La minute d’Olivier Delamarche : "Non" grec : "Hollande vient prendre ses ordres auprès de madame Merkel" - 06/07
Le 6 juillet, les actualités et les négociations autour de l'endettement grec on été les thèmes abordés par Olivier Delamarche dans Intégrale Placements, présenté par Cédric Decoeur et Guillaume Sommerer, sur BFM Business.
L’intégralité :
Tags : Grèce Dette Olivier Delamarche Angela Merkel
6 réactions à cet article
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Encore un extrait de moins de 2 minutes pour avoir des phrases chocs ,ça permet de faire dire aux intervenants ce que vous voulez gomez.
En même temps attendre un discours informatif de bfm , faut croire à la neige sur marseille au mois d’aout....Ce qui est frappant , c’est l’acharnement de ces bonimenteurs sur les états, dirigés par des incapables , élus par le peuple et coopté par la puissance financière qu’eux servent docilement ...Et le silence sur le rôle de certaines banques d’affaires privées, qui ont bien organisé la panade grecque et qui squattent actuellement les postes clés du IV ème reich, sans que cela ne les émeuvent .La main invisible du marché est un revolver pointé sur les plus faibles-
En tout cas ce qu’il se passe est positif, à savoir
1) un petit référendum bien organisé et efficace ça ne mange pas de pain
2) l’UE est en train de faire une lourde erreur :
— certes elle doit donner l’exemple (bien que ce soient ses banques, industries et eurocrates – qui ont transformé les dettes privées en dettes publiques – qui soient responsables et non la population grecque)
— mais on sait par Wikileaks que Merkel avait dit en 2012 que la dette était insoutenable, donc cette eurocratie est de plus en plus menteuse quand on lit ce titre (Le Monde) : « Crise grecque : Hollande et Merkel attendent « des propositions précises et crédibles ». La restructuration pourtant est crédible (cf vrais économistes) et c’est justement ce que demande Tsipras ! Donc en Merkel (et sa Suite) se décrédibilise et ça ne mange pas non plus de pain.
Ce qu’il peut se passer est que la Grèce sorte de fait de l’Euro, sans aucune préparation (préparation organisationnelle et même, apparemment, intellectuelle).
Et si c’était ce que vise Merkel ? Comme les grecs ne s’y sont pas préparés, elle escompte peut-être de grosses difficultés, ce qui permettrait d’effrayer les autres pays du sud de l’Europe. De toute manière, la Grèce ne pourra pas rembourser avant longtemps donc financièrement ça ne change rien. Comme on entend pas les Etats-Unis sur la Grèce, c’est peut-être parce qu’Obama approuve ? C’est vrai que les grecs en 1945 c’était des communistes il a fallu aller les massacrer et installer le Régime des Colonels. Présentement on y a un gouvernement de gauche (équivalent du FG) donc Merkel veut rester intraitable pour avoir un bouc-émissaire et aussi pour des raisons de basse politique : même un gouvernement de gauche europhile à mort lui est insupportable, il vaut tonc bunir zes gommunizts schneell et l’arme financière c’est quand même plus sophistiqué qu’une arme traditionnelle. Selon moi les grecs s’en sortiront vite au grand étonnement et à la grande rage des servants de l’Eurocratie. C’est mon scénario préféré dans le Kinorama mondial.
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pauvre monsieur Delamarche, il commence à perdre patience dirait on, remarquez avec un tel aréopage de compétence sur le plateau, il y a de quoi grincer des dents.
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il commence à perdre patience dirait on
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Depuis des années il débat avec des ânes incapables de reconnaître leurs erreurs, ça doit commencer par lui peser....
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@Pyrathome
comme dans tout couple télévisé, il y en a un qui épluche les oignons et l’autre qui pleure
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