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Accueil du site > Actualités > Economie > Les mesures de pacotille de Manuel Valls

Les mesures de pacotille de Manuel Valls

Les mesurettes de Valls de réduction du déficit de 17 milliards d’euros par an ne sont que du vent, la dépense publique ne va pas baisser, le nombre de fonctionnaires va continuer d’augmenter et leur avancement (GVT) est préservé. Et bien sûr l’État compte toujours sur les générations futures via la dette pour payer la note :

 

Tags : Manuel Valls




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38 réactions à cet article    


  • 43 votes
    démosthène 17 avril 2014 19:12

      
    Que du vent ?
     
    Ah oui, plus on en a, plus on en veut...
     
    Enfin, plus ils en ont, plus ils en veulent...
     
    Quels ’ discours ’ tiendront les chèvres de gardes meRdiacratiques du libéralisme, lorsqu’il n’y aura plus qu’un coquille vide à la place de l’état, comme c’est déjà le cas aux states ?
     
    Le même que là-bas...
     
    Les médecins manifesteront pour que l’obligation de soins disparaisse.
     
    Sinon ?
     
    Sinon, vous pouvez utiliser tous les moyens à votre disposition, sans oublier votre imagination, pour manifester à ces chèvres de garde meRdiacratiques, ce que vous pensez d’elles, sans oublier de le dire aussi à leurs patrons...
     
    Ces écono-imposteurs sont beaucoup plus dangereux que ne peut l’être une armée de psychopathes armés...
     
    Ces antisociaux, qui se prostituent littéralement auprès de ceux qui les exploitent seront étudiés plus tard comme des traîtres à l’humanité toute entière.
     
    Faudra-t-il attendre encore une fois que leur idéologie détruise une partie de l’humanité pour les dénoncer pour ce qu’ils sont ?
     
    Je vous souhaite à tous que ce ne soit pas le cas, parce que vous ne serez pas épargnés...
     


    • 7 votes
      Pyrathome Pyrathome 17 avril 2014 21:53

      Que du vent ?
      .
      Du vent et du vide, la curée s’apprête mais les charognards en veulent plus, pour sûr qu’avec l’air qu’ils brassent on pourrait faire fonctionner un sacré parc d’éoliennes.....


    • 5 votes
      oliderid oliderid 17 avril 2014 19:34

      Allez c’est le début. Après il faudra réduire de 80% et plus cet état mamouth et libérer des griffes des monopoles tous les services non régaliens.

      Ce sera fait dans la réforme ou bien dans une crise dont on a peine à imaginer la taille.


      • 2 votes
        Avlula 17 avril 2014 22:05

        Faudra changer de peuple d’abord.


      • vote
        oliderid oliderid 17 avril 2014 23:57

        le peuple, l’état ce sont des ensembles, des concepts, des groupes sans aucune réalité propre. La seule chose qui existe, ce sont les individus. Tout le monde le ressent, on se sent constamment broyer, mesure, controler. 

        L’etre humain use de ces concepts pour lui permettre d’appréhender la réalité mais cela ne reste que de simplifications fort imparfaites.


        Ces nouveaux veaux d’or n’existent pas plus que les précédent. Arreter de faire constammer référence à eux pour justfier votre pensée.

      • 4 votes
        Avlula 18 avril 2014 08:50

        C’est vraiment flippant de discuter avec des gens comme vous, vous êtes complètement aliéné, au nom de quoi vous voudriez mettre tout hors de contrôle, ou plutôt sous contrôle du lucratif, de gens sans scrupules lorsqu’il s’agit de pognon et de pouvoir ? Il y a déjà bien trop de choses hors de contrôle d’une part, et d’autre part les gens en question ont déjà le contrôle des États, qu’il faut leur arracher. Les entreprises devraient être sous contrôle citoyen (faudra d’abord devenir une démocratie) et s’inscrire dans des plans d’intérêt général, ou au minimum non nuisibles.
         
