Einstein a en son temps (1932) repris cette citation de Schopenhauer dans une allocution (Mon Crédo) à Berlin. Eclairante autant que vivifiante. Tu participes à ce que je me sente moins seul César et j’apprécie. Bien sûr, je ne te remercie pas, nous savons tous les deux que cela n’a aucun sens...
Je suis inscrit sur ce site depuis une heure environ ; temps que je viens de passer à lire vos joutes exaltées et franchement je suis assez étonné par votre dévouement à la cause. Non pas, que je remette en question la teneur de vos propos, je suis même en accord quasi total avec tout ce que vous venez de produire jusqu’ici mais, vous chercher un écho que vous ne trouverez maleureusement pas auprès de brebis qui plus est égarées.
Bref, si je prends plaisir à vous lire, je plains votre action. Mais, peût-être ai-je raté une intention salutaire ?