L’antispécisme selon Aymeric Caron
Je n'aime pas trop Aymeric Caron, c'est une caricature gauchiste. Cependant on peut ne pas apprécier quelqu'un dans sa globalité mais reconnaître qu'il a du mérite lorsqu'il évoque certains sujets, comme celui des animaux et de leur souffrance par exemple.
Il faut reconnaître que Caron est assez performant sur le sujet et que c'est une noble cause qu'il défend contrairement à tous ses "combats" habituels.
Il arrive facilement à remettre Moix à sa place et Salamé son ancienne collègue se montre plutôt douce avec lui. Le gros bémol est le cadre télévisuel dans lequel Caron vient énoncer ses thèses, avec un Ruquier qui a tendance à faire des blagues toutes les 30 secondes ça décrédibilise le propos et fait passer cette juste cause pour un sujet de philo du bac ou pour une lubie d'un esprit illuminé.
Tags : Société Animaux Alimentation Yann Moix
58 réactions à cet article
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@maQiavel
Comme toujours... A croire qu’il est rémunéré en fonction du nombre de conneries débitées... -
L’antispécisme est la dérive prévisible du Darwinisme : refus de la réalité ; délire de naissance interstellaire ; perte de vision de la place de l’homme dans l’univers. C’est du capitalisme appliqué à la biologie (vision exclusivement matérialiste des êtres vivants). Fort heureusement, cela se soigne très bien.
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Les végétariens devraient s’inquiéter d’être représentés par une personne comme ce monsieur. il y a forcément un loup. Sauront-ils le trouver ?
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@La mouche du coche
L’antidarwinisme primaire se soigne aussi très bien : par l’instruction
Essayez ; vous y gagneriez !
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@Qamarad
LISEZ DARWIN ! ?.
Darwin a écrit : "Si ma théorie est vraie, un nombre illimité de variétés, qui serait le point commun entre toutes les espèces du même groupe, aurait sûrement dû exister. Par conséquent, la preuve de leur existence peut être trouvée seulement parmi les fossiles."
Charles Darwin, The Origin of Species : A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 179
. ?
Et qu’observons nous ? Les fouilles menées par les évolutionnistes dans l’espoir de confirmer leur théorie sont restées vaines. L’évolutionniste David Kitts, un Professeur de l’Université d’Oklahoma, admet que : "L’évolution nécessite des formes intermédiaires entre les espèces, et la paléontologie ne les a pas fournies". ( David B. Kitts, "Paleontology and Evolutionary Theory", Evolution, vol. 28, septembre 1974, p. 467 )
A ce jour, quelques 100 millions de fossiles de 250.000 espèces différentes ont été déterrés et chacun d’entre eux fournit la preuve de la création. DONC les évolutionnistes n’ont pas trouvé de preuves, DONC LA THÉORIE EST FAUSSE. Elle n’est pas scientifique mais une croyance. Désolé.
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@Qamarad
Le darwinisme primaire se soigne aussi très bien : par l’abandon de la télévision
Essayez ; vous y gagneriez !
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@La mouche du coche
Ah ! On n’a pas trouvé de formes intermédiaires ? La plus célèbre s’appelle l’archéoptéryx ... Renseignez vous. Le créationnisme est une pure croyance qui ne s’appuie sur aucune observation scientifique. -
@diogène70
L’archéoptéryx n’est plus l’ancêtre des oiseaux
On vous a menti. Tout ce qu’on vous dit sur l’évolution est faux. Les formes intermédiaires n’existent que dans votre imagination. Vous êtes dans la croyance.