        Au moins, puisque vous avez le pouvoir, si vous voulez tout libéraliser sans vous faire pendre ensuite, il va falloir un revenu de base qui permette de vivre, et donc qui permette à chaque individu de refuser des emplois et de choisir exactement ce qu’il veut faire de sa vie. En informant de la nuisibilité de certaines entreprises, le contrôle citoyen peut s’exercer comme ça. Mais bon, l’argent corrompt, je ne suis pas sûr que les gens n’iraient plus travailler pour l’industrie chimique, par exemple, si les salaires deviennent mirobolants pour attirer du monde.


      • 2 votes
        oliderid oliderid 18 avril 2014 09:05


        Vous pouvez batir votre revenu de base evidemment. Mais les hommes et les femmes qui vous entourent ne sont pas votre propriété. Vous n’avez pas le droit de débarquer chez eux et les dévaliser pour vous assurer votre train de vie, ni d’utiliser d’autres pour le faire à votre place (le bras armé qu’est l’état). 

        Vous pouvez par exemple vous organiser en communité libre et consente ou chacun met ensemble dans un pot commun.

        Ou via des mutuels qui se chargent d’organiser une solidarité.

        Le tout est qu’aucune personne ne soit contrainte. Il doit le faire de son propre chef.


      • 3 votes
        Avlula 18 avril 2014 13:25

        Mais supprimer l’État ne supprimera aucune des contraintes principales, ce sera simplement supprimer un contre-pouvoir aux prédateurs financiers, qui auront alors le champ libre pour transformer le monde en camp de concentration ! Quelles sont les contraintes ? Il faut de l’argent pour se nourrir, se loger, bref pour vivre. L’État organise la solidarité pour qu’elle fonctionne (ou du moins c’est sa mission, même si elle est attaquée de partout et qu’on est en train de perdre). Si vous vous trouvez contraint, c’est uniquement parce que vous avez les moyens de vous en passer, ou que vous êtes atteint du syndrome du larbin. C’est pourtant pas compliqué à comprendre que si le partage des richesses n’est pas imposé, on laissera forcément des gens crever parce que les riches ne veulent pas partager spontanément, ou en tout cas pas sans intérêt.


      • vote
        oliderid oliderid 18 avril 2014 16:24

        1. les seuls organisations qui n’ont jamais organisés des camps de concentration sont des états.
        2. La liberté implique aussi de pouvoir choisir la monnaie que vous désirer utiliser et non pas cette monnaie de singe que les états européens vous force à utiliser.

        Si vous avez le choix entre une monnaie garantie or que vous pouvez à tout moment convertir en métaux précieux, ou une monnaie fiduciaire batie sur rien comme aujourd’hui, laquelle choisisseriez vous ?

        La seule mission que l’on donnerait à l’état est ce pourquoi il a été créé : le monopole de la violence (défense et sécurité) et la justice.

        Ensuite l’état n’organise pas la solidarité. La solidarité implique un consentement. Vous consentez à aider votre prochain et c’est de ce choix que la solidarité retirer toute sa beauté. Il n’y a pas de consentement avec l’état. C’est une caricature bureaucratique grossière de ce noble sentiment qui va jusqu’à défoncer des portes des désargentés au nom de ce noble sentiment. Ce que l’état pratique est de la redistribution (prendre à A pour le donner à B et gagner au passage une voix électoral)

        Cette redistribution forcée amène amènent à une foule d’effets indirects totalement nauséabonts et le plus évident est de favoriser la xénophobie envers les couches les plus pauvres de la société.

        Forcer les êtres humains à être solidaire, c’est comme forcer un poisson rouge à nager. on est des êtres sociaux, on a des instincts d’être sociaux, l’empathie est naturelle, le plaisir que l’on ressent en aidant ceux que l’on aime est tout aussi évident.

