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Bertrand

Bertrand

Militant politique, repenti d’une business school. Je trouve que les ordinateurs ont une faculté incroyable à nous déshumaniser. Comme disait Thomas Sankara, "la patrie ou la mort, nous vaincrons !"

Tableau de bord

  • Premier article le 17/10/2008
  • Modérateur depuis le 11/10/2010
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    Bertrand Bertrand 12 octobre 2010 18:28

    Parce qu’ils savent que le système est fini, qu’ils sont vus et qu’ils sont écoutés ! On va quand même pas faire l’éloge de l’inaction en temps de crise, non ?



  • 1 vote
    Bertrand Bertrand 12 octobre 2010 13:30

    J’étais à la réunion du CRREA et ce que j’ai vu ne m’a pas inspiré à l’action. Lordon (brillant) comme Jorion et Ngoc ont très bien décrit le système mais n’ont donner aucune piste pour en sortir. A chaque fois que la question de quoi faire est venu de la salle, ils n’avaient rien à répondre que de prolonger leurs analyses jusqu’à décrire des catastrophes. Il est clair que ces types, aussi utiles soient-ils à titre pédagogique, sont absolument piégés mentalement dans la logique du système, ce qui expliquerai qu’il sont incapable de nous montrer la sortie de secours.

    Et la manière dont Lordon s’est précipité samedi pour descendre la question de la mise en faillite des spéculateurs ne fait que confirmer mon hypothèse.

    Le principe de la loi Glass-Steagall de 1933, repris par le gouvernement provisoire dans la loi du 2 décembre 1945 établit une stricte séparation entre banques d’affaire et de dépôt. Sur la base de cette séparation, l’autorité publique, avec l’autorité de la loi et de l’opinion, doit envoyer une armée d’experts comptables et juridiques pour investiguer les comptes des banques. Dès lors, il s’agit de trier les dettes liées à l’économie réelle pour les loger dans les banques de dépôt assainie et sécurisée et de laisser mourrir le reste. Ce système bancaire tout neuf sera intégrer à une politique de crédit public dans laquelle le gouvernement oriente le crédit privé vers les secteurs jugé stratégique pour un Plan basé sur la science, les infrastructures et les services humains.

    C’est sûr que ca se fait pas d’un coup de baguette magique : il faut se battre pour cela, et un type comme Lordon me semble plus enclin à briller en société (sur un créneau "décalé") que de mener ce combat.



  • vote
    Bertrand Bertrand 12 octobre 2010 12:04

    Des "bank run" ont eut lieu dans l’histoire et ça n’a jamais été pacifique ou sans conséquence sur la vie des gens (Argentine 2001 ou USA 1929). Bon là c’est différent si c’est un mouvement volontaire, à condition qu’il y ai une revendication ambitieuse derrière, à savoir exiger le rétablissement d’un système de crédit public comparable à celui mis en place par le CNR en 1945 et perdura jusqu’en 1973 (séparation bancaire et émission de crédit public).



  • vote
    Bertrand Bertrand 11 octobre 2010 17:07

    S’unir contre quelque chose, on a vu ce que ça a fait en 2005 avec le TCE : aucun suivi car aucun débat sur les solutions et l’avenir.

    Je ne crois pas en une union telle que décrite ici, car elle ne serait qu’électoraliste. Par contre, NDA, au non de la rupture gaulliste avec cette droite corrompue, Mélanchon et le PCF, au nom de la gauche et du socialisme français qui firent le Front pop, et Cheminade, qui avait annoncé la crise dans les présidentielle de 1995 et a élaborés les remèdes depuis, devraient effectivement tenir des débats polémique sur ce qui les rassemble et pour polémiquer sur ce qui les sépare.

    Mais là encore, je ne vois pas, dans les conditions actuelles, un NDA où un Mélenchon avoir ce courage là. ils sont encore trop préoccupés par leur image médiatique. Mais avec la période chaotique dans laquelle nous entrons, tout peut arriver, comme en 1942 avec le CNR...

    PS : dans le cadre de ce débat sur le contrôle de la monnaie, je vous recommande vivement cette lecture, qui peut servir de plateforme de discussion :

    UN PLAN DE RELANCE PAR LE CREDIT PRODUCTIF PUBLIC
    ou la nécessaire transformation de la monnaie en capital

    http://www.cheminade2012.fr/Un-plan-de-relance-par-le-credit-productif-public

    Ca date de 1997 et Cheminade et Laverhne y décortiquent le démantèlement du système de crédit public d’après guerre (de la loi du 3 janvier 1973 jusqu’à Maastricht et la futur BCE), la financiarisation de l’économie et développe les remèdes.



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    Bertrand Bertrand 11 octobre 2010 14:53

    Si vous trouvez la vidéo de Lordon de samedi au colloque des économistes atterrés, mettez-là : il a tout simplement répondu à une dame qui parlait de mise en faillite des spéculateurs que c’est une fausse bonne solution car inapplicable, impossible, etc. Moi qui le prenait pour une révolutionnaire, il est plutôt atterrant !

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