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La vérité à propos de l’ancêtre imaginaire des oiseaux
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Les évolutionnistes ne font plus référence à l’Archéoptéryx comme une "forme intermédiaire" entre les reptiles et les oiseaux. Des études sur ce fossile montrent maintenant que ce n’est pas une forme de transition, mais définitivement une espèce éteinte d’oiseau, malgré certaines caractéristiques différentes de celles des espèces modernes. (Pendant de nombreuses années, le fait que l’Archéoptéryx ait des serres était considéré comme une preuve importante de son statut de forme intermédiaire. Mais l’Hoazin, un oiseau vivant encore de nos jours, possède aussi des serres et c’est un oiseau normal sous tous les angles)
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La présence d’un sternum prouve que l’Archéoptéryx avait de puissants muscles de vol, et la structure asymétrique de ses plumes, identique à celle des oiseaux modernes, montre que de toute évidence cette créature était capable de voler parfaitement.
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Caron : « oser dire aujourd’hui que l’être humain n’est pas un animal, c’est une hérésie par rapport à la raison ».
Je laisse le soin à Caron de lire la monadologie de Leibniz, ouvrage du XVIIe : l’animal, comme l’indique son étymologie, a toujours été pensé comme possédant une âme (latin : anima). L’homme a une âme, donc il est un animal. Mais c’est un animal, avec quelque chose en plus, que Leibniz appelle l’Esprit, qui est le principe de sa raison et de sa morale. Personne ne dit le contraire.
Donc là n’est pas le souci.En revanche, le souci est que Caron raisonne comme si « tout animal est un homme » : il lui prête nos émotions, nos sentiments,...etc. C’est normal, Caron, athée, ignore la notion même d’Esprit, donc il ne voit plus les particularités de l’homme. L’animal n’a ni raison, ni morale. Ainsi, loin d’ajouter à l’Animal, il retranche à l’Homme. Ceci est directement relié à son athéisme.
En vérité, l’Homme est en capacité, par son ingéniosité, d’augmenter considérablement la quantité de vie sur Terre. Il n’existerait pas autant de vaches sans l’élevage. L’Homme, grâce à l’élevage, peut ainsi moins peser sur la nature, ce qui permet de préserver une partie de la vie sauvage. Aucun animal n’a cette faculté. Un animal, pour se nourrir, pourrait ravager tout son milieu, sans que cela ne le gène. Au moins l’Homme a-t-il cette faculté de s’en soucier.
Maintenant, on peut aussi discuter du régime alimentaire en Europe. Il est vrai que nous consommons beaucoup de Viande. C’est traditionnel. Tous les ans, l’Europe traverse un long hiver, où aucune plante ne pousse. Ainsi, avant l’invention des transports intercontinentaux, avant l’invention des boites de conserves, les seules réserves de nourritures disponibles en Europe se trouvaient dans l’animal. D’où nos traditions. En Afrique, où les plantes poussent toute l’année, où les eaux chaudes des rivières regorgent de Poisson, le régime alimentaire comporte beaucoup moins de viande.-
@ffi
Comme quoi on peut ne pas être d’accord avec Caron et dire autant d’âneries que Leibnitz par exemple *
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@ffi
Et les milliers d’espèces qui disparaîssent à cause de l’homme, on en parle FFI ? Les abeilles seront peut être les prochaines et sans abeilles ou équivalent, game over pour le puissant homme qui s’est soumis à un outil contre nature qui se nomme fric, et ça ne pousse pas ni sur les arbres, ni dans la terre mère.----
L’homme est un animal qui vit dans un environnement sur qui la vie s’étend partout, la nature ayant horreur du vide mais n’est pas parfaite, occupe tous les milieux, l’intelligence dont on est tous issus, de la moindre bactérie à nous, soit disant évolués, prévoit d’engendrer une espèce capable d’étendre la vie au delà de notre pot de terre périssable, elle a encore le temps puisqu’elle compte en milliards d’années, nous comptons à l’échelle d’une vie humaine ou tout au plus en quelques centaines de milliers d’années, pour les archéologues et les anthropocentrés qui se regardent le nombril, l’homme n’est qu’une étape qui évoluera probablement vers du bionique ou nanotechnologique, le fameux humain augmenté et à terme, cyborg ou transhumanisme pour être capable, quand il aura fini de jouer au con pour quelques dollars ou euros, voire quelques territoires éphémères et fini de faire joujou avec des idéologies de bac à sable comme les religions ou les régimes politiques de transporter le vivant sur des terres habitables qui nous semblent innatteignables en l’instant, comme il était inimaginable de penser internet il y a quelques décennies, le téléphone portable il y a à peine 30 ans, le moteur à explosion il y a 2 siècles, les avions les vitesses de voyages, d’informations, de migrations et ainsi de suite, voilà à quoi servent les animaux que nous sommes, à être des jardiniers potentiels intersidéraux à terme, car la nature dont nous sommes issus fonctionne sur le principe d’expansion et de survie.
