ce genre de media..sauf en trop bref..salutations et merci..
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Le capitalisme est prédateur de l’Humanité, sa seule vocation est de disparaitre comme tout prédateur...Les nazis étaient des rigolos de puceaux à coté des spéculateurs du libéralisme financier...Assassins en 2012 de 9 millions d’humains morts de faim, dont 5 millions d’enfants décédés dans des souffrance obscènes. Toutes ces m...d’humains du profit spéculatif, ne méritent que la corde. Enfin, c’est juste mon avis.
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Il n’y a aucune volonté ni envie de collectivement regarder sur le long terme, chaque génération veut tout, tout de suite, sans penser aux conséquences de leurs actes sur la suivante et ainsi de suite, on est dans une éducation du winner, du fonceur, ce qui ne serait pas si ma en soit si ça ne priviligierait pas l’individualisme et l’égoïsme outrancier mais axé sur une conscience collective d’oeuvrer ensemble pour faire prospérer l’humanité dans sa majorité, on est toujours dans la logique des minorités dominant la masse et du non partage des richesses, d’où le fossé croissant entre les classes sociales jusqu’à la fracture et l’explosion. Ce système ne pourra pas vivre très longtemps, on en voit les limites. Quand on pense aux déchets nucléaires, par exemple dont on ne sait déjà plus quoi en faire et dont la durée de vie toxique s’étend sur des centaines de milliers d’années, rien que ça c’est déjà un problème majeur pour ce système de malades basé sur le pillage des ressources et du non respect de la maison mère, la terre qui n’est pas une poubelle destinée à supporter nos saloperies ad vitam eternam
Faut rependre les spéculateurs puis interdire l’usure, la spéculation, et repenser tout le système de valeurs humain sinon y aura plus d’humanité à très court terme-
Et pourtant, malgré toutes les apparences, j’ai envie de les remercier. Par le contraste avec cette caste déshumanisée, je peux enfin entrevoir la vérité sur moi-même. Tout épreuve peut-être salvatrice. Ou pas. A chacun de voir ;)
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excellent interview , ces deux journalistes n’ont rien a voir avec ceux qu’on voit sur les chaines publics de tf1 à itele en passant par bfm.
hollonde montre son vrai visage de liberal.-
Les 3 premieres minutes gaspillées par une affaire de moeur, heureusement que les 2 invités arrivent à recadrer l’entretien sur leur livre.
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Oui Rakas, ça m’a aussi irrité : le présentateur a fusillé la présentation du livre alors même que les questions auraient du porter sur le capitalisme fou et ses cannibales, et pas sur Hollande de qui tout le monde se fout. Hélas ce présentateur est un peu idiot, et ça n’est pas la première fois qu’il fait ce genre d’impair.
J’espère pouvoir trouver une vidéo sur le ivre bien plus pertinente. -
J’EN AI TROUVÉ UNE !!! :)
Bien plus intéressant ! -
Effectivement, cette vidéo est mieux, merci pour le lien.
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dis moi blueman, tu l’as celle la ?
https://www.youtube.com/watch?v=m5GNqVkc0To
il ne faut pas tarder pour la copié ! -
Quand ce genre de livre paraît, les cannibales doivent bien rire autour de la piscine, entourés d’une armée de salopes, de cocktails et de petits fours. Les cannibales ont l’argent, les avocats, et la protection. Ils sont à l’abri de tout, en parfaite sécurité. Cannibales ils sont, cannibales ils resteront, car le système le leur permet, le monde le leur permet. On nous raconte toutes les horreurs qu’ils provoquent, on s’indigne, oh là là, mais c’est pas normal tout ça, et puis on s’en va faire ses courses. C’est comme si on voyait un pauvre type se faire battre par la fenêtre, et qu’on se disait oh là là, ce qu’il prend ! avant de refermer les volets sans rien faire d’autre. Les cannibales savent qu’on sait tout ça, et constatent que malgré tout personne ne bouge. Ils n’ont pas fini de mettre en pièce l’humanité et de causer la ruine. C’est le système libéral qui le permet, c’est comme ça. Et je me sens impuissant face à ça.
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