        Vous prétendez que l’homme est un infame égoiste qu’il faut forcer pour être solidaire. Soit mais qui va le forcer à être "solidaire" ? D’autres hommes ? Ils sont fait de quoi ces autres hommes pour être subitement totalement désintéressés et n’agissant que pour le bien d’autrui ?

        Vous donnez tout pouvoir à des égoistes de dépouiller les autres dans votre logique Ca n’a aucun sens. D’aileur les résultats de cette société parle d’eux-mêmes. Les pauvres sont de plus en plus nombreux et son intensification va au rythme de l’évolution de la fiscalité et du poids de l’état.


      • 37 votes
        démosthène 18 avril 2014 18:51

         
        Tu déblatères des inepties en chapelet à tel point qu’on pourrait croire que c’est toi que tu essayes de convaincre de tes sornettes...
         
        Pathétique..
         


      • 1 vote
        oliderid oliderid 18 avril 2014 19:02

        Sortez, prenez l’air et arrêter de vous inventer une personnalité en faisant les gros bras sur le web, c’est ridicule.

        Ecrivez normalement, on ne va pas se convaincre. A quoi bon. Echangeons des idées et j’aurais le plaisir de découvrir les votres.

        Bon weekend


      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 18 avril 2014 20:07

        J’ai pu remarquer qu’à chaque fois que quelqu’un mentionnait à oliderid ( ou à erwanet ) que les états étaient déjà assujettis à la finance internationale, il bottait en touche direct et continuait de réciter son fallacieux mantra.


        Sans doute qu’il explique aussi les oligopoles bancaires et les trusts industriels par une main-mise quelconque de l’état, hein.... Of course.

      • 1 vote
        Avlula 18 avril 2014 20:28

        "1. les seuls organisations qui n’ont jamais organisés des camps de concentration sont des états."
        Certainement pas des États démocratiques, vu que ça n’existe pas encore.
         
        "2. La liberté implique aussi de pouvoir choisir la monnaie que vous désirer utiliser et non pas cette monnaie de singe que les états européens vous force à utiliser.

        Si vous avez le choix entre une monnaie garantie or que vous pouvez à tout moment convertir en métaux précieux, ou une monnaie fiduciaire batie sur rien comme aujourd’hui, laquelle choisisseriez vous ?"

        La monnaie est une convention sociale basée sur la confiance. C’est un outil qui n’a pas à être rare ou limité par une indexation sur un métal précieux ou quoi que ce soit d’autre, ce qui est trop contraignant, et qui ne devrait pas non plus être trop accumulable (monnaie fondante, inflation...). Sa création doit évidemment être publique (aujourd’hui les banques privées créent la monnaie, et on doit tous bosser de plus en plus pour les rembourser, comme si cet argent leur manquait alors qu’elle le créent !). En clair il faudrait abolir le salariat et vivre dans notre temps, avec les machines faisant les tâches sans valeur ajoutée, et les hommes faisant le nécessaire pour bien vivre, et profiter de la vie beaucoup plus.

         

        "La solidarité implique un consentement."

        C’est facile d’y consentir quand on est pauvre, les Restaus du Cœur et compagnie c’est que du brassage de richesse entre pauvres et moins pauvres, mais quand on est riche, à l’abri du besoin de toute solidarité, qu’on a aspiré, parasité, trop de richesse, ben forcément on consent moins, et sans une autorité pour imposer, la pompe à fric ne laisserait que des miettes à se partager entre pauvres, et de moins en moins.


      • vote
        oliderid oliderid 19 avril 2014 01:19

        La haute finance doit tout à l’état. L’état force les gens à utiliser une monnaie totalement viciée, la banque centrale est l’une des toutes dernières économies planifiées. Elle a la prétention de savoir ce qu’il faut produire comme monnaie pour répondre à la demande. Les banques centrales doivent etre éliminés.

