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Éric Guéguen

Éric Guéguen

Le monde actuel en 20 penseurs :
 
Platon - Aristote - Lucrèce - Farabi - La Boétie - Montaigne - Spinoza - Rousseau - Hegel - Tocqueville - Nietzsche - Ortega y Gasset - Polanyi - Strauss - Arendt - Vœgelin - Villey - Dumont - MacIntyre - Lasch
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« Le citoyen typique, dès qu’il se mêle de politique, régresse à un niveau inférieur de rendement mental. Il discute et analyse les faits avec une naïveté qu’il qualifierait sans hésiter de puérile si une dialectique analogue lui était opposée dans la sphère de ses intérêts réels. Il redevient un primitif. Sa pensée devient associative et affective. »
(Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, Quatrième partie, XXI, 3 (p.346)).
 
Contact : [email protected]
Le Miroir des Peuples, éditions Perspectives Libres, 2015

Tableau de bord

  • Premier article le 05/12/2012
  • Modérateur depuis le 28/02/2013
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Derniers commentaires




  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 1er mars 2013 16:06

    Sur la peine de mort, parce que c’est mon dada  :
    ...........

    Tout d’abord, heureux d’entendre qu’Étinne chouard ne se sent pas le droit d’être "raciste" à l’égard des pro-peines de mort... je m’apprêtais à déposer plainte... smiley
    En revanche, lorsqu’il dit qu’il ne désespère pas de leur faire entendre raison, j’aimerais lui répondre qu’avec des raisonnements aussi plats que "on n’ajoute pas une barbarie à une barbarie", on se met dans l’incapacité nationale de se défendre face à un pays qui nous déclare la guerre. en effet, la guerre étant une "barbarie", s’y adonner serait être barbare. Que préfère Chouard ? Laisser l’ennemi "barbare" faire son œuvre, et compter nos morts ? À barbare, barbare et demi.
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    Sur la démocratie, parce que c’est le dada de Chouard et qu’il est inadmissible de l’entendre dire des bêtises à ce sujet :
    ...........
    D’après lui, les "affreux" n’ont pas vidé le mot démocratie de son sens mais l’ont utilisé à contre-sens... Sauf que ce sont les "affreux" du temps des Grecs qui avaient eux-mêmes qualifié péjorativement le pouvoir du peuple en l’affublant de ce mot, "démocratie", promis à un si bel avenir... Donc les pères du système représentatif n’ont aucunement utilisé le mot "démocratie" à contre-sens... depuis le départ, IL A été conçu comme un contre-sens.
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    PS : La dame qui les interroge est vraiment pénible, très potache, trop ado dans sa tête.



  • vote
    Éric Guéguen Éric Guéguen 1er mars 2013 14:57

    Salutations Machiavel !
    Merci d’avoir écouté ce que j’ai mis en ligne et merci de m’avoir évité un bide monumental.
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    Mes réponses à présent :
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    1.Je ne fustige pas ceux qui se contentent d’écoper quand il faudrait changer d’embarcation, je déplore simplement que ce soit toujours la facilité et les bons sentiments qui l’emportent.
    Vous me répondrez que c’est une constante dans l’histoire, mais je ne m’y ferai jamais.
    Par ailleurs, je ne pense pas que l’on "diminue la souffrance collective". Ce que l’on fait, c’est que l’on ralentit l’advenue de l’échéance qui, du coup, n’en sera que plus douloureuse.
    Et malgré tout, je ne suis pas pessimiste : sinon, pourquoi, en ayant la conviction que tout est foutu et que le moindre effort est vain, passerais-je autant de temps à dialoguer sur des fora, quand - tout du moins - je trouve de bonnes âmes telles que vous pour s’intéresser aux propos d’un rabat-joie tel que moi ? smiley
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    2. Substituer au gouvernement des hommes l’administration des choses, c’est condamner à long ou moyen terme la politique à être à la remorque de l’économie. De ce point de vue, Saint-Simon a gagné, il a vue juste. Et de ce point de vue, Machiavel - le vrai - a gagné également.
    Alors, pourquoi se plaindre ? N’a-t-on pas finalement ce que l’on mérite ? Et l’on voudrait en plus "diminuer la souffrance collective" en administrant de l’homéopathie ? Sortir de la crise actuelle en se battant pour notre pouvoir d’achat ?
    Je demande juste un peu d’intelligence en politique, juste une fois, pour voir comment ça fait...
    --------
    Pour finir, juste une remarque que je me suis faite dernièrement :
    Il est convenu que se référer aux Anciens est, selon la formule consacrée, "voir l’homme tel que l’on aimerait qu’il soit", et que se référer aux Modernes, inversement, serait "voir l’homme tel qu’il est réellement". Or, la Modernité considère que la liberté, l’égalité, la sûreté et la propriété sont des droits naturels inaliénables. Vous savez aussi bien que moi que cette vision des choses est purement formelle... so... pourquoi ne pas prendre les Modernes au mot et considérer les hommes tels qui sont réellement, à savoir disparates, plus ou moins intelligents, plus ou moins doués ou brillants, plus ou moins moutonniers et influençables ? Pourquoi ?



  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 février 2013 14:31

    Merci Robert. Un autre lien va suivre, aujourd’hui ou demain, dans la même veine, plus intéressant encore.
    L’émission d’aujourd’hui consistait en effet à savoir si le socialisme devait "vaincre ou accomplir le libéralisme"... Ce qui perturbe un peu l’esprit de chapelle.
    À suivre donc...



  • 3 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 février 2013 14:13

    @ Gaspard Delanuit :
    --------------------------
    Dans ce cas, je m’accorde le droit de dire que vous valez mieux que la plupart.
    Osons le jugement de valeur pour sortir de la fange.



  • vote
    Éric Guéguen Éric Guéguen 28 février 2013 14:11

    @ Mr. Kout :
    ------------
    Il faut se rappeler de la fameuse formule de Saint-Simon, invitant les générations futures à "substituer au gouvernement des hommes l’administration des choses". Eh bien nous y sommes, nous avons suivi sa voie, et c’est une voie qu’il n’est jamais venu à l’idée, ni des socialistes, ni des libéraux de récuser.
    Après la Terreur, c’est le recours à la politique que tout le monde semble avoir eu en horreur, d’où la lente montée en puissance du capitalisme (la nature ayant horreur du vide, blablabla...).
    ------
    Aujourd’hui, se sont les choses qui nous gouvernent, et derrière elles, ceux qui sont capables d’offrir toujours plus de ces choses aux masses boulimiques.
    Vous demandiez que faire ? Commençons donc par une salutaire introspection individuelle, après, et seulement après, nous serons en droit de balayer nos dirigeants qui, faut-il le rappeler, en régime représentatif sont à l’image du peuple.

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