• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Les légions perdues de Rome

Les légions perdues de Rome

Les « grandes invasions » et de la « chute » de Rome : l’histoire d’une question complexe

 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Arminius

 

http://germanie.wikidot.com/arminius

 

Les « grandes invasions » et de la « chute » de Rome : l’histoire d’une question complexe

 

Aujourd’hui, et pour de nombreuses raisons, plus personne ne songerait sérieusement à présenter les évènements qui conduisirent à la « chute » de Rome d’une manière aussi caricaturale. Ni aussi simple. La « chute » de Rome, pourtant, avait suscité de nombreuses explications.

 

Comment expliquer cette puissante fascination qu’exerce le thème de la « chute » ? Est-ce en raison de l’apparente « modernité » de l’Antiquité qui permet toutes les projections d’aujourd’hui vers hier ?

 

  • Le passé recomposé à l’aune des nationalismes européens

 

Tout d’abord et c’est là un fait important, la fin des affrontements franco-allemands contribua fortement à affranchir l’histoire ancienne du poids des tragiques évènements que connurent les contemporains de la période 1870-1945… Il ne faut pas oublier, en effet, que dans l’esprit des hommes de la IIIe République, derrière la silhouette des envahisseurs d’hier se profilait le casque à pointe de l’ennemi d’alors. Bien sûr, il n’en allait pas autrement outre-Rhin et les historiens allemands proposèrent longtemps une image toute différente des « grandes invasions » : les peuples germaniques auraient libéré le monde antique de l’oppression d’un empire sclérosé et totalitaire au cours de « migrations » - les historiens allemands préfèrent parler de « migrations des peuples » plutôt que de « grandes invasions » - beaucoup moins violentes qu’on ne le dit. Les « grandes invasions » n’auraient-elles été qu’un affreux malentendu ?

 

  • Rome n’est pas l’Antiquité

 

Longtemps, en outre, la fin de l’Empire occidental avait été assimilée à la fin de l’Antiquité… d’où l’épineux problème qui consistait à choisir une date rendant compte des deux évènements : 410 et la première prise de Rome ? 476 et la déposition du dernier empereur dans la partie occidentale de l’Empire ? Quelle date retenir ? Aujourd’hui, avec le succès du concept d’Antiquité tardive, force est de constater que Rome et Antiquité ne sont pas synonymes et que la seconde survécut à la première.

 

  • Expliquer la « chute » : des théories souvent limitées à une seule cause

 

Cela dit, reste le problème de la « chute »… A la suite de l’œuvre magistrale d’Edward Gibbon, qui rédigea au XVIIIe siècle une remarquable Histoire du déclin et de la chute de l’Empire romain, on voulut expliquer la fin de l’Empire par une décadence multiforme. Les esprits éclairés du siècle des Lumières virent dans le triomphe du christianisme un signe de régression en regard de la tolérance païenne et surtout du scepticisme hellénique. Plus tard, on chercha une explication dans l’abâtardissement de la « race » romaine, que cela résultât d’unions avec des esclaves ou avec des Barbares. Inutile d’insister sur l’ineptie maligne de tels propos. D’autres encore proposèrent d’expliquer la fin de l’Empire par un dysfonctionnement économique majeur, par une crise de la cité antique ou encore par une épidémie sélective de saturnisme qui aurait frappé les élites romaines. Là encore, si l’hypothèse est ingénieuse (les conduites d’eau des maisons aristocratiques étaient pour partie recouverte de lamelles de plomb), elle est démentie par l’archéologie.

 

En définitive, on ne saurait prétendre rendre compte d’un phénomène aussi complexe que la disparition de l’état romain en Europe occidentale en n’arguant d’une cause unique. D’autant plus que la recherche de LA cause, entraîne bien souvent des distorsions, des simplifications ou des manipulation de l’Histoire. Mais alors, quelle fut l’importance des guerres barbares dans la « chute » de Rome ?