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D’ailleurs chacune de nos éjaculations dont nous sommes nés, ne regarde pas à la dépense pour un seul individu viable, nous n’échappons pas à cette règle même si nous avons tenté de fuir ces réalités car nous avons trop peur de mourir puisque nous en avons vraiment conscience, ce qui n’est peut être pas le cas des autres espèces, ce que je dis est valable pour le monde animal, bactérien, végétal voire même minéral.
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Tout le reste n’est que littérature pour adolescents mal finis, ce qui est l’âge bête dans lequel se situe l’humanité dans sa quasi généralité à l’instant où j’écris ces lignes et ce, depuis près de 100000 ans et les premières traces d’écritures archéologiques, au minimum, jusqu’à sa complète disparition au cas où à force de jouer avec le feu et les allumettes les adolescents que nous sommes crament la barraque et game over pour toute vie, ou retour à l’âge de pierre pour un nouveau round avec les survivants du cataclysme, à moins d’avoir une petite chance d’évoluer vers une forme de sagesse, mais bien des résultats de mariages entre spermatozoïdes et ovules crèveront sans même avoir compris à quel jeu ils jouaient vraiment, juste le temps de se rêver roi du monde de leur quartier, l’espace d’une respiration cosmique, ou cosmétique pour certaines poufiasses à la Nabilla.
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@’Ma Caron
Respirez-mon cher, les points ce n’est pas fait pour rien... Mais vous évoquez ici une foi religieuse, une métaphysique, à laquelle je n’adhère pas.
Vous aviez dit : « L’homme est un animal qui vit dans un environnement sur qui la vie s’étend partout, la nature ayant horreur du vide mais n’est pas parfaite, occupe tous les milieux, l’intelligence dont on est tous issus, de la moindre bactérie à nous, soit disant évolués, prévoit d’engendrer une espèce capable d’étendre la vie au delà de notre pot de terre périssable, elle a encore le temps puisqu’elle compte en milliards d’années, nous comptons à l’échelle d’une vie humaine ou tout au plus en quelques centaines de milliers d’années, pour les archéologues et les anthropocentrés qui se regardent le nombril, l’homme n’est qu’une étape qui évoluera probablement vers du bionique ou nanotechnologique, le fameux humain augmenté et à terme, cyborg ou transhumanisme pour être capable, quand il aura fini de jouer au con pour quelques dollars ou euros, voire quelques territoires éphémères et fini de faire joujou avec des idéologies de bac à sable comme les religions ou les régimes politiques de transporter le vivant sur des terres habitables qui nous semblent innatteignables en l’instant, comme il était inimaginable de penser internet il y a quelques décennies, le téléphone portable il y a à peine 30 ans, le moteur à explosion il y a 2 siècles, les avions les vitesses de voyages, d’informations, de migrations et ainsi de suite, voilà à quoi servent les animaux que nous sommes, à être des jardiniers potentiels intersidéraux à terme, car la nature dont nous sommes issus fonctionne sur le principe d’expansion et de survie. »
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@ffi
C’est mon analyse globale du sens de la vie, ni une foi religieuse ni forcément une métaphysique, ce n’est que mon avis, ni plus ni moins, et je ne vois pas en quoi, vu vers ce à quoi tend l’évolution humaine, cette vision serait erronnée, il me semble que cette théorie vaut bien allah ou dieu. -
@pegase
Je te remercie de boycotter le frontline et d’opter pour des solutions mécaniques.