        Cette surproduction de monnaie s’accumule en bulle qui éclate régulièrement. Sans oublier non plus les réserves fractionnaires qui permet à une banque de créer tout simplement de la monnaie. (elle emprunte 10 à la banque centrale et pretent 100 à la population)

        Le libertarien vous répondra qu’il faut libérer l’usage de la monnaie.
        Vous devez pouvoir fuir les monnaies fiduciaires, ces réserves fractionnaires, etc si vous le désirez pour vous réfugiez dans des monnaies sur, ayant une vrai contrepartie. Si vous n’avez plus confiance vous savez qu’elle est par exemple garantie or.

        Ou bien vous pouvez opter pour des crypto-currencies comme bitcoin. En tout cas il faut ramener une vraie concurrence des monnaies pour éviter le vol dont sont victimes les européens actuellement.


      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 19 avril 2014 02:17

         FED - Privé.

        - Troïka - Privé.
        - Commission trilatérale - Privé.
        - Oligopole du complexe militaro-industriel - Privé.
        - Oligopole de Big Pharma - Privé.
        - Oligopole de l’agroalimentaire - Privé.
        - Oligopoles médiatiques - Privé.
        - Trusts en tout genre - Privé.

        Tout ce beau monde gère 100% de la monnaie, de la politique.
        Un pourcentage immense de tout ce que l’on mange, consomme, de l’information.

        Que reste-t-il à libéraliser ?

        C’est quand-même ironique que le libertarien préconise le totalitarisme marchand, non ?

      • vote
        oliderid oliderid 19 avril 2014 08:52

        Oligopole : "Une situation d’oligopole se rencontre lorsqu’il y a sur un marché, un nombre très faible d’offreurs (vendeurs) et un nombre important de demandeurs (clients). On parle aussi de situation de marché oligopolistique."

        Prenon par exemple l’agro-alimentaire que je connais mieux. Qui impose toutes ces règles hygénistes que seuls une toute petite minorité des acteurs, c’est à dire les industries, peut respecter ? Qui a été a deux doigts d’interdire les semences traditionnels, pour à nouveau des raisons hygiénistes, au profit des semenciers industriels ? L’état...Qui a influencé l’état pour se faire ? Des lobbys. 


        C’est un cas typique de capitalisme de connivence. L’état ayant tout pouvoir aimante tous les groupes d’intérets particuliers qui vont chercher par tous les moyens à user de son pouvoir à leur avantage pour éliminer dans les faits toutes tentatives de concurrence.

        Quand on sur-règlemente les banques en les obligeant à avoir capital ceci, compatibilité baal cela...La réalité est que de moins en moins d’acteurs sont capables de respecter ces règlementations. Ils fusionnent. On a des géants (que l’état adorent car c’est moins chiant que pleins de petits) . En Belgique (je suis belge), une petite banque qui existait depuis des centaines d’années a du fermer à Tournai courant 2010 (si je me souviens bien) parce qu’elle était incapable de suivre les règles imposer aux banques...Alors qu’elle avait la gestion la plus saine qui soit (uniquement de dépot et pret sur base de ces dépots, pas de réserves fractionnaires). Celle qui a couté des milliards aux belges, par contre, elle est tjrs là (dexia).

        Idem pour la pharmacie. Qui oblige à faire passer des tests qui coutent des centaines de millions avant de pouvoir vendre ? Dans les faits une poignée d’acteur sont capables de le financer. etc. On va me dire oui mais c’est pour éviter des drames...Ok mais les plus grandes découvertes comme la péniciline serait de moins en moins possible dans le monde hygiéniste ayant une peur hystérique de la mort dans lequel on veut nous forcer à vivre.


        Quand vous dites oligopole privé, vous ne vous rendez meme pas compte qu’ils retirent toutes leur capacités de nuisance de l’état.

