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La fin de la Quatrième République


La fin de la Quatrième République - 28 minutes... par 28minutes

 

 

 

Le 19 décembre 1958, Paris célèbre Maria Callas, qui donne en grande pompe son premier récital en France. Le président René COTY y assiste. Ce sera sa dernière sortie officielle et le dernier bal de la IVe. Deux jours plus tard, le général de Gaulle sera en effet nommé premier président de la Ve République. Ce documentaire à base d’images d’archives propose un retour sur le passage de la IVe à la Ve République. Mais comment la France est-elle passée de la IVe à la Ve République ? A partir du 13 mai 1958, une série d’événements secoue la France et la République. Une partie de l’armée et les partisans de l’Algérie française exigent un changement radical d’orientation politique à Paris et réclament le retour du général De GAULLE. Ce dernier soumet aussitôt une nouvelle constitution au suffrage des citoyens. Des archives de cinéma, de télévision et de radio, dont certaines inédites, permettent de dévoiler les enjeux secrets de ces mois tumultueux, depuis le 13 mai, l’insurrection d’Alger, jusqu’au début du mois de juin 1958, le premier voyage du général De Gaulle en Algérie. Les commentaires de Michel WINOCK auteur du livre "L’agonie de la IVème République", dont est tiré ce film, sont complétés par des bancs titres rappelant la chronologie des évènements.

  • Planète, France 3
  • producteur ou co-producteur
    Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense, INA Entreprise, Ex Nihilo

 

Source ici

 

Documentaire intégral :

https://www.youtube.com/watch?v=s_F...

 

Tags : France Politique Histoire Culture




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4 réactions à cet article    


  • 5 votes
    michel-charles 31 décembre 2014 08:44

    Pour vivre heureux..changeons de "Ripoublique"..mais il est étrange que le peuple au bout de la cinquième ne perçoive toujours pas qu’il y a une punaise dans le caviar..et persiste à voter toujours pour les mêmes couillons-véreux.. ?

    Bon réveillon...pour les augmentations du 1er Janvier...

    • 2 votes
      lancelot 31 décembre 2014 20:34
      jean marie le pen prevenait des le debut des années 80 quand il etait encore temps ,mais manipulés a souhaits les francais ont cru aux fadaises socialistes. 
      de gaulle disait dailleurs aussi " les francais sont des veaux,ils sont bons pour le massacre, meme hannibal ne voulait pas de gaulois dans ses légions romaines".
      bah , voyez le bon coté des choses , on est aux premieres loges pour observer le choc des civilisations,qui n en est qu a ses premices. 


    • 2 votes
      lancelot 31 décembre 2014 20:45

      Je persiste pourtant a croire ou esperer une remise a plat du logiciel francais , afin d integrer et d interesser ces populations a un nouveau projet francais. cela passera par des refontes radicales notemment dans l education nationale .

      en tout cas si nous continuons sur le logiciel anti france/européiste de l UMPS ce pays va a la libanisation ,comme l angleterre hollande allemagne et autres pays voués a ne devenir que des régions-villes peuplées de citoyens du monde.

    • 2 votes
      karikakon karikakon 1er janvier 2015 08:57
      Cette nuit, j’ai fait un joli rêve. Je me trouvais sur l’avenue des Champs Élysées totalement déserte, il pleuvait, il faisait gris et froid. J’avais les larmes de désespoir, de voir ce qu’était devenu mon pays, après 45 ans de règne mafieux. Je tournais en rond, je maudissais la vie, je ne savais pas ce que je foutais à cet endroit, je gueulais ma colère aux quatre vents... Quand tout d’un coup, j’ai vu au milieu de l’avenue, arriver un groupe d’hommes, ils étaient plusieurs milliers qui se dirigeaient droit devant moi. J’ai essuyé mes larmes qui me brouillaient la vue d’un revers de manche de veste. Et là, j’ai vu qui étaient ces femmes et hommes qui marchaient d’un pas décidé vers moi. Et une nouvelle fois, je me suis mis de nouveau à pleurer, mais cette fois-ci, ce n’était des larmes de pur bonheur, j’étais submergé par l’espoir et la joie. Quand tous ces hommes armés s’approchèrent de moi, se détacha du groupe le plus grand et il me dit " Je connais exactement la situation, emmenez-nous à la radio la plus proche, je dois refaire l’appel du 6 juin au peuple de France qui se trouve être en grand danger !, Ému, et intimidé au plus au point, je n’ai su que lui réponde " Oui mon général " et je me suis réveillé à cause de mon putain de téléphone qui sonna. 


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Frida

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