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@ffi
En vérité, l’Homme est en capacité, par son ingéniosité, d’augmenter considérablement la quantité de vie sur Terre. Il n’existerait pas autant de vaches sans l’élevage..
Faudrait aller interviewer les habitantes des fameuses fermes dites de milliers de vaches qui ne voient pas un brin d’herbe de leur existence confortable, j’imagine, parquée dans des trucs artificiels jusqu’à la lumière qui remplace celle du soleil pour se faire une idée de la fooooooormidable capacité et de la magniiiiiiiiiiifique ingéniosité de l’homme pour faire des steaks hachés servis dans des fast foods, pour avoir une idée plus précise de la question. Après tout, ne sont elles pas les premières concernées pour en parler ? Si elles le pouvaient ? L’informatique du génie remarquable de l’homme arrivera bien un jour à traduire un innocent meuh qui signifie dans son sens premier un gigantesque fuck you à la face de cet imbécile qu’est l’humain, après tout. Imbécile car massacrant le vivant à son seul profit sans même essayer de le comprendre, mais ceci est un autre débat. Je pense que les pires nuisibles de la planète, n’ont pour l’heure, au sens moral, rien à nous envier, de toutes façons, le secret du vivant réside dans sa capacité d’adaptation à son milieu, le reste est destiné aux poubelles biologiques, ça fait un paquet de monde.
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@’Ma Caron " @ffi Et les milliers d’espèces qui disparaîssent à cause de l’homme, on en parle FFI ? "
Si on arrête de manger de la viande en France, les espèces bovines (ou autres) ne seront pas protégées, bien au contraire, elles disparaîtront parce que ce sont des espèce crées par l’homme à partir du bison d’Europe. Les paysages ne seront plus entretenu, les broussailles s’installeront sur le flanc de montagnes, le cultures n’auront plus d’engrais naturels.
Dans les fermes d’élevage normales où les vaches et les moutons se nourrissent d’herbe, où les cochons se nourrissent de glands ou de châtaignes, où les poules et les canards picorent des les prairies, où les lapins courent dans des garennes, les animaux sont très heureux et la nature est parfaitement protégée.
Il faut combattre l’agriculture industrielle, l’élevage hors sol, le forçage des terres, la hauts rendements, la spécialisation, pas l’agriculture traditionnelle, extensive, combinant polyculture et élevage.
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ne faire aucune discrimination entre les espèces c’est beau comme une catastrophe intellectuelle
mais ça risque de donner des résultats surprenants :
a quand un procès pour génocide envers les bactérie contre les laboratoires pharmaceutiques ?
a l’inverse si les lions ont le droit de tuer des gazelles pourquoi les chasseurs n’auraient pas le droit de tuer des faisants ( ou des vaches ) .....
c’est de la discrimination ! ( les hommes étant des animaux comme les autres ils n’ont ni plus ni moins le droit de tuer que les autres ....a moins de convaincre les lions de devenir végétariens ...( ça va pas être simple ) ou de les mettre en prisonpourquoi cette discrimination envers les humains ?
on n’est pas rendus .....ou comment une attitude compassionnelle devient une fois passée dans le filtre de la pensée occidentale une immonde connerie
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Vous aussi, sur le sujet, comme les intervenants plus haut, vous volez au ras des pâquerettes.
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@Marioupol
c’est un peu courtj’ai été en inde et j’ai vécu quelques années dans un centre de méditation végétarien le végétarisme je connais et je sais que dans ce milieu aussi il y a des intégristes ( et je ne parle pas des jaïns qui n’emmerdent personne )
le véganisme, l’antispécisme ou ce que vous voudrez c’est de l’intégrisme et comme tous les intégrismes c’est une maladie des boyaux de la tête .......suivez mon regard
si vous n’êtes pas en mesure de comprendre ce dont je parle :
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2016/04/12/vegetarien-il-veut-stopper-les-abattoirs
il faudrait prendre du recul d’urgence et arrêter les conneries avant que ça dégénère
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Ce sujet, les animaux, est le plus mal argumenté qui soit. On peut le noter à chaque fois qu’un article lui est consacré. Pour ce qui me concerne je préfère ne plus donner mon avis, tellement vous foutez la honte à chacune de vos interventions.