      • vote
        oliderid oliderid 19 avril 2014 09:32

        Avula . "C’est un outil qui n’a pas à être rare ou limité par une indexation sur un métal précieux ou quoi que ce soit d’autre, ce qui est trop contraignant, "

        La monnaie n’est pas un outil au service d’un gouvernement. La monnaie est un étalon que l’on utilise dans une transaction. La valeur de la monnaie est comme toute chose relative. La monnaie n’a pas de valeurs intrinsèques, elle n’a que la valeur que vous lui donnez par rapport à la multitude d’objet qui vous entoure.

        La surproduction de monnaie amène à une inflation (que l’on cherche à masquer par tous les moyens). Seuls les aveugles n’ont pas remarqués que les prix des denrées de bases ont explosés depuis début 2000. Pourtant la consommation de pains, de pate, n’a pas explosé. Il n’y a pas de problèmes de productions. Le nombre de pains en "circulation" est à peu de chose le meme. Par contre la monnaie a été surproduit son volumen en circulation a explosé. La question est donc : est ce le pain qui augmenté de valeur, ou la billet de banque qui a baissé de valeur. La réponse est évidente : le billet de banque a baissé de valeur par rapport au pain.

        Il est urgent de retrouver une monnaie saine, stable, un véritable étalon que des pouvoirs peu scrupuleux (privé, état ou un mix des deux) ne cherchent pas à vicier pour leur propre avantage. la seule façon d’aboutir à une monnaie saine est de vous permettre d’abandonner une monnaie quand elle devient tout simplement folle comme c’est le cas avec l’Euro aujourd’hui.
        ", parasité, trop de richesse, ben forcément on consent moins, et sans une autorité pour impose"


        Sans meme discuter du terme "parasiter" (si vous si etes riche c’est que vous avez parasité la société...La question ne serait pas dès lors comment se fait-il que de nos jours la seule façon de devenir riche à vos yeux est en parasitant la société ?), le fait est que ce n’est pas de la solidarité. La personne que vous allez dévaliser via le bras armé de l’état, n’a pas a etre "solidaire", elle est forcée de payer, solidaire ou non.


      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 19 avril 2014 12:40

        Oui, vous avez parfaitement raison, le capitalisme de connivence est ce qui arrive quand on applique à l’excès le libéralisme à l’économie, le néolibéralisme.


        Vous pensez que le pouvoir financier use du pouvoir étatique à son avantage, ceci est à mes yeux une image bisounours et tronquée de la réalité.

        L’état n’as plus aucun pouvoir ( à part peut-être quelques rares exemples ) et est une façade, relégué au simple rang de "gestionnaire de citoyens". ce n’est pas pour rien que les politiques utilisent de plus en plus le terme de gouvernance en lieu et place de gouvernement, la nov’langue est un indicateur subtil mais précieux de ce qui se trame. Le pouvoir étant dans les mains de l’oligarchie de par la dynamique corporatocratique.

        Napoléon disait que la religion servait à maintenir la plèbe dans l’ignorance et la servitude, maintenant, les médias jouent ce rôle, ceux-là même qui sont détenus par l’oligarchie de l’ombre que vous ne voulez pas voir, pourquoi pensez-vous que les moindres faits et gestes des politiciens soient vus et lus dans tous les journaux alors que l’on ne parle jamais de Rothschild et Rockfeller ?

        "pour savoir qui détient le pouvoir, regarde celui que tu ne peux critiquer."

      • vote
        oliderid oliderid 19 avril 2014 13:55

        "Oui, vous avez parfaitement raison, le capitalisme de connivence est ce qui arrive quand on applique à l’excès le libéralisme à l’économie, le néolibéralisme."

        Si...Le libéralisme est la recherche d’un maximum de liberté. Si le capitalisme de connivence est de protéger son marché par un excès de règlementation à son avantage. ...


        L’excès de liberté amènerait à une surabondance de règlementation... 
        Ca n’est pas logique. Vous abusez d’un des deux termes pour retomber sur vos pattes.


      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 19 avril 2014 14:43

        Le capitalisme de connivence n’est pas libéral en effet, mais il est paradoxalement la suite logique du libéralisme appliqué à l’économie. Tant que vous accepterez une variante du capitalisme comme seule alternative à une autre variante du capitalisme, rien n’avancera dans le bon sens.


