Ouais, je m’en fout un peu des arabes et des juifs aujourd’hui, mais mettre la Shoah sur le crédit de la France, c’est du révisionnisme total. La France était occupée, et environ 60 000 juifs étrangers furent livrés au Allemand sur leurs exigences d’occupant !
Le peuple est réactionnaire, le patronat s’appuis idéologiquement sur le progressisme et son corollaire l’individualisme pour prospérer. Ce qui fait que la gauche est l’allié objectif du capital, les épisodes Mitterrand et Jospin le démontrent parfaitement.
Le capital importe du lumpen du tiers-monde et instrumentalise le droit de l’hommisme comme couverture, c’est clair, net et sans bavures.
Contre qui Madame Parisot écrit un bouquin, Le Pen ou Merluchon ?
Bien entendu, les choses évoluent aussi au gré des circonstances, les alliances se font et de défont.
Mais il subsiste quelques constantes, dès lors que les intérêts vitaux des US sont en jeu, comme par exemple au sujet des pétrodollars.
On peut prendre parti pour l’un ou pour l’autre, c’est à dire rentrer in fine dans le schéma du choc des civilisation.
Je pense qu’il est dangereux de rentrer dans cette logique, qu’elle procède du soutien aveugle à l’américanisme ou à contrario du soutien, aveugle au même titre, à tous les opposants de l’empire US.
Ce qui caractérisa la politique de de Gaulle, c’est le refus de cette logique, par une politique d’équilibre, ne prenant pas parti pour l’un ou l’autre des deux camps, mais oeuvrant constamment, au gré des circonstances, pour l’intérêt national, cette fameuse troisième voie dans laquelle chacun préserve légitimement ses intérêts propres, tout en gardant l’objectif de la résolution des conflits par la négociation et non la violence.