Par abbatoir 5 .
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Caron n’est pas le sujet (on s’en fout de ce qu’il est : con, de mauvaise fois, gauchiste ou je ne sais quoi)
Le fait est que la relation à l’animal est (comme tout le reste) complètement déformée et pervertie à notre époque. Par exemple, la plupart des gens ne pourraient pas manger de viande en ayant pleine conscience de la manière dont la viande est arrivée dans leur assiette depuis la naissance de l’animal. Manger un animal, c’est manger aussi tout ce qui est arrivé à l’animal, tout ce qu’on lui a fait, tout ce qu’il a ressenti dans son existence. Quand vous absorbez un morceau de viande, vous mettez votre organisme au niveau des vibrations du centre d’élevage et de l’abattoir. Le chasseur mange la forêt du sanglier en mangeant le sanglier, le consommateur de jambon industriel mange bien autre chose. Ces choses là ne sont pas abstraites. Ensuite les gens tombent malades ou sont déprimés et se demandent pourquoi.-
@Qaspard Delanuit
Il m’arrive la même sensation quand je bois vos paroles
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@Qaspard Delanuit
"Manger un animal, c’est manger aussi tout ce qui est arrivé à l’animal, tout ce qu’on lui a fait, tout ce qu’il a ressenti dans son existence.""Quand vous absorbez un morceau de viande, vous mettez votre organisme au niveau des vibrations du centre d’élevage et de l’abattoir."
"Le chasseur mange la forêt du sanglier en mangeant le sanglier"
"Ces choses là ne sont pas abstraites. Ensuite les gens tombent malades ou sont déprimés et se demandent pourquoi."
Et avec les végétaux ça marche aussi ?
Manger une salade impitoyablement arrachée de sa terre natale ou vivait toutes ses copines laitues : cause de dépression
Manger une courgette qui passait des nuits cernée par des limaces : puissant anxiogène, la courgette maltraitée est une des principale cause de suicide chez les végétariens.
Les légumes qui ont poussés dans le compost des toilettes sèches absorbent les vibrations du gigot douteux et les restituent à la puissance 10 .........
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@jean mouche
Ma sagesse ayant mûri dans les forêts profondes où je vais méditer en position du lotus sous les cascades, boire mes paroles devrait vous évoquer la fraîcheur vitalisante du torrent cosmique qui transporte la lumière sidérale jusqu’aux douces vallées fleuries de la terre.
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@lupus
"Et avec les végétaux ça marche aussi ?"
Sans doute mais c’est plus difficile de savoir ce que les plantes ressentent (rien, douleur ou jouissance ?) En tout cas, les fruits sont faits par l’arbre pour être cueillis et mangés puisque c’est ainsi que le monde végétal se reproduit (dispersion des noyaux et pépins). Peut-être que le monde végétal n’individualise pas ses perceptions mais qu’il y a un esprit du jardin, un esprit de la forêt ou un esprit des cerisiers...
"Les légumes qui ont poussé dans le compost des toilettes sèches absorbent les vibrations du gigot douteux."
Précisément, les déjections carnivores ne font pas de bon composts (le fumier de cheval est meilleur que la crotte de chien)
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@Qaspard Delanuit
Sympa la forêt profonde, la connexion est bonne, attention tout de même a pas vous électrocuter avec votre clavier sous la cascade.
C’est la "force de l’esprit" votre truc, un poster de l’Amazonie dans une petite salle de bain.
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@jean mouche
"attention tout de même a pas vous électrocuter avec votre clavier sous la cascade."Pas besoin de clavier ni de réseau, je suis relié au forum par télépathie.