        Si ce n’était pas l’état qui jouait le rôle de tampon entre le peuple et les élites capitalistes, ce serait quelque chose d’autre, un royaume, un sultanat, une principauté, voir quelque chose de totalement inconnu.
        Les gens ont du mal à appréhender de nouveaux paradigmes, et d’autant plus lorsqu’il s’agit d’en changer. La société moderne occidentale est habituée aux états républicains que l’on nomme à tort "démocraties", tout le souci se situe ici. Ces grands idéaux de libertés ne se conjugueraient peut-être bien que dans la grammaire d’une société réellement démocratique, ce que la terre n’as encore jamais porté ! Un état démocratique serait à cent-mille lieues de ce que nous connaissons, bien loin du capitalisme de connivence.

        Attaquer l’état, la démocratie en 2014, c’est jouer le jeu du néolibéralisme, sur son propre terrain, avec ses propres règles et les armes en mousse qu’il nous laisse...

      • vote
        oliderid oliderid 19 avril 2014 15:07

        "Le capitalisme de connivence n’est pas libéral en effet, mais il est paradoxalement la suite logique du libéralisme appliqué à l’économie. "

        Ca n’a rien de logique. Ce sont deux choses extremement différentes. Le capitalisme de connivence ne peut prospérer qu’à proximité d’état hypertrophié (capable de règlementer tout et son contraire). Le libéralisme ne peut prosprérer que dans un environnement de liberté. 


        La démocratie ce n’est pas la liberté. La démocratie peut etre liberticide. Ce qui protège votre liberté, en tant qu’individu sont des droits. Des droits intangibles, inaltérables que personne ne peut remettre en cause, meme pas une majorité. Ces droits sont par exemple le droit de vous exprimer, vous déplacer, etc. Si la démocratie a le pouvoir de remettre en cause ces droits, alors cela va tot ou tard se résumer par deux loups et une brebis qui votent le menu de ce soir. La brebis va passer à la casserole démocratiquement.

        La démocratie n’est pas l’alpha et l’omega. C’est le meilleur système connu à ce jour pour gérer la cité en effet, un outil extremement précieux pour faire connaitre le point de vue de tous. Cependant il y a une chose qui doit rester éloigner de son pouvoir, ce sont vos droits en tant qu’individu. Une fois que ce verrou à sauter, le XXième siècle regorge d’exemple ou la démocratie est devenue abusive.


      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 19 avril 2014 15:22

        La loi est l’entité la moins libérale qui puisse exister, et le libéralisme se fonde dessus ? si vous vouliez un exemple de quelque chose de pas logique, le voilà !


        Par qui sont écrite ces lois ? Dans l’intêrêt de qui ? En voilà une bonne question.

        Votre exemple des loups est fallacieux, déjà il n’y a aucune raison que dans une société libre les gens doivent obligatoirement s’entre-tuer et chercher à tout prix le profit. Ceci n’est qu’une projection de la société actuelle, capitaliste, gangrenée par l’idéologie de l’efficacité et de "réussite sociale". Ces inclinations de type "loup" tendraient vers le fait divers dans une démocratie réelle.

      • 1 vote
        Heptistika Heptistika 19 avril 2014 15:24

        Vous dites que la démocratie peut être liberticide, c’est possible, mais ce que je sais, c’est que ce que vous proposez, est certainement liberticide, ce qui fait de moi quelqu’un de plus libéral que vous...


      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 19 avril 2014 15:47

        Bref, de toute façon vous n’écoutez pas, mon propos c’est de dire que la terre n’as jamais porté de démocratie réelle, et vous venez me balancer un point Godwin en considérant les nazis et les bolcheviques tel des démocraties...


        A bon entendeur, j’en ai un peu marre de votre propagande.

