« Les riches adorent la dette publique ! »
On nous culpabilise avec la dette mais on ne devrait pas. La dette est un refuge pour l'argent des riches ne sachant que faire de leur argent.
Tags : Economie Monnaie Dette Emmanuel Todd Polémique Finance
9 réactions à cet article
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1 000 000 de personnes de langue française sont renseignées sur la dette publique.
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La dette n’est même pas un refuge. Les riches ne veulent aucunement dépenser leur argent. Ils veulent créer de l’argent. Seul l’argent créé leur sert.
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@yoananda
M. todd ne fait que répéter ce qu’Etienne Chouard a parfaitement expliqué depuis des années. -
@La mouche du coche
Étienne Chouard est un peu compliqué sur l’explication. Il n’a séduit que ceux qui avaient déjà compris. C’est Monsieur Quelques minutes, repris par Gabriel Rabhi, qui a permis de démocratiser la monnaie publique. -
@yoananda
"pour créer de l’argent, il suffit de faire un emprunt !"
Ahhh enfin...
Donc on est d’accord, si on n’emprunte plus, plus de création monétaire.
Et si on rembourse en totalité la dette il n’y aura plus assez de monnaie en circulation pour que l’économie fonctionne correctement.
C’est l’arnaque de l’argent-dette. On doit s’endetter avec un taux d’usure (qui va dans le poche des plus riches) pour faire tourner la machine : L’esclavage moderne par la dette !
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@La mouche du coche
"M. todd ne fait que répéter ce qu’Etienne Chouard a parfaitement expliqué depuis des années."
Ou inversement...
Source Wikipédia :
L’Illusion économique : Essai sur la stagnation des sociétés développées, Paris, Gallimard, 1998 (ISBN 2-07-041058-7). Publié en allemand sous le titre Die neoliberale Illusion : über die Stagnation der entwickelten Gesellschaften (1999) et en italien (trad. par Giovanni Negro) en 2004.
ContenuL’analyse de Todd ne se veut pas économique, mais « culturelle, sociale, démographique, anthropologique »1.
Dans cet essai, Todd tente de démontrer qu’aux différents modèles familiaux correspondent des types de capitalisme distincts. Un contraste se dessine surtout entre le capitalisme anglo-saxon, individualiste, consumériste et structurellement importateur, et le capitalisme des pays à famille souche, allemand, suédois, japonais ou coréen, collectiviste, productiviste et structurellement exportateur. Il y fait notamment le diagnostic d’une baisse tendancielle de la demande dans les pays riches.
Le concept clé du livre porte sur la distinction entre famille « souche » et famille atomique ou moléculaire ou « nucléaire absolue », l’auteur utilise les différentes expressions, entraînant la création de deux capitalismes, le capitalisme souche et le capitalisme individualiste (essentiellement anglo-saxon). L’euro en voulant donner une même monnaie à des peuples ayant des structures ethnographiques opposées serait voué à l’échec. Inversement une zone monétaire optimale serait une zone où les structures familiales sont relativement homogènes, qu’elles soient « souche » ou atomique2.
Selon Todd, la France aurait été « décontractée dans sa gestion monétaire jusqu’au début des années 1980 » avant d’adopter un modèle d’Europe centrale, affirmation qui contredit une grande partie de l’histoire monétaire française (très conservatrice jusqu’en 1934)3.
Le livre est reçu globalement positivement par la critique qui note néanmoins son caractère parfois « excessif », « de mauvaise foi » et ses raccourcis1
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@CoolDude
« excessif », « de mauvaise foi » sont les maux de ce livre et voici pourquoi il convient de s’en écarter si l’on est sérieux. -
1 000 000 de personnes de langue française sont renseignées sur la dette publique.
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« Les riches adorent la dette publique ! »
C’est clair ! Il y a 20 ans que je le dis.
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