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@Qaspard Delanuit
si si on peut savoir ce que les plantes ressentent ! quand une plante est attaquée les voisines stressent et modifient leur composition chimique ( voir entre autre ce que raconte lyall watson a ce sujet ) je repasse plus tard vous narrer une petite aventure perso ...... -
@gaijin
Ce n’est pas parce qu’il y a de la sensibilité dans le végétal que cela signifie que chaque brin d’herbe de la pelouse ressent individuellement quelque chose (et donc ça revient à ce que je disais plus haut). Si nous ne voyions que les doigts d’une main sans la main et sans la personne qui possède cette main, nous pourrions croire que chaque doigt ressent quelque chose individuellement (quand on le brûle ou le caresse) et communique cela aux autres doigts. En réalité, il y a de la sensibilité dans le doigt mais ce n’est pas le doigt qui ressent. C’est l’homme.
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La question qui reste est de savoir si Caron, au bout d’une semaine sans manger avec un véritable estomac dans les tallons, refuse toujours les deux tranches de jambon sous cellophane du frigo avec le même processus de pensée ?
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@yoananda,
Viandars ? Tu n’as pas la dentition d’un bovin, tu as des canines, ce qui signifie que tu es omnivore : tu es donc une viandarde partielle qui s’ignore... Et c’est ton droit. La déviance ne situe pas seulement dans la sur-consommation de bidoche et les manoeuvres de l’industrie alimentaire depuis les 30 dernières années qui l’accompagnent où l’on atteint une situation pornographique de la mal bouffe, elle serait également dans le déni de la nature humaine et surtout de vouloir "antropomorphiser" l’animal, lui prêter une nature humaine ; (le contraire ne signifie pas nécessairement faire abnégation de la souffrance de l’animal ou ne pas le respecter, seulement le situer dans son juste milieu).
Caron en présenterai presque un trouble, traumatisé, il vit et projette une souffrance sur le monde animal comme si, lui même, en avait été victime. (A-t-il été abusé enfant ? beaucoup de végétariennes le sont devenus suite à un viol par exemple)
Durant des siècle ce pays à tuer le cochon (hard), ça n’est plus le béret et la baguette pour représenter un français mais le saucisson et le pinard... Son discours - et je raccourci vraiment - un est discours de mondialiste. Notre identité se base également sur notre mode culinaire : dis-moi ce que tu cuisines et comment tu le cuisines, je te dirai qui tu es. En France par exemple, nous avons un vrai savoir faire pour le fois gras, les USA ont parfaitement compris qu’en tentant de supprimer cette référence alimentaire, ils supprimait une part d’identité . Ils te pondent des pétition à l’encontre des élevages de canards mais ne s’inquiètent pas de leur batteries de volailles bien plus sordides dégueulasses destinées aux fast foods ou des millions de tonnes de bouffes jetées propres à la consommation par an. Maintenant, personne n’oblige qui que ce soit à se taper une entrecôte... -
@berphi
"beaucoup de végétariennes le sont devenus suite à un viol par exemple."De quel ciel improbable tombe cette affirmation baroque ??
Ce qui est beaucoup plus évident, c’est que presque tous les végétariens ont choisi de l’être alors que presque tous les autres ne se sont jamais posé de question sur la légitimité de manger de la chair d’un animal élevé et tué pour cela et se contentent de reproduire une habitude acquise dans la petite enfance sans y réfléchir.
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@berphi
"La question qui reste est de savoir si Caron, au bout d’une semaine sans manger avec un véritable estomac dans les tallons, refuse toujours les deux tranches de jambon sous cellophane du frigo avec le même processus de pensée ?"On ne peut pas nier le choix que fait une personne en la plaçant par hypothèse dans une situation imaginaire où le choix ne lui serait plus possible. C’est absurde.
Dans une situation extrême, on peut boire son urine, mâcher le cuir d’une chaussure ou manger la chair de son ami décédé. Et alors ? Cela ne veut pas dire qu’on ferait de ces pratiques des comportements ordinaires ni qu’on chercherait à les justifier et les promouvoir en dehors d’une situation tragique ne laissant aucune alternative.
