’Les gens sont-ils trop cons ?’ – La réponse d’Étienne Chouard

Bonjour,
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"Les gens sont-ils trop cons ?"
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Je trouve intéressant quand Étienne Chouard dit, vers la fin de la vidéo, que les antifas lui reprochent de distinguer le racisme et le fascisme.
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Quand on dit « le fascisme, c’est le racisme », on nous détourne et on ne peut plus se battre contre les banques, le système, l’oligarchie financière, la classe dominante, ...
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Je suis d’accord avec Etienne Chouard, et comme lui je ne me laisse pas faire ! Dans mon esprit, le fascisme, ce n’est pas le racisme ou l’antisémitisme.
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Étienne nous livre ainsi un élément clé...car le racisme et le fascisme sont un binôme inséparable au service des classes dominantes européennes, voire mondiales !
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Il faut savoir que les antifas sont des serviteurs du système, pro-mondialistes, pro-européens, ils sont des serviteurs des classes dominantes !
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Étienne Chouard poursuit :

Le fait de distinguer le racisme et le fascisme
"C’est un point de division. Les résistants au projet des dominations sont séparé par le l’idée du racisme. Il y d’un coté les anti-racistes et des racistes de l’autre et on est plus capable de résister à l’empire et on est devenue faible."
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Le néolibéralisme est un fascisme.
Le temps des précautions oratoires est révolu ; il convient de nommer les choses pour permettre la préparation d’une réaction démocrate concertée.
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Quelques extraits d’un article permettant de mieux comprendre ce que Etienne dit vers la fin de la vidéo :
source : https://www.les-crises.fr/le-neoliberalisme-est-un-fascisme-par-manuela-cadelli/
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C’est Manuela Cadelli, présidente de l’Association syndicale des magistrats en Belgique qui dit :

Le néolibéralisme est cet économisme total qui frappe chaque sphère de nos sociétés et chaque instant de notre époque. C’est un extrémisme.
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Le fascisme se définit comme l’assujettissement de toutes les composantes de l’État à une idéologie totalitaire et nihiliste.
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Je prétends que le néolibéralisme est un fascisme car l’économie a proprement assujetti les gouvernements des pays démocratiques mais aussi chaque parcelle de notre réflexion. L’État est maintenant au service de l’économie et de la finance qui le traitent en subordonné et lui commandent jusqu’à la mise en péril du bien commun.
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L’austérité voulue par les milieux financiers est devenue une valeur supérieure qui remplace la politique. Faire des économies évite la poursuite de tout autre objectif public. Le principe de l’orthodoxie budgétaire va jusqu’à prétendre s’inscrire dans la Constitution des États. La notion de service public est ridiculisée.
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Le nihilisme qui s’en déduit a permis de congédier l’universalisme et les valeurs humanistes les plus évidentes : solidarité, fraternité, intégration et respect de tous et des différences. Même la théorie économique classique n’y trouve plus son compte : le travail était auparavant un élément de la demande, et les travailleurs étaient respectés dans cette mesure ; la finance internationale en a fait une simple variable d’ajustement.
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Cela devrait, aux lecteurs de cet "article", mieux faire comprendre la réponse d’Étienne à la question "Les gens sont-ils trop cons ?"
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Le fait d’associer les des deux mots fascisme et racisme par les élites et les grands médias (en possession de l’oligarchie financière), leur permet de semer la confusion dans la population, des gens qu’ils prennent pour "CONS"... beaucoup de gens ont du mal d’employer les bons mots pour décrire ce qui se passe réellement, ils sont embrouille et entraine dans la confusion....confusion voulu par l’oligarchie financière pour mieux régner sur le monde, pour mieux régner sur nous.
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L’association des mots désignant deux choses bien distinctes est une "mode" chez les "élites" pour mieux tirer leur ficelles : Un autre exemple :
Les sionistes s’emploient de faire l’amalgame entre les deux termes anti-sionistes et antisémites. Tout personne qui critique ainsi la politique de l’état d’israël est ainsi traité d’antisémite !!!!!
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Un autre exemple de détournement du sens d’un mot est le terme Démocratie mot grec qui signifie :
Demos = le peuple
Kratos = le pouvoir
or les grands merdias nous font croire que nous vivons en démocratie hors nous ne vivons en réalité pas en démocratie mais en ploutocratie ... encore un mot d’origine grec qui signifie :
Plutos = richesse (les riches)
Kratos = le pouvoir
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L’oligarchie s’emploie, malheureusement avec succès, de changer le sens des mots ... d’embrouiller les esprits ... des gens qui sont rééduqué pour devenir "CONS" ... MERCI aux GRANDS MERDIAS !