 

Lire la suite

 

Tags : Histoire Culture




Réagissez à l'article

28 réactions à cet article    


  • 7 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 12:41

    "...force est de constater que Rome et Antiquité ne sont pas synonymes..."
     
    => Je vous confirme que l’Antiquité sumérienne ne doit rien aux Romains (je suis taquin). smiley


    • 2 votes
      Frida Frida 28 août 2014 12:45

      "...d’empires éphémères.. !" combien a duré cet Empire ? sans parler de ce qu’il a laissé comme traces bien sûr....


    • 7 votes
      Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 12:54

      @ caillou41 :
       
      Je vous fais le pari que l’"empire" de l’actuelle démocratie ne tiendra pas aussi longtemps que l’Empire romain. Mais vous avez raison, c’est parce que la démocratie pète plus haut que son cul. (Qu’est-ce que je suis taquin...)


    • 1 vote
      maQiavel maQiavel 28 août 2014 13:03

      -Toute notre histoire est faîte de ce genre d’empires éphémères.. !

      ------> Je ne dirai pas éphémère mais ce qui est vrai, c’est que notre histoire est faite d’effondrement d’empire. Et ce qui est intéressant, c’est que l’on peut tirer de ces effondrements des caractéristiques communes, indépendamment de l’ époque, du contexte socioculturel ou même du continent, il y’ a des dynamiques structurantes qui dépassent ces paramètres.

      Certaines personnes comme Joseph Tainter et bien d’autres décrivent des modèles socio historiques pour expliquer les causes structurelles de ces effondrements,  l’histoire n’est au fond qu’un éternel recommencement, d’ où l’importance de son étude pour éclairer le présent …


    • 4 votes
      Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 13:17

      Toutes les justices du monde leur doivent beaucoup, toutes les armées du monde également. Sans compter la littérature, et... le christianisme lui-même, à qui l’on devra beaucoup à son tour, etc.


    • vote
      Frida Frida 28 août 2014 13:17

      ma question n’a pas pour but d’être désagréable....
      mais la notion d’éphémère a pour moi une connotation religieuse et renvoi vers le retour à l’éden pour ceux qui ont bien été dociles et l’enfer pour ceux qui ont péché, elle est corrélée à l’éternité....à l’Eternel ...à la chute d’Adam....
      et je n’aime pas mélanger les notions ni les concepts et encore moins la condition de l’homme et celle de l’Eternel....


    • vote
      Frida Frida 28 août 2014 13:28

      Caillou41

      "éphémère peu durer un jour ou une éternité tout dépend a quoi ce mot est relié"
      ....donc l’empire romain, mis à l’échelle des empires, et des états ni pas si éphémère que cela....


    • 1 vote
      maQiavel maQiavel 28 août 2014 13:53

      Bonjour caillou 41

      -On ne peut pas écrire le futur avec le passé.. On peut tourner l’histoire dans tous les sens pour trouver matière à s’en servir de nos jours...on y trouve rien que du passé rien d’autre.

      ------> Je ne suis pas du tout d’ accord avec vous. Ceci dit, je ne prétends pas non plus détenir La Vérité, je vais vous dire quelle est ma vision des choses, que j’essaie autant que je le peux de remettre en question.

      Deux précisions :

      1. Je ne dis pas qu’il faut aller chercher des solutions toutes faites dans le passé pour construire l’avenir, ce serait tomber dans ce type d’  anachronisme, propres aux psychés ultra- réactionnaires (Gueguen ne sera pas d’ accord avec le terme mais il comprendra dans quel sens je l’emploie).

      2. Je ne dis pas non plus que les événements qui se sont déroulé dans le passé sont totalement transposables aux événements actuels, c’est aussi de l’anachronisme.

      ------> Cependant, il existe des paramètres structurants indépendants des époques et des lieux, et qui poussent les acteurs à agir spontanément dans un sens ou dans un autre.

