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La route du sud-ouest, film sur l’amour et la révolution

  La route du sud-ouest est un photo-métrage de 26 minutes réalisé en 2014 par Jean-François Brient, auteur du film documentaire de la servitude moderne. L’histoire, largement autobiographique, est centrée sur une rencontre amoureuse dans le cadre d’un groupe de révolutionnaires dans une ville d’Amérique du Sud. Mais ce photo-métrage est aussi une réflexion plus théorique sur la place de l’amour et de la révolution sous l’empire du système totalitaire marchand.

 

« Dans un monde atomisé où errent des individus narcissique en quête du plaisir immédiat, l’amour est cette force qui se constitue en résistance et en acte subversif. »

 

 Le texte et le film sont libres de droits, ils peuvent être copiés, diffusés, projetés sans la moindre forme de contrainte. Ils sont par ailleurs totalement gratuits et ne peuvent en aucun cas être vendus ou commercialisés sous quelque forme que ce soit. Il serait en effet pour le moins incohérent de proposer une marchandise qui aurait pour vocation de critiquer l’omniprésence de la marchandise. La lutte contre la propriété privée, intellectuelle ou autre, est notre force de frappe contre la domination présente.

 

 Ce film qui est diffusé en dehors de tout circuit légal ou commercial ne peut exister que grâce à l’appui de personnes qui en organisent la diffusion ou la projection. Il ne nous appartient pas, il appartient à ceux qui voudront bien s’en saisir pour le jeter dans le feu des combats.

 

Présentation du photo-métrage :

http://www.lestempsbouleverses.org/ouest.html

 

Texte du photo-métrage :

http://www.lestempsbouleverses.org/route_texte.html

 

Le photo-métrage :

 

Tags : Amérique du Sud




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5 réactions à cet article    


  • 1 vote
    Lisa Sion Lisa Sion 2 septembre 2015 13:42

    J’ai une question idiote genre MC ou B7 : c’est quand que ça sort ? bon, je sors et merci pour ce délicieux souvenir de ma jeunesse révolutionnaire.


    • 3 votes
      Jean-François Brient 2 septembre 2015 18:45

      Magnifique court-métrage, le texte est très intéressant et les images sont superbes. À consommer sans modération. Bravo !


      • vote
        Avlula 3 septembre 2015 00:52

        Très beau film, dans la forme (sauf le sponsoring Philip Morris, que c’est laid une fille qui fume...). Par contre pour le fond, étant un peu dans le sujet en ce moment (en novice mais avec une certaine éducation quand même) je trouve que vous avez tout faux et qu’effectivement "les belles choses éphémères" sont très compatibles avec ce que vous combattez politiquement. Libéraux-libertaires quoi, on enchaine la vie de servitude et les plaisirs éphémères comme vous dites, c’est parfait, c’est le monde que l’argent a construit. Dès lors, ce qui est révolutionnaire c’est de bâtir sur du long terme et du solide. De plus, l’amour ne sert pas qu’à prendre du plaisir avec quelqu’un (ça en effet c’est éphémère) mais à fonder un foyer et avoir une descendance.
        http://diktacratie.com/le-capitalisme-de-la-seduction/
        Je ne vais pas conseiller la lecture de Clouscard puisque je n’ai pas commencé, mais on dirait bien qu’il a creusé le sujet...


        • vote
          Yakaa Yakaa 3 septembre 2015 10:19

          @Avlula
          Ok pour Clouscard qui apportera un éclairage très différent et vraiment fécond au sujet du "romantisme révolutionnaire" de cette vidéo !

          Par contre quel est encore ce vieux site de conspis moisis qui empeste le consumérisme Soralien à plein nez ?

          Pour rappel, Clouscard s’était totalement désolidarisé "National Socialiste" Soral.

          "Soral se définissant à présent lui même comme "National Socialiste"...


        • vote
          Avlula 3 septembre 2015 13:54

          @Yakaa
          Qu’importe le messager. Sans Soral, aucune chance que je ne découvre Marx, Clouscard, Cousin, Proudhon, et j’en passe. Tout le monde n’a pas la chance de naitre dans un milieu politisé un minimum. J’en suis au point où je comprends et vois parfaitement ce qu’il y a à critiquer dans E&R (j’ai passé le stade où leur victimisation m’atteint et me donne l’impression qu’ils ont donc raison sur tout), n’empêche qu’ils transmettent des réflexions de tout bord qui sont des points de départ utiles.

           

          "Conspis moisis" : tu es donc déjà sûr d’avoir raison sur les conspis ? Tant mieux pour toi, mais du coup ça te rend méchant et méprisant ? Je préfère mon incertitude et ma bienveillance.



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