Ce qu’il ne faut pas oublier c’est qu’ on atteint ici un point de chute symptomatique vraiment et réellement grave à tel point il est révélateur :
Je m’explique brièvement :
Ces "gens de la télé" qui sont tous compétent dans leur spécialité (l’économie journalistique/expert au sens large) au sens où ils sont capable de réellement comprendre, interprété et mesurer l’implication , non plus de leur "prévision" , mais de ce qu’il constate factuellement à TOUS les niveaux dans le Monde dit développé (finance, multinationales/conglomérats , grandes entreprises, PME, TPE/artisanat/exploitation agricole, travailleurs, individu).
Il ne faut pas se formaliser à leur rhétorique qui masque mal une réelle antinomie stricte entre leur constat grave factuel et ce que cela implique pour eux d’une manière direct (ils "conseils" des gens, ils "risquent" de perdre leur job à BFM si ils s’insurger trop, ils vont perdre leur réputation , etc...)
Dans ce cadre je tiens à remarquer la position honnête et affirmée d’Olivier Berruyer, qui entend qu’actuaire économique de formation à vue le drame dans lequel nous sommes en occident.
NON, La France ne tiendra pas mieux que l’Espagne, la Grèce, Chypre et les autres... De moins en moins de personnes peuvent dire celà aisément sans une gymnanique intellectuelles pathétique, risible, ridicule et , in fine, suspecte.
So what ?
Nous vivons la fin d’une civilisation occidentale basé sur l’usure, la dette, la création de la monnaie(trois termes, trois fois la même chose) et la population mondiale va réellement perdre quelques Milliards d’individu.
So what ?
Rien du tout tant que ce sont les autres qui disparaissent.
"ta Civilisation, ton Continent, Ton Pays, Ta Ville, T’on Voisin, Tes Voisins" meurent, succombe, ne mange pas assez, sont malades....
Déni de masse tragique puis génocidaire.
"Tu ne comprends rien ?" pourrait t’on dire au milliard de septiques dans le déni occidentale qui se croient, croyaient riches.
"alors tu ne comprendra que lorsque TU, ton TOI exclusif succombera, aura faim, verra ses et non plus "ces" gosses/amis/proches sombré sans fin."