      C’est en étudiant l’histoire que l’on arrive à dégager ces paramètres, et leur connaissance participe à la compréhension du présent  car ils sont toujours de vigueurs de nos jours.

      Connaitre ces paramètres ne veut absolument pas dire que l’on connait tout du présent, mais le présent n’est pas intelligible sans leur connaissance. D’ où l’importance de l’étude du  passé.

      -Que les historiens s’y intéressent c’est normal..mais pas les politiques.

      Au contraire, un politique qui ne connait pas l’histoire n’est pas un politique digne de ce nom , pour les raisons expliquées plus haut.

      Il y’ a des siècles déjà, des réalistes comme Nicolas Machiavel et d’autres ont insisté sur la lecture politique de l’histoire La différence entre un politique habile et celui qui ne l’est pas est que le premier a intégré cette lecture politique de l’histoire, le présent n’est pas pour lui quelque chose de jamais vu et d’indéchiffrable mais se présente comme une succession d’événements ou se reflète une circularité des événements anciens.

      D’ ou l’importance pour le politique, de cette lecture politique de l’histoire, qui ne doit pas être pour lui une lecture de plaisir mais de connaissance (raison pour laquelle tous les grands politique sans exception ou presque étaient des férus d’histoire). L’histoire doit être maitresse de ses actions, il doit y trouver des modèles et des contre exemples. Sans cela, pas de critères un tant soit peu évident pour rendre intelligible le présent.

       

      Ce n’ est que mon point de vue , évidemment , et il est contestable …


    • 3 votes
      Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 14:35

      @ Caillou41 :

      "Je trouve notre génération en manque total d’imagination...pour notre futur..d’ailleurs regardez les derniers chiffres du chômage...très instructifs.. !"
       
      => Je crois que notre "génération" est surtout en manque de repères. Pour savoir où aller, on est bien inspiré de savoir d’où l’on vient... Vous n’y couperez pas je crois : boudez le passé, il vous reviendra tôt ou tard à la figure. Pas tel quel, bien sûr, mais au travers d’une impuissance à avancer, d’un crucial manque d’élan (le passé) en vue d’un saut en avant (le futur).


    • vote
      Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 17:21

      Si ce gouvernement avait le courage d’organiser un grand sondage (intelligent pour une fois) sur le niveau d’inculture général, vous comprendriez, je pense, ce que j’entends par "repères". Mais on préfère faire chanter ou cuisiner les Français que de les faire réfléchir. Master Chef, The Voice, voilà de quoi voir fleurir leur "imagination", tiens...


    • 1 vote
      Éric Guéguen Éric Guéguen 29 août 2014 09:13

      Et qu’est donc la démocratie, si ce n’est l’instrumentalisation des masses par la bourgeoisie afin de prendre la place des anciennes noblesses ? Les cocus en ont marre de l’être ? Qu’ils cessent de se réfugier derrière des mots creux.


    • 4 votes
      maQiavel maQiavel 28 août 2014 12:50

      C’est un sujet très intéressant, et d’ ailleurs l’auteure publie souvent des articles aussi passionnants.

      Seulement, il y’ a un gros problème de confusion dans cet article : le titre et la vidéo ne traitent pas du même sujet que le texte de l’article.

      La question des légions que Rome a perdues en Germanie à la la bataille de Teutobourg concerne le début du haut empire alors que les grandes invasions et l’effondrement de Rome concernent la fin du bas empire. On est dans deux contextes socio-politico- historiques très différent :d’ un coté , un empire en plein extension qui suite à une grande défaite militaires , doit revoir ses ambitions hégémoniques à la baisse , se replier sur ses frontières et se consolider sur la partie du territoire qu’ il contrôle , et de l’ autre , un empire dans un contexte d’ effondrement multi –systémique qui ne cesse de perdre ses territoires. Les deux thématiques ne doivent pas être confondues :

      On peut établir des liens indirects entre les deux thématiques,  par exemple le fait que l’ échec de la conquête de la Germanie sous le principat d’Auguste  au début du haut empire a permis des siècles plus tard durant le bas empire à la constitution des grandes confédérations germaniques  mais même  dans ce cas , mais ce n’ est qu’ un lien indirect et il aurait au moins fallu l’établir dans le texte.