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@Qaspard Delanuit
De quel ciel improbable tombe cette affirmation baroque ??
Du témoignage de femmes violées qui n’ont rien de baroque... et qui ne le sont pas toujours restées (végétariennes). C’est un fait et ça n’a rien d’improbable. (en revanche, je retire" beaucoup") Notre alimentation ne relève pas du questionnement ou de l’esprit mais de l’instinct, notre dentition est là pour nous le rappeler.
presque tous les autres ne se sont jamais posé de question sur la légitimité de manger de la chair d’un animal élevé et tué pour cela et se contentent de reproduire une habitude acquise dans la petite enfance sans y réfléchir.
Heu... Cela fait 15 000 ans que l’homme élève et tue pour se nourrir.
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@berphi
"Notre alimentation ne relève pas du questionnement ou de l’esprit mais de l’instinct, notre dentition est là pour nous le rappeler."Végétarien strict depuis plus de 30 ans, je connais ces questions par coeur. Mais rappelez-nous ce que la denture humaine est censée nous rappeler, si vous y tenez.
(Petit détail : il s’agit de la "denture", pas de la "dentition". http://amourdelalanguefrancaise.blogspirit.com/archive/2012/07/08/dentition -et-denture.html )
Sans doute que nous sommes des tueurs nés à cause de nos dents et que nous n’y pouvons rien. Ah misère ! Nos doigts sont aussi fait pour étrangler le cou de nos ennemis, comme le prouve le schéma N°2 du professeur Mormoilneu. Notre pénis étant le même que celui des singes violeurs de la vallée du Sarkoladanlku, il faut aussi en tirer les conséquences et ne pas contrarier la nature.
"Cela fait 15 000 ans que l’homme élève et tue pour se nourrir."
Et il ne s’en lasse pas depuis tout ce temps ? Franchement, cette phrase ne dit rien de précis. La prétendriez-vous prescriptive ? Je peux en faire aussi : cela fait 150 000 ans que l’homme viole et assassine. Cette phrase est aussi imprécise, ni vraie ni fausse.
En réalité, la consommation de viande est très variable d’un endroit à un autre : l’homme s’adapte à son environnement. Et puis les plus anciennes habitudes trouvent un jour leur fin, l’esclavage par exemple.
Bon, soyons un peu sérieux. De quoi parle-t’on en fait ? De reconnaître 3 choses :
1. Que l’animal n’est pas seulement un produit mais d’abord un être, avec une sensibilité qui est parfois très proche de la nôtre, par exemple en ce qui concerne l’instinct maternel des mammifères, ainsi que la souffrance physique (franchement, est-ce si difficile de reconnaître ça ??)
2. Que la consommation de viande n’est pas indispensable, DE FAIT. En effet, puisqu’il existe des familles végétariennes depuis plusieurs générations, de grands sportifs végétariens et de grands génies des arts et des sciences végétariens, il est donc POSSIBLE pour certains êtres humains de s’abstenir de toute chair animal.
3. Que l’on peut continuer à manger de la viande si l’on y tient vraiment, mais qu’il ne faut pas dire qu’on le fait parce qu’on y est obligé (cela n’est pas vrai) et qu’alors il vaudrait mieux quand même en manger beaucoup moins (une ou deux fois par semaine), de meilleur qualité et venant d’un animal qui durant son existence et au cours de son abattage a le moins possible souffert.
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@Qaspard Delanuit
Bonjour. Je reconnais les trois choses qui terminent votre commentaire, mais j’y apporterais quelques nuances. ( Merci pour la numérotation)
1. Oui l’animal est un être qui souffre, avec un instinct maternel et un regard plein de profondeur. Me croirez-vous, je suis plus ému par le spectacle d’une vache léchant seule son petit veau nouveau né que par la puéricultrice qui baigne mon propre enfant nouveau né déjà bagué. La question à se poser, c’est pourquoi souffre-t-on ?
Vous, moi, les bêtes et les bestioles nous souffrons pour apprendre des situations pénibles, et ainsi nous perfectionner. La souffrance et la peur de la souffrance est un moteur pour s’améliorer.
