Bilan de Genève 2 : entretien avec Randa Kassis
Suite aux négociations de paix pour la Syrie, dites de « Genève 2 », nous avons souhaité nous entretenir avec Randa Kassis, présidente du Mouvement de la Société Pluraliste. Écrivaine, journaliste, politicienne, Randa Kassis a fait partie du CNS jusqu’en 2012. Elle a participé aux négociations de Genève 1 et 2. Elle revient avec le Cercle des Volontaires sur les positions des différents protagonistes du conflit qui déchire actuellement la Syrie.
Propos recueillis à Paris le 25 février 2014, par Raphaël Berland et Vincent Bonenfant
Source : Cercle des Volontaires
Tags : Syrie
10 réactions à cet article
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Belle intelligence de l’esprit et du coeur. Comme tout semble plus clair dès que certaines personnes en parlent.
Merci au Cercle.-
"Islamiste ne veut pas dire musulman"... C’est très clair : il y a des islamistes chrétiens convaincus, voire des bouddhistes fervents !
"C’est un régime semi-Laic" ... Bel exemple de "semi-intelligence" !Ces éléments sont malgré tout intéressants, il y a des informations, mais la pensée reste confuse.La conclusion est porteuse de ce qui est en passe de devenir une tendance presque crédible, mais très étrange -quasi quantique-, mais tenace, voir "aimable" : la Russie est en passe de devenir un élément géopolitique de l’espoir des peuples. Que la Chine se joigne au mouvement et l’absurdité de 99% des analyses journalistico-politiques sera consommée.Inch Allah -
Randa Kassis ne parle que des Alaouites qui luttent contre les extrémistes mais ils ne représentent que 10% en Syrie.
Elle parle du royaume Saoudien et du Qatar mais elle innocente les USA et Israël, alors que tout le monde sait qu’Israël a soigné plus de 600 extrémistes et que les USA ont tout organiser pour faire tomber Bachar en travaillant avec al Qaïda.Je ne pense pas qu’elle n’est pas au courant de tout ceci je pense donc qu’elle n’est pas complètement honnête.-
Je ne pense pas qu’elle soit partisane des États Unis.
Au contraire, elle révèle sans vouloir l’affirmer, une contradiction majeure entre la démocratie qui donnerait le pouvoir aux Islamique, et la défense des minorités.
Son projet politique ne tient pas la route, le gouvernement et l’armée ne peuvent être dissociés.
Elle reste honnête néanmoins et admet qu’une solution pour éviter plus de morts serait d’avoir le Qatar et l’Arabie Saoudite régenter ’transitoirement’ la transition vers un gouvernement islamique non démocratique, par nature.
Bien que son cœur et son histoire personnelle, soit du cote des Alaouites et minorités, elle est très représentative de cette contraction.
Merci pour son courage de parler vrai. -
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Elle se contente de murmurer avec la meute, rien de glorieux !
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Totalement dispensable !
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Le régime syrien, jusqu’à preuve du contraire est parfaitement légitime et est victime depuis près de deux ans d’un putsch extérieur (axe du bien !!!), contrarié efficacement par la, potentiellement salvatrice, puissance russe !
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Bon, elle physiquement sympathique ! Mais en dehors de cela ...-
Merci le cercle pour cet interview , c’est bon d’avoir le point de vue d’une personne opposé a Bachar . Je ne suis pas d’accord avec elle sur sa vision générale , mais elle me semble tout a fait honnête.
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zarma,
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Une personne opposée à Bachar ??? mais j’en connais plus de 60 millions en France ... et 1000 fois plus dans le monde ! Tous nos médias, journalistes et politiques ... les crois-tu pour Bachar ??? -
Je voulais dire une personne opposée à Bachar , hors champ politico-médiatique traditionnel , s’exprimant de façon posé dans un média indépendant .
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