      Ce n’est pas du tout par hostilité envers l’auteure que je fais la remarque, je l’aurais fait indépendamment de l’auteur et d’ ailleurs, malgré la confusion, le sujet reste intéressant.


      • 1 vote
        gerfaut 28 août 2014 12:54

        Frida ne fait rien au hasard, elle n’ est pas là pour nous informer mais pour faire passer ses petits messages.


        Quel est l’ abruti qui explique la chute de Rome par la perte de ses légions en Germanie ? Cela a eu lieu en l’ an 9 après JC, pour la conquête d’ un territoire qui n’ a jamais fait partie de l’ Empire, et l’ Empire Romain s’ est effondré officiellement lors de la prise de Rome en ... 476.

        Quel bordel cet article, et quelle bouillie de ’pensée’



        • 1 vote
          Frida Frida 28 août 2014 13:31

          gerfaut
          "Quel bordel cet article, et quelle bouillie de ’pensée’" au moins vous êtes constant dans votre jugement...

          mais rien ne vous interdit d’expliquer l’arrière pensée de l’auteur aux intervenants, ils seront ainsi avertis et prendront garde de la malveillance de mes articles....


        • 2 votes
          gerfaut 28 août 2014 14:00

          Je résume vôtre pensée : tout est dans tout, et réciproquement, et surtout quand la mer est basse, MAIS DE TOUTES FACONS les étrangers n’ y sont pour rien dans la perte de cohésion de l’ Empire Romain quoiqu’ il en soit, (ouf !)


          Merci Tata Frida !!

          On peut aussi expliquer la mort de l’Empire le jour de sa naissance pendant que vous y êtes, tant que le petit message est passé. Vous n’ en avez rien à fiche de l’ Empire Romain. 

          La suite de la bouillie dans un prochain petit message...

        • 1 vote
          Frida Frida 28 août 2014 14:02

          Merci de l’explication, très limpide....


        • 2 votes
          gerfaut 28 août 2014 14:20

          Si vous vous plaignez que c’ est de la bouillie, plaignez-vous à la maison mère.


        • 4 votes
          ffi 28 août 2014 17:14

          De toute façon, pour un empire, le concept d’étranger n’existe pas : l’empire a vocation à s’étendre partout où il peut...
           
          Le peuple Romain, à la base, tenait la vertu, l’humilité, l’héroïsme en haute estime. Le sens du sacrifice y était présent (sacrifice : "faire un acte sacré" en latin, de sacrificare). C’était un peuple de travailleurs, de constructeurs, qui inventèrent une nouvelle approche du Droit, celui-ci pouvait se calculer : "le jus"
           
          Mais avec le temps, ce goût de l’effort s’est atténué.
          La commodité de l’esclavage a permis de libérer du temps libre.
          Les légions ont commencé à recruter parmi les peuples étrangers.
          Pour calmer le peuple, on lui offrit des jeux.
          Lire à ce sujet les propos de Tacite sur le règne de Néron.
          (extrait)
          "

          Les Juvénales

          XV. Cependant, pour ne pas se prostituer encore sur un théâtre public, il [Néron] institua la fête des Juvénales (1). C’est ainsi qu’il appela des jeux nouveaux, où les citoyens s’enrôlèrent en foule. Ni la noblesse ni l’âge ne retinrent personne : on vit d’anciens magistrats exercer l’art d’un histrion grec ou latin, se plier à des gestes, moduler des chants indignes de leur sexe. Des femmes même, d’une haute naissance, étudièrent des rôles indécents. Dans le bois qu’Auguste avait planté autour de sa naumachie, furent construites des salles et des boutiques où tout ce qui peut irriter les désirs était à vendre. On y distribuait de l’argent, que chacun dépensait aussitôt, les gens honnêtes par nécessité, les débauchés par vaine gloire. De là une affreuse contagion de crimes et d’infamie ; et jamais plus de séductions qu’il n’en sortit de ce cloaque impur n’assaillirent une société dès longtemps corrompue. Les bons exemples maintiennent à peine les bonnes moeurs ; comment, dans cette publique émulation de vices, eût-on sauvé le moindre sentiment de pudicité, de modestie, d’honneur ?
          " Tacite.
           
