La Mutinerie - Entretien - Patrick et Brigitte Baronnet [Part2]
Dans cette deuxième partie, Patrick nous explique la façon dont ils se sont progressivement coupés d'EDF en utilisant les ressources de la nature.
Ils se créent leur propre énergie à partir du soleil, du vent et de la pluie, au lieu de travailler pour un salaire qui leur permettrait de l'acheter. Cela bouscule les notions de travail et de temps.
Brigitte quand à elle, insiste sur l'importance de l'éducation et de la transmission du savoir-faire, si précieux dans la quête d'autonomie. Savoir produire ses besoins est essentiel, en plus des énergies, un foyer à besoin de nourriture et d’aménagements, malheureusement ces savoirs ont été oubliés et nous les avons délégué aux géants industriels...
Nous sommes peu à peu devenus des spécialistes, le niveau d'études n'a jamais été aussi élevé mais peu de personnes savent encore aujourd'hui comment faire leur jardin, fabriquer des meubles, élever des animaux, se guérir avec les plantes etc...
Enfin, vous trouverez les conseils de Patrick, qui résident essentiellement dans le fait d'être convaincu et d'avoir la volonté de faire différemment.
A suivre, la visite du domaine !
Tags : Environnement Education Energie Témoignage
4 réactions à cet article
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Très intéressant, le concept est élémentairement évident, demandant néanmoins une prise de conscience 180° + apprentissage !...En y associant le revenu universel... ?
(je ne connais pas la législation concernant les éoliennes privées, il me semble que c’est assez restrictif...à voir)-
@le celte.
Le revenu universel ? Non, in-finançable sans rotation de la monnaie.
Dans leur exemple, je vois une bonne porte pour un monde sans utilisation de monnaie, même si eux n’ont pas encore totalement franchi le pas.
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Une monnaie non centralisée serait le meilleur moyen d’échange, mais après tout, c’est un autre débat.
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@le celte
Oui, c’est un autre débat, mais "non centralisée ou pas", elle est toujours basée sur un minimum de rareté, ce qui engendre ensuite toutes les misères (les manques) que l’on connaît.
C’est un peu dommage de rester dans ce carcan, non ?
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