      • vote
        oliderid oliderid 19 avril 2014 16:28

         Ah pardon, je vais un peu trop vite. Le libéralisme a un dogme (bin oui... :) ) ce sont les lois dites naturelles. Les lois naturelles sont celles qui sont le fruit de votre condition humaine. Sans elle vous ne pouvez etre pleinement humain. Elle sont antérieures à toute législation et elles sont inaltérables, indivisibles. Ensemble elles forment les droits de l’homme et du citoyen. C’est la base meme des sociétés modernes occidentales. l’objectif de l’étal libéral est donc de protéger ces droits de chacun, empecher le plus fort de les piétiner. c’est ce que précise l’égalité dans le slogan de la révolution française : les memes droits, la meme reconnaissance de ces droits. Ce qui est la différence avec l’ancien régime...Ancien régime qui de nos jours réapparaient sous une autre forme dirait on.






      • vote
        oliderid oliderid 19 avril 2014 16:29

        pardon lire droits au lieu de lois. pour etre précis. la loi ne sera qu’une retranscription de ces droits.


      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 19 avril 2014 18:45

        Donc votre état libéral doit être suffisamment fort et avoir autorité sur tous, pour être à même de garantir le respect des droits de chacun. CQFD


      • vote
        oliderid oliderid 20 avril 2014 00:24

        Fort bof bof...Ca fait très machiste gonflette. je préfère en fait le terme efficace. vous l’obtenez quand vous focalisez votre énergie sur les missions qui sont les siennes, sécurité, défense et justice. 


      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 20 avril 2014 01:46

        Certes, mais cette efficacité ne peut se mettre en place qu’avec des moyens, quand on voit le nombre de trusts qui ont des finances dépassant largement celles d’état Européens, qui peuvent à tout moment déployer des armées ou milices privées ou carrément créer les leur...


        Que pensez-vous qu’il se passera quand un état, aussi libéral soit’il dans le sens dont vous le formulez, se retrouvera face aux chantages et menaces des élites de l’hyperclasse ?

        Il capitule.

        Et nous voici en 2014, dans cette exacte situation, la finance dérégulée fait la loi et les états capitulent.

      • 2 votes
        Heptistika Heptistika 20 avril 2014 01:48

        Finalement nos visions ne sont point si différentes que ça, mais vous mettez l’état au sommet de la pyramide "pouvoir" et moi non...


      • vote
        oliderid oliderid 20 avril 2014 08:22

        Oui tout à fait ce n’est pas si loin. Le libéralisme classique et le mouvement libertarien qui s’en réclame est contestataire et fermement opposé au pouvoir quel qu’il soit. 

        Pourquoi se focalise t’on sur l’état ? Parce que c’est la clé de voute qui permet aux différents pouvoirs, aux différentes corporations de vous forcer à faire des choses. C’est leur bras armé. Cassé ce bras et ils ne pourront plus vous forcer par la menace de la violence à faire des choses contre vos propres intérêts.

        Quant au budget pour un état juste...Mmmmh bin pour ce que je connais le ministère de la justice en Belgique c’est tout au plus 2-3% du PIB et la défense même moins. Jusqu’en 1913 aux Etats-Unis, il n’y avait pas de taxes sur les revenus des particuliers, il y en avait tout simplement pas besoin pour financer cet état. Etat qui donc était indépendant du pouvoir financier vu qu’il n’en avait pas besoin...Et après la guerre à tout changer....

        Quant à la finance, elle n’a jamais été aussi règlementée. Tout ce qui vous permettrait de vous défaire de son emprise est interdit par l’état qui est à ce point dépendant du monde financier qu’il ne peut se permettre de les voir perdre leur monopole. Cependant ça commence à bouger, il y a par exemple bit coin qui se pointe, c’est encore un peu tot, c’est tjrs très spéculatif mais son mérite est d’être totalement indépendant des pouvoir.