          Bref, une débauche telle que l’excellence de son organisation politique ne pouvait sauver cet empire. Exactement comme aujourd’hui, quoi !


        • 1 vote
          Frida Frida 28 août 2014 13:04

          Pour ceux qui n’ont pas envie de plonger dans des livres austères sur l’ascension de Rome et sa chute, je conseille le visionnage d’une série de vidéos assez bien faite (abstraction des raccourcis ..)
          https://www.youtube.com/watch?v=cGGpYy42yiI&list=PLI06DwwmHAM8a4uU9v_q9yu5AclS-hd7K


          • 4 votes
            Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 13:09

            Si vous me permettez d’être taquin une troisième fois, Frida, moi je leur conseillerais plutôt de trouver la force d’"avoir envie de se plonger dans des livres...", et, à défaut, de s’intéresser à des choses dont la compréhension demande moins d’efforts.


          • vote
            Frida Frida 28 août 2014 13:11

            Je vous le permets cher Eric Guéguen ...


          • 2 votes
            Piloun Piloun 28 août 2014 19:23

            Oui, et d’ailleurs je ne résiste pas. Si quelqu’un cherche un bon bouquin de synthèse(plus de 600 pages quand même hein) sur l’histoire de Rome. Il y a Histoire de la Rome antique de Lucien Jerphagnon un livre accessible au profane, sérieux tout en étant plaisant à lire et avec, ce qui ne gâche rien, quelques notes d’humour.

            Vraiment un bon livre d’histoire à faire lire aussi à vos ados.

            Et il existe aussi en livre de poche smiley

            Sur la chute de l’empire romain, je me suis acheté le très récent La chute de Rome de Bryan ward-Perkins. Je ne l’ai pas encore lu, seulement une cinquantaine de pages vite fait en diagonale, mais il a l’air aussi très sympa. Il met à jour le grand classique parmi les classiques Histoire du déclin et de la chute de l’Empire romain de Edward Gibbon, tout aussi indispensable mais qui date quand même du XVIIIe siècle.



          • vote
            Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 21:16

            Merci Piloun.


          • 2 votes
            Aiezoa Aiezoa 28 août 2014 14:51

            "Celui qui vie par le glaive périra par le glaive" Evangile

            A bon entendeur salut.

            • 4 votes
              Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 15:01

              ... sauf Mahomet. smiley
              Bon, je sors...


            • 1 vote
              Aiezoa Aiezoa 28 août 2014 15:16

              Normal Eric Mahomet n’existe pas.


              • 3 votes
                Éric Guéguen Éric Guéguen 28 août 2014 15:24

                Dans ce cas tout s’explique puisque Jésus non plus...


              • 3 votes
                gerfaut 29 août 2014 11:19

                Dans cet article Frida fait tout pour détourner le regard des invasions barbares qui marquent la fin de l’ Empire Romain. Donc pour expliquer cette fin, elle va le plus possible chercher en amont jusqu’ aux légions romaines de l’ an 9 ap JC qui ont eu le tort d’ aller se perdre en Germanie...


                La prise de Rome n’ existe plus. Ce n’ est pas son souci. Elle se fout de l’ Empire Romain. On complexifie, on s’ extasie sur le thème de la Chute, comme c’ est interessant... Pour mieux nous leurrer.

                Et c’ est comme ça sur tous les sujets culturels.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON

Auteur de l'article

Frida

Frida
Voir ses articles


Publicité





Palmarès