Avec la propriété apparait le nécessité d’échanger. L’échange entraine la création de la monnaie qui est dette. J’identifie dette et monnaie. La caractéristique dette entraîne la nécessité de croissance infinie. Si on rajoute un peu de "baisse tendancielle du taux de profit", qu’une monnaie nécessite une certaine rareté on comprend que la monnaie conduit à des secousses de plus en plus sévères et qu’il serait temps de réfléchir à :
Comment produire ? Pourquoi produire ? Pour qui produire ? Comment distribuer ?
Et tout cela sans monnaie qui nécessite croissance infinie et donc remises à zéro douloureuses.
Il me semble que la définition d’Etienne Chouard sur la démocratie et l’aristocratie tient la route.
Quand Florence Gauthier conteste que les fideicommis seront désignés car on pense qu’ils seront les meilleurs il faudrait quelle dise selon quels critères. S’il n’y a pas de critères n’en revient-on pas au hasard, c’est à dire au tirage au sort ?
A mon avis elle essaye de masquer cette contradiction en élevant la voix.