DarkProphete

Je me permet de rebondir sur cette discutions très intéressante entre niveau de vie, progrès technologique et système économique dans l’histoire. C’est a mon avis une question centrale aujourd’hui qui n’est pas suffisamment abordée.

A mon avis, contrairement a yoananda le progrès technique est la principale cause du capitalisme et non l’inverse.

De façon général je dirais que les sauts technologiques ont pendant toute l’histoire de l’humanité conduit les hommes a reconsidérer leur mode de vie pour exploiter au mieux ces progrès. Ce processus passant notamment par de nouveaux systèmes économiques (organisation du commerce).

2 exemples :

-L’agriculture menant à la spécialisation des métiers puis à la création de la monnaie.

-La révolution industrielle (machine a vapeur, chemin de fer, imprimerie) menant au développement d’entreprises privées puis au capitalisme

l’électronique et les technologie de télécommunication ont crées une nouvelle révolution technologique. Pour le moment j’ai l impression que le système économique à voulu intégrer ces nouvelles technologies sans ce remettre en cause. Cela ce traduit par une unifications des grosses entreprises et des bourses à l’échelle mondiale et à une déconnexion du marché de la réalité.

Aujourd’hui le système doit évoluer pour répondre aux enjeux de ces nouvelles technologies tel que l’utilisation d’internet et la finitude des ressources matériels.

Il est a mon avis très important de garder à l’esprit que les systèmes économiques sont des outils crées par l’homme pour le servir. Ils ne doivent pas s’imposer comme un dogme régissant le monde comme on l’observe aujourd’hui. A l’inverse il me semble illusoire de combattre un système économique de façon tout aussi dogmatique comme le fait cette vidéo, cela ne sera pas plus constructif.

Bref tout ça pour dire que j’étais obligé de protester quand j’ai lut que le capitalisme est la cause principale du progrès. Il y a a mon avis une inversion des causes et des conséquence dans cette affirmation.

Dans notre monde en crise, l’Europe est pris entre les USA emprisonnés par leur système devenue inadaptés aux enjeux actuelle et la Chine profitant de sa croissance.

L’Europe ne doit pas devenir le valet des États Unis comme l’ont acceptés le Canada et le Mexique. Elle doit être la force mondial qui proposera une alternative écologique et sociale.

Non au grand marché transatlantique, qui anéantira une fois pour toute ce dernier espoir déjà suffisamment mince.