        Sinon pour le reste,l’état, les banques, etc...En définitive ce ne sont que des conventions sociales. Des créatures un brin surnaturelles qui n’existent que par le crédit collectif qu’on leur donne. Jadis le libéralisme avait vaincu l’Eglise catholique en ramenant les gens dans la réalité, il va falloir procéder de même. Rappeler ce qu’est réel et ce qui ne l’est pas.

        J’avais écris un article à ce sujet.
        http://www.contrepoints.org/2013/11/01/144654-le-sens-de-la-realite


      • 4 votes
        Scalpa Scalpa 17 avril 2014 22:00

        Accro a BFM vite mon dodoze quotidien, putain que c’est bon vivement demain.


        • 1 vote
          lancelot 18 avril 2014 08:56

          L occasion etait belle de lancer une grande réforme de l Etat, au service des citoyens et non de la bureaucratie , ainsi que de l hopital comme le demandent tous les professionnels de santé. C etait une vision positive de la réforme , avec un cap.
          Mais hollande ( car Valls, qui ne fait qu appliquer la politique choisie par Hollande, semble beaucoup plus ambitieux) a choisit l habituelle methode du rabot qui va encore paupériser une fonction publique déja payée au lance pierre ( un prof allemand gagne le double d un francais). Un Etat tentaculaire mais mis a l os ,qui fera mal son boulot et plus en plus mal . C est l austérité aveugle et a perpetuité car la croissance fort ne reviendra pas .
          Sans parler d un système de retraite illisible et injuste dont on exploite pas le gigantesque potentiel d economies par peur des grèves.
          Cette classe politique de paléoénarques n a decidement pas le bon logiciel pour réformer ce pays . Canada et Suède avaient pris le problème a bras le corps ( certes soutenus par une devaluation monétaire) et changer leur facon de penser la collectivité.
          Ca ne sera que partie remise pour 2017 .


          • 2 votes
            lancelot 18 avril 2014 09:04

            rectif : rigueur aveugle et non austérité .c est important
            au lieu de mobiliser tous les acteurs pour un changement de fond on ne fait qu appliquer des règles comptables pour obeir a bruxelles, tu m etonnes que les gens le vivent mal et qu ils vont voter en consequence !
            mai quand ce pays va t il se remuer le cul ?? quand v a t on mettre les gens intelligents et qui ont un vrai plan au pouvoir ? aux francais de jouer , ca sera tout pour leur cul s ils votent encore pour ceux qui les flattent . et on ne leur pleurera pas , fini !


            • 1 vote
              lancelot 18 avril 2014 10:08

              on imagine presiflan se reveiller tous les matins avec l ecran branché sur les marchés .
              " hé manu , t as vu ce matin on redescend au dessous des 2, allez pour fete ca on crée une alloc ou 5000 postes de fonctionnaires, qu en penses tu ?"
              " ca n est pas raisonnable francois, penses a celui (moi) qui prendra ta succession "


            • 4 votes
              Pyrathome Pyrathome 18 avril 2014 14:35

              En même temps, avec une dette française qui se vends au taux en dessous de 2% ... pourquoi se priver ?
              .
              Justement, c’est bien là le nœud du problème..
              Les états devraient emprunter à 0 %, il n’y aurait aucune dette, c’est là où est l’escroquerie et viennent s’engraisser les parasites financiers, émettre de la monnaie gratuitement pour se gaver largement et faire payer la multitude tout en accusant les états et les acculer à la dette....
              Le comble du cynisme, T’as pas encore compris ça monsieur je sais tout en économie ??
              Tu es atteint du le syndrome du larbin, ou tu es le complice des truands ?

              Une dette doit servir à investir, pas à opprimer la population....



              • vote
                Auxi 28 décembre 2014 21:43

                Nicolas Doze n’est pas un journaliste, c’est un propagandiste. Et, naturellement, personne dans la boîtakons pour le contredire. En d’autres temps, il aurait eu toute sa place dans la propagandastaffel.



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