Dans tout ce qui a été conçu, imaginé, inventé, rapporté, pour tenter de démolir Trump, il ne s’est pas trouvé un(e) seul(e) ancien(ne) salarié(e) pour venir le dépeindre en tyran, en exploiteur, en esclavagiste.,. Bien peu l’ont remarqué cette "carence" de la propagande clintonienne..
Et, dans l’édition de Libération d’aujourd’hui, on lit sous la plume d’un envoyé spécial dans l’Amérique profonde, d’un quotidien peu suspect trumpisme :
« Cette ville (Wilkes-Barre, en Pennsylvanie) a
besoin d’emplois, résume Bob. Ce pays a besoin de se remettre au travail.
Il faut reconstruire les routes, les ponts. »
« C’est vrai que ceux de Wilkes-Barre tirent la tronche. « Beaucoup de gens sous-estiment
l’intelligence de Trump. On ne peut pas être idiot quand on a autant réussi
dans sa vie, pas vrai ? »
« Les propos trash du
républicain sont un non-sujet. « Il n’a pas dit des
choses si horribles. Et puis, vous savez, il a embauché plein de Noirs, plein
de femmes. Et il les paie bien. »
Pour n’avoir jamais entendu, ni lu, le contraire de la part des détracteurs du président élu, je suis bien obligé de tenir ce témoignage pour fiable. Les démocrates ne l’auraient pas loupé s’il avait été vulnérable sur le plan social.