Est-il souhaitable de souffrir ? oui, pour la même raison.
Est-il souhaitable de faire souffrir ? par pur sadisme non, mais lorsqu’on fait souffrir quelqu’un involontairement, c’est souvent salvateur pour cette personne.
Donc, les animaux domestiques n’ont qu’à s’enfuir eux même, ce qui arrive assez souvent en fait : Les cochongliers et les sanglichons par exemple, ou quelques vaches d’un collègue en 2014 qui passèrent plusieurs semaines dans les fôrets, et mes propres abeilles qui d’avril à mai ne pensent qu’à se faire la malle, ou encore mon chat qui a parfois fugué...
2. Tout les "supers-végétariens" que vous citez m’éblouissent, mais en tant que travailleur de force, 2000 à 3000 calories dépensées par jour ( 3000 pas si souvent, mais ça arrive. Plus de 3000 cal c’est chez le bûcheron, ou le mineur de fond) je ne veux pas me passer de viande, je pourrais mais l’habitude l’emporte, le "terroir" l’emporte, la commensalité l’emporte. Je suis un animal social, donc je broute avec le troupeau. Les sportifs ne comptent pas, ils viennent d’une autre planète avec leurs accoutrements fluorescents, chatoyants et moulants.
3. On est d’accord et je vous remercie, maître, de nous autoriser, nous, hommes de fer, de nous avilir en grignotant des animaux sensibles aux cils si longs. La dernière fois vous me répondiez que les petits producteurs locaux et artisanaux était une illusion.
Car si je me souviens bien, il faut nourrir la planète ! argument détestable qui a mis des menottes aux paysans et leur a fait produire de la grosse merde depuis 50 ans. Les paysans vivent bien pendant les pénuries, c’est complètement con de surproduire. C’est outrancier comme vous dîtes parfois.
Perso je serais pour que les "omnivores" travaillent à tour de rôle dans les abattoirs.
Et je crois aussi que sur le temps long (quelques millénaire), les animaux domestiques s’émanciperont et se de-domestiqueront.
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@jean mouche
"en tant que travailleur de force, 2000 à 3000 calories dépensées par jour ( 3000 pas si souvent, mais ça arrive. Plus de 3000 cal c’est chez le bûcheron, ou le mineur de fond) je ne veux pas me passer de viande"Heuuu, je ne ne vois pas ce que les besoins en calories viennent faire ici. Le pain contient presque 2 fois plus de calories qu’un pièce de boeuf du même poids.
Valeur pour 100 grammes de viande de boeuf : Calories 143
Valeur pour 100 grammes de pain : Calories 265
Et le miel encore plus ! (300)
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@Qaspard Delanuit,
Le fait de tuer une poule (devant ses copines qui n’en profitent pas pour foutre le camp.. Pourquoi ne cassent-elles pas de la ferme des horreurs, elles y vivent en liberté ? POURQUOI ? Parce que ce sont des êtres sensibles et tellement proche de nous qu’elles sont SM !).
Mais vous avez raison, soyons sérieux. Disons que les méthodes employées par les autres prédateurs sont bien plus cruelles que celles exercées par l’homme. Si nous ne les mangeons pas, d’autres s’en chargeront en se contrefoutant de savoir si elle a des petits, un mec, que sais-je ?. Observez des hyènes à l’ouvrage, elles n’attendent pas, comme le lion par ex, que la proie soit morte pour la dévorer (dévorer n’est pas manger ^^), elles commence le gueuleton alors que la proie est encore vivante (ça n’a rien de baroque, c’est une réalité).
1) Certains animaux ont une sensibilité proche de la notre me paraît plus juste.
2) Les protéines animales ne sont pas contraire à l’équilibre alimentaire.
3) Il ne s’agit pas d’être ou non obligé, il s’agit de savoir si notre organisme est adapté à cette alimentation. Elle l’est, parce que notre DENTURE nous l’autorise.
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